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ITW Fabrice Jouhaud (DG de la LNB) : « Sur les quatre premières journées, on est à 90% de remplissage en Betclic Elite » (2/2)

Ancien journaliste et aussi responsable de la communication à la fédération internationale de football (FIBA) et directeur de cabinet au Ministère des Sports, Fabrice Jouhaud est depuis deux ans le Directeur Général de la Ligue Nationale de Basket (LNB). On balaye l’actualité avec lui.

Axel Julien lors de Limoges-Dijon. © CSP/Sulyvan Manfroi

Entretien en deux parties. La première est à relire ici.


Le contrat de naming avec Betclic a été renouvelé pour cinq ans. A quelle hauteur ?
« À une meilleure hauteur ! Surtout c’est la première fois qu’on arrive à fidéliser des partenaires sur le long terme. Betclic, Gedibois qui renouvelle aussi pour trois ans. Ça veut dire que le produit qui leur est proposé est satisfaisant. On a donc tenu notre promesse vis-à-vis d’eux. Il y a un autre élément qui vaut pour Gedibois et beaucoup pour Betclic : pendant quelques années, la ligue a vécu des moments compliqués et il y a eu des partenaires qui sont restés au soutien, qui ne sont pas revenus négocier ceci ou cela. Ça compte aussi de ne pas oublier qu’il y a des gens quand c’était moins la fiesta, ils étaient là.

Combien avez-vous de partenaires ?
Une demi-douzaine.

Il y a eu la Jeep Elite puis la Betclic Elite. Est-ce que le mot Elite restera si demain le sponsor naming est par exemple Opel ?
On a commencé le travail sur les championnats : Betclic Elite, Pro B, Espoirs. Toutes les options sont ouvertes. On va refaire les identités. On va changer les logos, tout restructurer. On est le seul championnat où les gens parlent en disant la Betclic. C’est un naming qui est hyper efficace. Après, on verra, on ne s’interdit rien mais on ne va pas changer pour changer (précision de Virginie Duval, responsable de la communication de la LNB : « sur les réseaux sociaux, LNB est le canal corporate où l’on diffuse nos informations institutionnelles »). En fait, sur les réseaux sociaux, on voulait clarifier nos produits parce qu’il y avait un seul canal qui faisait de l’institutionnel et de la compétition, et du coup les contenus de Pro B étaient un peu noyés. Les réseaux sociaux n’ont pas forcément la même dynamique et on a conscience qu’aujourd’hui la Pro B fonctionne mieux sur Instagram que sur Twitter (X). Peut-être faudra-t-il faire un bilan dans quelques semaines car autant, ça a du sens sur un réseau social et peut-être moins sur un autre.

Savez-vous quel type de personne va sur chacun de vos réseaux sociaux ?

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