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Angel Rodriguez (ex-Cholet): « C’est moi, le rookie, qui ait payé les pots cassés »

Ebouriffant en début de saison passée, Angel Rodriguez (1,80m, 82kg) n’a malheureusement pas terminé sa première campagne en Pro A sous les couleurs du Cholet Basket. Après 24 matchs dans les Mauges, le meneur de jeu portoricain a été remercié par la direction choletaise. L’ancien de l’Université de

Ebouriffant en début de saison passée, Angel Rodriguez (1,80m, 82kg) n’a malheureusement pas terminé sa première campagne en Pro A sous les couleurs du Cholet Basket. Après 24 matchs dans les Mauges, le meneur de jeu portoricain a été remercié par la direction choletaise.

L’ancien de l’Université de Miami a trouvé au Maccabi Haïfa l’opportunité idéale pour rebond dans un championnat inférieur, dans un jeu où sa rapidité et son sens du panier devraient faire très mal.

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Angel, quelles ont été vos motivations pour signer au Maccabi Haïfa ?

Il y avait beaucoup de raisons. C’est une bonne situation pour moi en tant que meneur. C’est une ville magnifique, dans un beau pays où j’ai toujours voulu venir. Et puis, le club a une histoire avec des joueurs hispaniques. Il y avait tout un tas de raisons à ma venue ici.

Cela a-t-il été compliqué après votre saison tronquée à Cholet l’an passé ?

Non, pas du tout, j’ai eu beaucoup d’opportunités. Tous ceux qui connaissent le jeu et savent ce qu’est le business du basket comprennent ma situation. Ils comprennent bien que quand ça ne va pas, l’entraîneur et son staff ne prennent pas toujours leurs responsabilités. Même après tout ça, je pense avoir réussi une bonne saison rookie. Ça n’allait clairement pas dans mon sens mais j’ai géré la situation en professionnel. Je n’ai pas créé de problèmes et je suis resté respectueux. Je n’ai jamais eu de mauvaise réputation donc ça n’a pas été difficile du tout.

Mais qu’est-ce qui a bloqué à Cholet, car vous aviez commencé la saison tambour battant ?

Je ne veux pas vraiment reparler de tout ça. Si vous faites attention à tout ce qui s’est passé, vous verrez qu’il y a eu trois nouveaux joueurs qui sont arrivés et aucun n’a vraiment fonctionné pour l’équipe. Et dans le coup, c’est moi, le rookie, qui ait payé les pots cassés. Je ne veux plus tellement ressasser tous ces détails, j’ai tourné la page. Je préfère me concentrer sur cette nouvelle saison.

Garderez-vous un bon souvenir de la Pro A ?

J’essaie toujours de retirer le positif de chaque situation. On va dire que j’ai beaucoup appris la saison passée…

Et de Cholet ?

Oui, j’ai rencontré des gens très sympathiques, de très bons coéquipiers. J’ai pu côtoyer de très bons vétérans qui m’ont appris beaucoup. Comme je l’ai dit, je retire toujours le positif de chaque situation.

Le fait d’avoir Frédéric Bourdillon dans votre équipe vous a-t-il permis de prendre du recul par rapport à cette expérience en France ?

Oui, je lui pose souvent des questions par rapport aux clubs qu’il a connus. Ça m’aide beaucoup. Comme c’était ma première année, je n’avais pas de points de comparaison. Mais en discutant avec lui, je me suis rendu compte que ce n’est pas comme ça partout ailleurs. C’est bien de l’avoir avec moi car il en sait beaucoup sur les joueurs européens et les joueurs français forcément.

Quelles sont vos premières impressions de la vie en Israël ?

J’aime l’Israël. Tout le monde est très gentil. Ils parlent anglais donc c’est très facile de se repérer. C’est mon type de climat. J’adore cette nouvelle situation.

On imagine que c’est plutôt pas mal de commencer votre saison par des matchs NBA, non ?

C’est très plaisant. Chaque opportunité que tu as de jouer face à des joueurs NBA, des All Stars et une équipe qui fait partie des plus gros prétendants dans la conférence Ouest, c’est une chance unique. Comment ne pas kiffer !

Comment avez-vous trouvé le niveau de jeu ? Vous êtes-vous senti à l’aise ?

Je n’ai pas joué contre Utah car je reviens de blessure mais face à Indiana, j’ai pu jouer. Et le jeu est effectivement plus rapide, plus physique. Mais je connais certains des gars pour avoir joué à la fac aux Etats-Unis.

La NBA reste-t-elle dans un coin de votre tête ?

Bien sûr, bien sûr. J’y pense. Mais vous savez, aucun joueur porto-ricain n’a réussi à rejoindre la NBA directement après l’université. Ils ont dû passer par l’Europe et la sélection nationale. C’est un parcours différent mais l’objectif est toujours le même.

Oui, comme Carlos Arroyo ou JJ Barea… Êtes-vous en contact avec eux ?

C’est le rêve que je poursuis. Oui, je les connais. On discute ensemble. Je continue de bosser pour ça.

Propos recueillis à Portland

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Angel, quelles ont été vos motivations pour signer au Maccabi Haïfa ?

Il y avait beaucoup de raisons. C’est une bonne situation pour moi en tant que meneur. C’est une ville magnifique, dans un beau pays où j’ai toujours voulu venir. Et puis, le club a une histoire avec des joueurs hispaniques. Il y avait tout un tas de raisons à ma venue ici.

Cela a-t-il été compliqué après votre saison tronquée à Cholet l’an passé ?

Non, pas du tout, j’ai eu beaucoup d’opportunités. Tous ceux qui connaissent le jeu et savent ce qu’est le business du basket comprennent ma situation. Ils comprennent bien que quand ça ne va pas, l’entraîneur et son staff ne prennent pas toujours leurs responsabilités. Même après tout ça, je pense avoir réussi une bonne saison rookie. Ça n’allait clairement pas dans mon sens mais j’ai géré la situation en professionnel. Je n’ai pas créé de problèmes et je suis resté respectueux. Je n’ai jamais eu de mauvaise réputation donc ça n’a pas été difficile du tout.

Mais qu’est-ce qui a bloqué à Cholet, car vous aviez commencé la saison tambour battant ?

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