Quels sont les meilleurs pays d’Europe en matière de formation ? Quel rang occupe la France dans ce concert des nations ? Ce sont les questions auxquelles nous nous sommes efforcés de répondre en dressant un bilan des championnats d’Europe de jeunes sur la période 2000-2019, autrement dit sur ces vingt dernières années, pour un total de 18 éditions (les Euros de jeunes n’ont lieu tous les ans que depuis 2004, ils se déroulaient auparavant sur un rythme bi-annuel). Après les U16 (voir ICI, ICI, ICI, ICI et ICI), nous nous intéressons maintenant aux Euros U18, réservés aux joueurs de moins de 18 ans. Après une analyse par pays (voir ICI) et une analyse des meilleurs joueurs de ces Euros U18 de 2000 à 2012 (à consulter ICI, ICI et ICI), voici celle des cinq majeurs « all tournament » et français des éditions 2013 à 2016 (les lauréats des éditions plus récentes étant encore trop jeunes pour que l’on puisse réellement se poser la question de leur évolution).
[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]
2013
Podium : 1e – Turquie, 2e – Croatie, 3e – Espagne (France 7e)
Kenan Sipahi (MVP, Turquie, 1995, 1,97m, meneur)
Réalisant 10,9 points, 3,8 rebonds et 5,0 passes, il guide la Turquie vers le titre, d’où sa nomination en tant que MVP. Formé à Tofas, il y joue jusqu’en 2013, lorsqu’il signe au Fenerbahce. Il y passe deux saisons avant de jouer à Karsiyaka puis Besiktas, toujours dans un rôle de meneur remplaçant. Passé cette saison à Séville, où il est titulaire (8,1 points, 3,3 passes). Onze fois international senior.
Paolo Marinelli (Croatie, 1995, 1,91m, arrière)
11,0 points, 1,7 rebond, 4,2 passes sur le tournoi. Formé à Split, il a fait toute sa carrière entre la Slovénie (Olimpija Ljubljana, Krka Novo Mesto) et sa Croatie natale (Kvarner Rijeka, Cibona Zagreb), sans jamais vraiment s’imposer à haut niveau. À Novo Mesto cette saison, il réalise 10,6 points en championnat croate.
Domagoj Bosnjak (1995, 2,01m, ailier)
9,6 points, 5,8 rebonds, 1,7 passe sur la compétition. Formé au club bosnien de Siroki, il en part en 2014 pour Zadar. En 2016, il passe à Zagreb, d’abord au Cibona (deux ans) puis au Cedevita (un an), où il s’affirme comme un bon joueur de complément. Cette saison, il évolue à Rouen (Pro B), pour 7,8 points et 3,9 rebonds.
Anzejs Pasecniks (Lettonie, 1995, 2,15m, pivot)
12,6 points, 7,7 rebonds, 0,8 passe. Formé à Riga, il signe en 2015 à Gran Canaria, où il passe quatre saisons marquées par une progression régulière (7,2 points en Euroleague la saison passée). Cet été, il a été signé puis coupé par les Washington Wizards (NBA). Depuis, il joue pour les Capital City Go-Go, en G-League (9,5 points, 5,3 rebonds).
Kristaps Porzingis (Lettonie, 1995, 2,12m, ailier-fort/pivot)
11,6 points, 10,0 rebonds, 0,4 passe. L’immense intérieur (il a pris une dizaine de centimètres depuis cet Euro U18) est arrivé en Espagne, à Séville, en 2010. Il y reste jusqu’en 2015 lorsque, drafté en 4e position par les New York Knicks, il rejoint la NBA. Il y réalise deux saisons et demies de toute beauté (22,7 points en 2017) avant de gravement se blesser au genou et de manquer la moitié de la saison 2017-18 ainsi que l’intégralité de 2018-19. De retour cette saison avec les Dallas Mavericks, il produit 17,3 points et 9,4 rebonds.
