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Adrien Moerman, guide touristique à Istanbul

Après ses deux expériences à Banvit puis au Darussafaka, Adrien Moerman est tombé amoureux de la Turquie. Au point de signer à nouveau à Istanbul, à l’Efes cet été. Et l’intérieur international réussit une de ses meilleures saisons en carrière, à 12 points, 7 rebonds et 2 passes de moyenne, après un

Après ses deux expériences à Banvit puis au Darussafaka, Adrien Moerman est tombé amoureux de la Turquie. Au point de signer à nouveau à Istanbul, à l’Efes cet été.

Et l’intérieur international réussit une de ses meilleures saisons en carrière, à 12 points, 7 rebonds et 2 passes de moyenne, après une campagne un poil décevante en Catalogne.

« J’adore la Turquie, et j’adore Istanbul », affirme Moerman sur le site de l’Euroleague. « Les Turcs sont des gens qui passent beaucoup de temps en famille et qui aiment aider les autres. Même si tout le monde ne parle pas anglais, on essaiera de t’aider avec un grand sourire. Dans d’autres pays, ce n’est pas forcément comme ça. En France par exemple, on ne t’aidera pas forcément. Mais les Turcs sont très ouverts. Ma femme et moi on adore ça. »

« Rodrigue a adoré son premier petit déj’ turc »

Le néo-trentenaire a en l’occurrence développé un intérêt pour l’histoire locale dans une ville qui regorge de pépites.

« Quand je jouais pour Banvit, dès que j’avais du temps libre, je prenais le bateau avec AJ Slaughter et on allait visiter des monuments d’Istanbul. Il y a tellement d’histoire dans cette ville et je pense qu’il est important de se familiariser avec l’histoire du pays dans lequel on vit. Surtout dans cette ville avec autant d’histoire. Quand on comprend le passé d’un lieu, on s’y sent plus connecté. Pendant la saison, c’est difficile mais quand on a un jour off, j’essaie de sortir en famille. Maintenant, je m’y connais pas mal et je peux me retrouver dans Istanbul sans le GPS. »

Moerman joue du coup le rôle du guide touristique auprès de son compatriote, Rodrigue Beaubois qui découvre quant à lui le pays après plusieurs années au Pays Basque.

« Je viens d’amener Rodrigue à son premier petit déjeuner turc. Il n’avait jamais essayé et il voulait essayer donc je l’ai amené à Bebek, dans un beau quartier près du Bosphore. C’est un de mes restaurants préférés. Il y avait du yaourt, du miel, du fromage, du thé turc et plein de pains différents. On avait tellement de nourriture qu’on n’a pas pu finir ! Rodrigue a adoré et on va y retourner ! »

Crédits photo : Euroleague

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