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L'ASVEL serait impactée par les difficultés économiques de Fedcom

Deux articles conjoints dans le quotidien Le Progrès donnent des nouvelles peu rassurantes sur le devenir économique de l'ASVEL.

LDLC Arena

A la fin de l'année 2023, le rachat de la LDLC Arena de Décines par un groupe d'investisseurs avec à sa tête le milliardaire monégasque d'origine russe, Alexey Fedorychev, propriétaire de Fedcom, Fedcom Media et de l'AS Monaco, et Tony Parker, le président de l'ASVEL, paraissait presque entendu. Or, Le Progrès assure que celui-ci n'est plus dans la course et que l'ASVEL devra de nouveau louer l'enceinte la saison prochaine pour s'y produire, et donc débourser entre 100 et 150 000 euros par soirée. C'est l'ancien président de l'Olympique Lyonnais, Jean-Michel Aulas, qui paraît désormais à même de racheter l'arèna au proprio américain actuel de l'OL, John Textor, pour un peu plus de 160 millions d'euros.

Ce n'est pas tout. Toujours dans Le Progrès, il est fait état que malgré les propos rassurant du Directeur Général Oleg Petrov dans Le Parisien, sur la capacité de Skweek d'honorer ses engagements divers et variés, l'ASVEL est très inquiète du devenir de son partenariat.

"Une Asvel elle aussi impactée par les « ardoises » du successeur de « Smart good things » (NDLR : l'ancien sponsor principal du club) et qui se retrouve aussi circonspecte que fragilisée, la rumeur prétendant que sur l’enveloppe promise (entre 6 et 7 M€ annuels jusqu’en 2030), 2 M€ seulement pourraient être versés en fin de saison. Alors que l’OL, qui souhaite se recentrer sur le football, cherche un acquéreur pour vendre ses parts", écrit le quotidien.

Le Progrès ajoute que le budget du club de 23M€ devrait être sensiblement revu à la baisse la saison prochaine alors que l'ASVEL ne fera pas mieux pour celle en cours qu'avant-dernier de l'Euroleague. On peut aussi rappeler que Tony Parker a annoncé hier dans L'Equipe que son équipe féminine va elle aussi réduire sa voilure.

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