Les Français
Axel Bouteille (1995, 2,00m, ailier)
12,6 points, 5,1 rebonds, 1,4 passe sur cet Euro U18. Formé à Chalon-sur-Saône, il s’y installe comme un attaquant racé avant de partir en 2017 à Limoges, où il passe deux saisons confirmant ses capacités offensives. Depuis cet été, il joue à Bilbao, en Espagne, en Liga ACB, avec un rendement de haut niveau : 16,8 points et 3,1 rebonds.
Damien Inglis (1995, 2,04m, ailier-fort)
11,8 points, 7,4 rebonds, 3,9 passes. Le Guyanais formé au Centre Fédéral a passé une année à Roanne en 2013-14 suffisamment prometteuse pour être drafté 31e par les Milwaukee Bucks. Malheureusement, une sale blessure à la cheville le prive de jeu pendant plus d’un an et il ne fait qu’un très bref séjour en NBA (et deux saisons de G-League) avant de revenir en Europe, d’abord à Capo d’Orlando puis à Strasbourg. À nouveau freiné par les blessures, il n’arrive pas à complètement s’exprimer en Alsace ni à Limoges l’année dernière. De retour à la SIG cette saison, il semble enfin s’épanouir : 10,5 points, 6,1 rebonds.
Étenne Ory (1996, 1,78m, meneur)
7,3 points, 1,4 rebond, 1,9 passe. Une carrière gâchée par les blessures : déjà sur le flanc pendant une saison au Centre Fédéral, il rejoint toutefois le centre de formation de Paris-Levallois avant de partir en 2016 à Vichy-Clermont, en Pro B, où il ne joue que 12 matchs de championnat, entre blessure au dos et kyste au tibia. Ce dernier problème va empêcher le meneur de jeu de jouer pendant deux ans et demi : il a refoulé les parquets pour la première fois il y a quelques jours avec les Canonniers de Metz, en NM2.
Guerschon Yabusele (1995, 2,00m, ailier-fort)
6,7 rebonds, 5,2 rebonds, 1,2 passe. Formé à Roanne, il s’y révèle en Pro A, ainsi qu’à Rouen. Drafté par les Boston Celtics (16e) en 2016, il part en Chine, aux Shangai Sharks avant d’alterner entre G-League et NBA, aux Celtics, pendant deux saisons peu fructueuses : 2,3 points en 74 matchs avec les Celtics. Reparti cette saison en Chine, à Nankin (14,5 points).
Charly Pontens (1995, 1,89m, meneur)
6,4 points, 2,0 rebonds, 2,2 passes. Après le Centre Fédéral, débute sa carrière en Pro B à Boulogne-sur-Mer avant d’évoluer à Hyères-Toulon puis au GET Vosges (NM1) avant de revenir en Pro B à Blois, où il évolue jusqu’à la fin de saison dernière. Depuis la rentrée à Quimper, pour 5,0 points et 3,7 passes. 74e au ranking mondial du 3×3 et 4e Français.
2014
Podium : 1e – Turquie, 2e – Serbie, 3e – Croatie (France 9e)
Egemen Güven (MVP, Turquie, 1996, 2,09m, pivot)
Produit 13,8 points, 6,9 rebonds, 0,7 passe sur le tournoi, de quoi être nommé MVP. Formé au Pinar Karsiyaka, il s’y est installé comme un joueur de complément, assurant une dizaine de minutes par match. Passé cette saison au Turk Telekom, où sa production est similaire (4,4 points en 9,1 minutes). Semble plafonner.
Stefan Lazarevic (Serbie, 1996, 2,00m, ailier)
13,1 points, 7,9 rebonds, 1,3 passe. Formé à l’Étoile Rouge de Belgrade, il a alterné entre ce club et le FMP Belgrade sans jamais parvenir à passer un cap vers un rôle majeur. Blessé au genou début 2018, il semble n’avoir jamais rejoué depuis.
Dragan Bender (Croatie, 1997, 2,13m, ailier-fort)
14,4 points, 10,4 rebonds, 4,9 passes. Formé à Split, il explose en deuxième division croate à Kastela en 2013-14, à 16 ans (21,3 points) avant de partir en 2014 en Israël, à Ramat Gan. Il y passe une saison puis la suivante au Maccabi Tel-Aviv avant d’être drafté en 4e position par les Phoenix Suns. Il va passer trois saisons sans consistance (5,3 points en 171 matchs) dans l’Arizona avant de partir cet été pour les Milwaukee Bucks, pour lesquels il n’est entré en jeu que 2 minutes. Une carrière dans l’impasse ?
