Comme le relaie Eurohoops, Mark Tatum a précisé que la Grèce, la Turquie et la Serbie ne sont pas exclus d'office des réflexions de la NBA au profit de Paris, Manchester ou encore Madrid.
« Ce que je peux dire pour l'instant, c'est que nous avons eu de très bonnes réunions à Paris avec différentes parties prenantes, nous continuons d'explorer les opportunités en Europe et, aux côtés de la FIBA, nous voulons aider le sport à se développer. Nous savons qu'il y a des fans passionnés sur des marchés comme la Grèce, bien sûr, la Turquie et la Serbie et nous évaluons les opportunités. C'est pourquoi je pense que votre affirmation selon laquelle "tout ce que nous faisons n'inclut pas l'Europe de l'Est" n'est pas vraie. »
Mark Tatum a mis en évidence le phénomène mondial que constitue Victor Wembanyama.
« En Europe, clairement, le basket est le sport numéro deux, mais il n'obtient pas sa juste part d'affinité, estime Mark Tatum. Wembanyama est le deuxième joueur le plus regardé aujourd'hui. »
Mark Tatum a insisté sur le fait que les deux matches Spurs-Pacers ont été un franc succès à Paris et s'il n'exclue pas un retour dans la capitale française, Londres, Manchester et Berlin sont également sur les rangs pour organiser des matches en 2026.
« Nous allons revenir en Europe et nous envisageons de jouer deux matchs dans deux villes différentes. »
La dernière fois que deux matchs de saison régulière ont eu lieu dans deux villes différentes, c'était en 2017, lorsque les Indiana Pacers ont joué contre les Denver Nuggets à Londres, et les Dallas Mavericks contre les Phoenix Suns à Mexico.