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Belgique: Charleroi sous le choc après les incidents lors de la venue de l’Hapoel Tel-Aviv

Des chaises qui volent, de spectateurs prêts à en découvre, des scènes de panique. Les incidents qui sont survenus avant-hier au Spiroudôme lors de la venue de l’Hapoel Tel-Aviv pour le compte de la Champions League ont provoqué un choc à Charleroi.

Des chaises qui volent, de spectateurs prêts à en découvre, des scènes de panique. Les incidents qui sont survenus avant-hier au Spiroudôme lors de la venue de l’Hapoel Tel-Aviv pour le compte de la Champions League ont provoqué un choc à Charleroi.

“On est en train de répertorier les dégâts », a commenté Eric Schonbrodt, le directeur général du Spiroudôme à la Dernière Heure. « On déplore des dégâts en tribunes, sur les Led et plusieurs tags ont été constatés. (…) Nous avions convié plusieurs écoles et des institutions, comme nous le faisons régulièrement, et j’ai vu des parents et des enfants en pleurs. C’était très dur à vivre d’autant plus que pour certains, c’était la première fois qu’ils venaient voir un match de basket.”

Ca ne doit pas être facile aujourd’hui de les convaincre que ça n’arrive -quasiment- jamais au basket. Le club belge cherche à se dédouaner.

« Nous avons eu des réunions avec les forces de l’ordre belges et israéliennes et tout avait été mis en œuvre pour passer un bon moment. Personnellement, je ne vois pas ce qu’on pourrait nous reprocher et nous n’avons pas encore de nouvelles de la FIBA. »

Pour RTL, des supporters du club de… foot du Standard de Liège font partie des fauteurs de trouble. Réponse de Eric Schonbrodt:

« (…) Mais je répète encore une fois que c’est parti des supporters de l’Hapoel Tel Aviv. Je ne suis pas la police. D’ailleurs, je remercie surtout les forces de l’ordre, les stewards qui ont joué un rôle extraordinaire hier, dans des circonstances compliquées, et le staff. (…) Et quand j’entends la réaction du club des supporters du Standard, je suis content de l’entendre, je pense que chaque sport doit rester dans son giron. Et chez nous aujourd’hui, je ne sais pas vous dire combien il y avait exactement de supporters. Et est-ce que c’étaient des supporters ? En effet, il y a des autocollants, mais j’aurais pu également mettre des autocollants. C’est parti du noyau dur de l’Hapoel Tel Aviv ce problème, d’une centaine de fauteurs de trouble, point à la ligne. »

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