Vasileios Charalampopoulos (Grèce, 1997, 2,05m, ailier/ailier-fort)
18,3 points, 10,0 rebonds, 3,2 passes. Arrivé dès 2012, à 15 ans, au Panathinaïkos, il y passe cinq saisons sans s’imposer. Depuis, il a joué pour le PAOK, Lavrio et, cette saison, Ionikos (tous en Grèce). Freiné par les blessures les années passées, il semble redémarrer cette saison : 11,0 points et 6,0 rebonds.
Federico Mussini (Italie, 1996, 1,90m, meneur)
22,6 points, 4,0 rebonds, 2,1 passes. Formé à Reggio Emilia, il part deux ans en NCAA, à St-Johns avant de revenir en Italie à Trieste puis dans son club formateur, sans résultats transcendants. Cette saison, il joue à Pesaro (Lega A italienne), pour 9,7 points et 1,8 passe.
Les Français
Ywen Smock (1996, 2,03m, ailier-fort)
14,7 points, 4,9 rebonds, 1,2 passe sur le tournoi. Formé à Cholet, il ne s’impose pas au club, qu’il quitte en 2016 pour la Pro B et Denain puis Gries-Oberhoffen, où il joue en tant qu’intérieur remplaçant. Cette saison à Orléans, en Jeep Élite, au bout du banc : 5,0 minutes, 1,8 point.
Alpha Kaba (1996, 2,06m, ailier-fort/pivot)
13,0 points, 8,2 rebonds, 0,7 passe. Formé à Pau-Orthez, il part en 2015 passer deux saisons fructueuses au Mega Bemax (Serbie) avant de rentrer en France jouer pour LDLC Asvel. Non conservé à l’issue de la saison passée, il a signé cet été à Boulazac (Jeep Élite), où il produit 9,6 points et 9,8 rebonds.
Isaia Cordinier (1996, 1,94m, arrière)
9,7 points, 5,6 rebonds, 2,6 passes. Formé à Antibes, il passe deux saisons en Pro B, à Évreux puis Denain pour parfaire sa formation avant de retrouver les Sharks en Jeep Élite. 44e choix de la draft NBA 2016. Blessé pendant toute la saison 2017-18, il revient à Antibes, où il réalise une belle saison (10,6 points) avant de s’engager cet été pour Nanterre (13,1 points).
Cyrielle Eliezer-Vanerot (1996, 1,96m, ailier)
8,0 points, 2,3 rebonds, 2,3 passes. Formé au Paris-Levallois, il y joue jusqu’à la dernière intersaison. Sa progression est perturbée par diverses blessures mais il s’installe comme un bon joueur de complément. Cette saison au Portel, où il est actuellement blessé.
Lucas Dussoulier (1996, 2,00m, ailier)
6,9 points, 2,9 rebonds, 2,0 passes. Rejoint l’Élan Béarnais à sa sortie du Centre Fédéral. Puis il passe en Pro B, à Charleville-Mézières (deux saisons) puis Quimper, où il joue depuis 2018. Depuis deux saisons un joueur majeur de Pro B. Cette saison, 11,1 points et 3,4 rebonds.
2015
Podium : 1e – Grèce, 2e – Turquie, 3e – Lituanie (France 6e)
Vasileios Charalampopoulos (MVP, Grèce, 1997, 2,05m, ailier/ailier-fort)
16,6 points, 8,1 rebonds, 5,2 passes sur le tournoi lui valent le titre de MVP et celui de champion d’Europe. Voir son profil ci-avant.
Georgios Papagiannis (Grèce, 1997, 2,17m, pivot)
12,0 points, 10,3 rebonds, 0,2 passe. Formé à Peristeri puis au Panathinaïkos, il est drafté en 2016 par les Phoenix Suns (13e place). En deux saisons de NBA, il joue au total 39 matchs pour les Sacramento Kings et les Portland Blazers, pour 4,1 points (plus une trentaine de matchs de G-League). De retour au Pana, il produit cette saison 9,2 points et 5,0 rebonds en championnat grec, 5,3 points et 3,2 rebonds en Euroleague.
