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En Direct avec Amath M’Baye (Equipe de France) : « Le plan A c’est d’être à la retraite et ne rien faire »

Très utile au poste 4 lors de la fenêtre internationale précédente, Amath M’Baye (2,06m, 29 ans) avait notamment inscrit 18 points dans la victoire face à la République Tchèque qui a officialisé la qualification de l’Equipe de France pour la coupe du Monde. L’intérieur du Virtus Bologne a une nouvel

Très utile au poste 4 lors de la fenêtre internationale précédente, Amath M’Baye (2,06m, 29 ans) avait notamment inscrit 18 points dans la victoire face à la République Tchèque qui a officialisé la qualification de l’Equipe de France pour la coupe du Monde. L’intérieur du Virtus Bologne a une nouvelle fois été appelé par Vincent Collet pour les deux derniers matches face à la Finlande et à la République Tchèque. Il répond aux questions du « En Direct ».

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Votre premier match en pro :

Ma première fois en pro c’était au Japon. Mon premier match a été frustrant, je n’avais pas bien joué. Mais ce qui est bien au Japon c’est qu’on jouait le samedi et le dimanche donc j’ai eu la chance de pouvoir rejouer et me rattraper le lendemain. Cette fois ça s’était bien passé.

Le joueur qui vous a rendu meilleur :

Très bonne question, j’ai croisé beaucoup de bons joueurs qui m’ont fait progresser… Je dirais mon meneur à Brindisi Nic Moore, qui a d’ailleurs joué à Nanterre. Notre relation sur et en dehors du terrain était tellement bonne que ça m’a apporté beaucoup, beaucoup de confiance lors de cette saison, qui reste l’une de mes meilleures.

Le coach qui vous a le plus marqué :

Je pense à mon coach en Prep School, Babacar Sy. C’est quelqu’un avec qui je suis en contact en permanence, on se parle quasiment tous les jours alors que ça doit faire une dizaine d’années qu’on se connait maintenant. Il m’a beaucoup marqué et il continue à le faire.

Le club dans lequel vous rêveriez de jouer :

Il n’y en a pas vraiment, mais il y des clubs mythiques qui font les choses vraiment très bien. Celui qui me vient en premier en tête c’est le Real Madrid. C’est une très grosse organisation. Il y a un staff, que ce soit au niveau des coachs ou de l’administration qui est énorme, tout comme l’effectif. Si je devais en choisir un, je dirais le Real Madrid.

La salle dans laquelle vous avez joué avec le plus d’ambiance :

Je dirais ma salle actuelle à Bologne, qui est très bien, le PalaDozza. L’ambiance est super pour quasiment tous les matchs et encore plus pour les grosses affiches.

Le pire souvenir en carrière :

J’ai eu la chance de ne pas en avoir de trop mauvais. Je dirais que ma saison dernière était un peu frustrante par moments. Mais c’est une expérience qui m’a quand même appris beaucoup de choses évidemment, donc j’en tire aussi beaucoup de positif. Je n’ai pas eu de grosse déception jusqu’à maintenant.

Le meilleur souvenir :

C’est quelque chose auquel je n’ai jamais pensé (rires). Déjà avoir été appelé en Equipe de France ça été vraiment un immense plaisir.

Le meilleur joueur avec qui vous avez joué :

Il y en a eu beaucoup ! Déjà Buddy Hield. On était à l’université d’Oklahoma ensemble et aujourd’hui il joue pour les Sacramento Kings, en NBA. A l’époque il était déjà impressionnant.

L’adversaire le plus coriace :

Je me souviens de l’année où j’ai participé au Adidas Nations quand j’étais en high school. J’avais joué contre Tristan Thompson (ndlr, évolue aux Cleveland Cavaliers actuellement) et il m’avait cassé la gueule (rires). Je pense que c’est lui.

