« Notre club souhaite faire partie de l'Euroleague à l'avenir, idéalement avec un contrat de trois ans qui nous permettrait de planifier en conséquence. Nous n’avons pas seulement des ambitions, nous avons une stabilité financière, une infrastructure et une qualité d’organisation pour maintenir un basket-ball de haut niveau. Notre propriétaire et actionnaire majoritaire assure la sécurité financière et la vision de l’avenir.
L'Hapoël Tel Aviv dispose de toutes les bases nécessaires. Pour la troisième année consécutive, il participe à l'Eurocup. Il a déménagé à la Menora Mivtahim Arena et bénéficie d'une stabilité financière. Le derby Hapoël Tel Aviv-Maccabi Tel Aviv serait un excellent ajout à l'Euroleague, tout comme les matchs Partizan-Étoile Rouge, Panathinaïkos-Olympiakos et Barcelone-Real Madrid. » Il reprend : « Mon rêve est une Euroleague avec 30 équipes. Cela ne se fera pas du jour au lendemain, mais je crois que nous pourrons bientôt commencer avec 20 équipes. Les investisseurs disposant d’une stabilité financière, comme ceux de l’Hapoël Tel Aviv ou de Dubaï, devraient être les bienvenus. Nous devons renforcer le basket-ball européen pour concurrencer les ligues d’Australie, du Japon et de Chine, qui sont des destinations de plus en plus attractives pour les joueurs. La popularité de l'Euroleague est évidente : les stades sont pleins, quel que soit l'adversaire. Nous devons trouver un moyen d’équilibrer les championnats nationaux et l’Euroleague sans perturber l’identité des clubs. Une idée est d’augmenter le nombre de places sur le roster au-delà de la limite actuelle de 17 joueurs. Les clubs pourraient également créer des équipes secondaires, telles que « Partizan 2 » ou « Panathinaikos 2 », pour aider à gérer le calendrier croissant. »
Deux équipes ? A noter que la population de Tel Aviv-Jaffa ne fait qu’environ 470 000 habitants. A comparer avec les 11 millions de l’agglomération de Paris et les 12 millions de celle de Londres. Mais chacun voit midi à sa porte…