Furkan Korkmaz (Turquie, 1997, 2,00m, arrière-ailier)
16,1 points, 4,9 rebonds, 3,0 passes. Formé à l’Anadolu Efes, il y évolue jusqu’en 2017 (avec un crochet d’une vingtaine de matchs à Bandirma) en suivant une progression constante. En 2017, il part en NBA, aux Philadelphia Sixers. Après quelques matchs en G-League, il s’y impose progressivement. Vaut aujourd’hui 9,0 points en 23 minutes.
Martynas Varnas (Lituanie, 1997, 1,96m, ailier/ailier-fort)
13,2 points, 4,2 rebonds, 4,8 passes. Formé au Zalgiris Kaunas, il ne s’y est pas imposé. En 2017, il part pour Zvaigzdes puis Nevezis et, cette saison, Prienu, toujours en 1edivision lituanienne. Il y décolle : 10,7 points et 3,2 rebonds.
Edin Atic (Bosnie-Herzégovine, 1997, 2,01m, arrière-ailier)
16,0 points, 7,6 rebonds, 3,8 passes. Formé à Sarajevo, il part en 2016 à Trikala, en Grèce, puis la saison suivante à l’AEK Athènes, sans grande réussite. Depuis l’intersaison 2018, il joue au Mega Bemax (Serbie), où il tourne cette saison à 10,6 points.
Les Français
Stéphane Gombauld (1997, 2,02m, ailier-fort)
11,4 points, 7,7 rebonds, 0,8 passe. À sa sortie du Centre Fédéral, le grand espoir de sa génération rejoint l’Asvel. Après un an à surtout jouer avec les Espoirs, est prêté à Saint-Chamond (Pro B). Une première saison à cet échelon plutôt prometteuse (8,1 points, 4,9 rebonds) mais non confirmée les deux années suivantes à Lille puis Chartres. Cette saison, à Blois, il retrouve des sensations : 14,6 points et 6,2 rebonds pour 18,4 d’évaluation.
Luc Loubaki (1997, 1,90m, arrière-ailier)
10,9 points, 3,6 rebonds, 2,2 passes. Sorti du Centre Fédéral en 2015, il intègre le centre de formation d’Orléans. Une première saison prometteuse (33 matchs, 10 minutes, 2,8 points) mais non confirmée les trois suivantes (une à Orléans, deux à Monaco). En cours de saison dernière, rejoint Lille en Pro B. Y vaut cette saison 8,2 points et 10,0 d’évaluation.
Bathiste Tchouaffé (1998, 1,96m, arrière)
9,0 points, 2,7 rebonds, 1,3 passe sur le tournoi. Formé à Poitiers puis à l’Insep, il rejoint Nanterre en Jeep Élite à sa sortie du Centre Fédéral. Après trois saisons dans l’élite peu concluantes (deux à Nanterre, une à Bourg-en-Bresse), il retourne cette saison en Pro B à Poitiers. 6,2 points en 17 minutes sur le début de championnat.
Jonathan Jeanne (1997, 2,15m, pivot)
8,6 points, 6,7 rebonds, 0,9 passe. Formé au Centre Fédéral puis au Mans, il est prêté en 2016-17 à Nancy, en Pro B. Mais sa maladie (syndrome de Marfan) stoppe sa carrière. En 2018, il reprend en deuxième division espagnole, sans grands résultats. Cette saison, il joue au Danemark, à Randers, pour 15,6 points.
Frank Ntilikina (1998, 1,93m, meneur)
8,6 points, 3,1 rebonds, 4,4 passes. Formé à Strasbourg, il est drafté en 8eposition par les Knicks de New York en 2017. Se bat depuis pour gagner du temps de jeu dans la franchise new-yorkaise. 5,3 points en ce début de saison. International, il a largement contribué à la médaille de bronze récoltée en Chine par les Bleus cet été.