Votre move préféré :

Je pense que c’est le jab step. Tout le monde le dira (sourire). Jab step à gauche, puis départ à droite. Après on voit ce qui se passe en fonction de la défense, soit le shoot soit aller au panier. Mais je commence souvent avec un jab step… je dirais même 99,999% du temps !

Si vous pouviez prendre le move d’un joueur :

Ça serait un floater, c’est sûr. Mais je ne sais pas de quel joueur. Si j’avais quelque chose à rajouter à ma panoplie c’est ça.

Pourquoi le numéro 24 :

En club, je porte le 24 pour l’anniversaire de ma grand-mère qui est née le 24 juillet. Et le 2 en Equipe de France parce que je ne pouvais pas avoir le 24 (rires). J’ai cherché autre chose et le 2 j’ai trouvé ça bien.

« Mais ce qui me prend beaucoup, beaucoup, beaucoup trop de temps c’est les jeux vidéo ! »

Votre meilleur pote dans le basket :

J’en ai un qui joue à Cergy-Pontoise, Pierrick Moukenga, et un autre qui joue à Sorgues, Babacar Diouf. C’est les deux joueurs avec lesquels je suis le plus proche. Mais je pense que mon ancien coéquipier de Brindisi, Nic Moore est vraiment devenu l’un de mes meilleurs potes.

Si vous deviez choisir quatre potes pour monter une équipe avec vous, qui choisiriez-vous :

Je prendrais Andrew Albicy au poste 1, Curtis Jerrells au poste 2, Vlado Micov en 3, je me mets au poste 4 et je prends Mathias Lessort au poste 5.

La ville où vous avez joué que vous préférez :

Milan ! C’était super, la ville est énorme.

Principale occupation entre deux entraînements :

J’aimerais bien dire que je lis beaucoup, ce qui est vrai mais je ne lis pas assez, même si j’ai commencé « Jocks reads » qui est une recommandation de livres pour les athlètes. Ça me prend pas mal de temps. Mais ce qui me prend beaucoup, beaucoup, beaucoup trop de temps c’est les jeux vidéo ! Je joue beaucoup trop à Call of Duty. Ils ont sorti un bon jeu donc résultat je suis dans le dur (rires).

Si vous pouviez changer une règle dans le basket :

Le marcher, ça me fatigue (sourire) ! Je les garderais mais je ne les ferais pas aussi stricts qu’ils le sont en Europe. Ici c’est un petit peu chiant dès que tu fais un départ c’est marcher direct. Surtout pour les intérieurs. Les arrières on les laisse tranquille, mais dès que tu joues un peu au poste c’est foutu.

Si vous ne jouiez pas au basket :

Je n’en ai aucune idée… J’aime bien tout ce qui est web design donc j’en fais déjà un peu sur le côté. Je pense que c’est quelque chose qui m’aurait surement accroché. J’ai commencé à y toucher pendant ma première année pro.

Après le basket :

J’aimerais bien être à la retraite et ne rien faire ! Ça c’est le plan A (rires). Mais si ça ne se passe pas, je pense aller vers le web design ou quelque chose comme ça.

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Votre premier match en pro :

Ma première fois en pro c’était au Japon. Mon premier match a été frustrant, je n’avais pas bien joué. Mais ce qui est bien au Japon c’est qu’on jouait le samedi et le dimanche donc j’ai eu la chance de pouvoir rejouer et me rattraper le lendemain. Cette fois ça s’était bien passé.

Le joueur qui vous a rendu meilleur :

Très bonne question, j’ai croisé beaucoup de bons joueurs qui m’ont fait progresser… Je dirais mon meneur à Brindisi Nic Moore, qui a d’ailleurs joué à Nanterre. Notre relation sur et en dehors du terrain était tellement bonne que ça m’a apporté beaucoup, beaucoup de confiance lors de cette saison, qui reste l’une de mes meilleures saisons.[/arm_restrict_content]

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Photo : FIBA

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