2016
Podium : 1e – France, 2e – Lituanie, 3e – Italie
Frank Ntilikina (MVP, France, 1998, 1,93m, meneur)
15,2 points, 2,8 rebonds, 4,5 passes. Il guide la France au titre de champion d’Europe U18 et se voit décerner le trophée de MVP. Voir son profil ci-avant.
Tadas Sedekerskis (Lituanie, 1998, 2,04m, ailier-fort)
14,5 points, 10,2 rebonds, 3,8 passes sur le tournoi. Il part dès 2013 (à 15 ans) en Espagne, à Vitoria. Il navigue entre Liga ACB et prêts à des clubs espagnols de 2eet 3e division, ainsi qu’à Nevezis (Lituanie), pendant plusieurs saisons sans parvenir à s’imposer dans le club basque. Cette saison, il est de retour au pays, à Nevezis, pour 8,5 points en championnat national.
Sekou Doumbouya (France, 2000, 2,02m, ailier/ailier-fort)
17,8 points, 7,0 rebonds, 0,5 passe. Il quitte le Centre Fédéral en 2016 et rejoint Poitiers, en Pro B, où il passe deux saisons où il progresse avant de signer à Limoges (Jeep Élite) où il continue son évolution (7,8 points la saison passée). A rejoint cet été les Detroit Pistons (pour 2 minutes) et, surtout, les Grand Rapids Drive en G-League (17,7 points sur 10 matchs).
Isaiah Hartenstein (Allemagne, 1998, 2,13m, ailier-fort/pivot)
14,7 points, 9,5 rebonds, 3,5 passes. Après avoir été formé en Allemagne aux Artland Dragons, passe la saison 2016-17 au Zalgiris Kaunas. Il part ensuite aux États-Unis, où il passe la saison 2017-18 en G-League, aux Rio Grande Valley Vipers avant, les deux saisons suivantes, d’alterner entre cette équipe et les Houston Rockets en NBA, pour qui il joue 34 matchs entre l’année dernière et la saison actuelle (4,0 points cette année).
Davide Moretti (Italie, 1998, 1,88m, meneur)
14,8 points, 2,0 rebonds, 5,0 passes. Formé à Pistoia puis à Trévise (2e division italienne), où il réalise une excellente saison 2016-17 (12,6 points). Il part ensuite en NCAA, à Texas Tech, où il évolue toujours : 14,3 points, 2,7 passes. Également distingué par ses résultats scolaires.
Les Français
Bathiste Tchouaffé (1998, 1,96m, arrière)
10,0 points, 4,7 rebonds, 1,0 passe sur le tournoi. Voir son profil ci-avant.
Adam Mokoka (1998, 1,92m, arrière)
8,8 points, 5,8 rebonds, 3,2 passes. Formé à Gravelines-Dunkerque, il part en 2018 au Mega Bemax (Serbie), où il score 11,2 points en Ligue Adriatique. Parti à l’intersaison aux États-Unis tenter sa chance en NBA, via un « two way contract » avec les Chicago Bulls. Joue pour le moment avec les Windy City Bulls (7,9 points).
Digué Diawara (1998, 2,04m, ailier)
6,3 points, 3,0 rebonds, 1,3 passe. Formé à Villeurbanne, il part en 2017 à Hyères-Toulon avant de passer l’année suivante à Pau-Lacq-Orthez, toujours en Jeep Élite. Il y produit actuellement 4,0 points et 2,9 rebonds.
x
[armelse]
2013
Podium : 1e – Turquie, 2e – Croatie, 3e – Espagne (France 7e)
Kenan Sipahi (MVP, Turquie, 1995, 1,97m, meneur)
Réalisant 10,9 points, 3,8 rebonds et 5,0 passes, il guide la Turquie vers le titre, d’où sa nomination en tant que MVP. Formé à Tofas, il y joue jusqu’en 2013, lorsqu’il signe au Fenerbahce. Il y passe deux saisons avant de jouer à Karsiyaka puis Besiktas, toujours dans un rôle de meneur remplaçant. Passé cette saison à Séville, où il est titulaire (8,1 points, 3,3 passes). Onze fois international senior.
[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]
Photo d’ouverture : Equipe de France U18 2016
Toutes photos : FIBA Europe