Alors qu’il vient de s’engager avec l’UNICS Kazan, Haukur Palsson nous avait accordé une interview en fin de saison. L’occasion pour vous de la lire ou relire.
International islandais passé par l’université de Maryland, Haukur Palsson (1,97m, 26 ans) vit sa troisième saison de suite en France à Nanterre, après avoir joué à Rouen et Cholet. Après l’entraînement matinal, l’ancien joueur de Manresa a répondu aux questions du « En Direct ». Demain, il sera face à Pau en quart-de-finale aller des playoffs.
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Votre premier match en pro :
Je m’en souviens , j’étais à Manresa et c’était contre la Joventut Badalone. J’en garde un plutôt bon souvenir, j’avais 18 ou 19 ans à l’époque (ndlr, victoire de Manresa lors de laquelle Haukur Palsson a commencé le match et compilé 2 points, 3 rebonds et 3 contres en 20 minutes).
Le joueur qui vous a rendu meilleur :
Il y en a deux. Je dirais Jon Stefansson qui joue toujours aujourd’hui (ndlr, à Reykjavik, en Islande) et Hörður Vilhjálmsson qui ne joue plus depuis cette saison et qui est devenu coach.
Aviez-vous un modèle dans le basket :
Jon Stefansson ! J’aimais aussi beaucoup Kobe Bryant. Et quand j’ai commencé à regarder Manu Ginobili, je l’ai très vite adoré.
Le meilleur joueur actuel de Jeep Elite :
C’est difficile… Julian Wright était très bon quand on a joué Levallois, mais c’est compliqué de sortir un seul joueur. Il y a vraiment beaucoup de bons joueurs dans ce championnat, je ne peux pas en tirer un.
Le coach qui vous a le plus marqué :
Quand j’étais jeune j’ai eu un coach, Thomas. A l’époque je ne me suis pas rendu compte de ce qu’il m’apportait, mais avec du recul je me dis qu’il m’a beaucoup aidé. J’ai bien aimé aussi Gary Williams, quand j’étais à l’université de Maryland. C’est pendant mes jeunes années que j’ai le plus été marqué par mes entraineurs.
La salle dans laquelle vous avez joué avec le plus d’ambiance :
Quand j’étais à l’université de Maryland. C’était incroyable. On a un très bon public ici à Nanterre, mais il y avait 18 000 personnes dans la salle à Maryland ! (sourire)
Si vous deviez payer pour voir un joueur :
Encore en activité, je dirais Kevin Durant.
Le pire souvenir en carrière :
Je pense que ma deuxième année en Espagne a été très difficile (ndlr, à Manresa). Je n’étais pas en confiance. Mon année en high school n’était pas une bonne expérience non plus. Je pense aussi au moment où je me suis blessé au dos, c’était dur.
Le meilleur souvenir :
Mes premières années de basket étaient bien, mon expérience à Maryland était géniale. Mais je pense que c’est ma première année en Espagne qui reste la meilleure que j’ai vécu.
Le meilleur joueur avec qui vous avez joué :
Adam Hanga ou Justin Doellman.
Le meilleur joueur contre qui vous avez joué :
Kyrie Irving, je pense.
Votre match référence en carrière :
Je n’en ai pas vraiment.
Si vous pouviez prendre le move d’un joueur :
Hum… Le stepback de James Harden. La façon qu’il a de pouvoir se créer son propre tir à chaque fois… Ah non, les fadeaways de Kobe Bryant !
Pourquoi le numéro 13 :
C’est une bonne question (rires) ! Il se dit toujours que le numéro 13 porte malheur. Quand j’étais jeune, j’ai toujours voulu prendre ce numéro parce que voulais justement porter malheur à l’adversaire. Ça c’est quand j’étais enfant, mais depuis je l’ai toujours gardé.
Les sujets de discussion dans les vestiaires :
On parle vraiment de tout et n’importe quoi ! Ça peut être un joueur, un match, une performance…
Le mec le plus drôle de l’équipe :
Jeremy Senglin est très, très drôle.
Votre meilleur pote dans le basket :
Tous mes meilleurs amis sont des joueurs de basket ! Il y en a deux dont je suis vraiment proche.
Si vous deviez choisir quatre potes pour monter une équipe avec vous, qui choisiriez-vous :
Compliqué… C’est une bonne question… Je partirais avec Justin Doellman, Adam Hanga, il n’est pas vraiment meneur mais Jeremy Senglin et mon gars Josh Asselin au poste 5.
La ville où vous avez joué que vous préférez :
J’étais très bien à Rouen, mais ici on est juste à côté de Paris donc c’est difficile de rivaliser.
Principale occupation entre deux entraînements :
L’été j’aime pêcher, les balades à cheval, j’aime faire du camping, tout se qui se fait à l’extérieur. J’aime jouer à la playstation.
Si vous pouviez changer une règle dans le basket :
C’est une question compliquée, j’aime ça ! Je commencerais par mettre les mêmes règles partout. En Europe il à 24 secondes, en NCAA 35, en high school parfois il n’y a pas de limite. Voilà par quoi je commencerais.
Si vous ne jouiez pas au basket :
Je serais dans la vente, quelque chose comme ça.
Après le basket :
Dans la vente.
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Votre premier match en pro :
Je m’en souviens , j’étais à Manresa et c’était contre la Joventut Badalone. J’en garde un plutôt bon souvenir, j’avais 18 ou 19 ans à l’époque (ndlr, victoire de Manresa lors de laquelle Haukur Palsson a commencé le match et compilé 2 points, 3 rebonds et 3 contres en 20 minutes).
Le joueur qui vous a rendu meilleur :
Il y en a deux. Je dirais Jon Stefansson qui joue toujours aujourd’hui (ndlr, à Reykjavik, en Islande) et Hörður Vilhjálmsson qui ne joue plus depuis cette saison et qui est devenu coach.
Aviez-vous un modèle dans le basket :
Jon Stefansson ! J’aimais aussi beaucoup Kobe Bryant. Et quand j’ai commencé à regarder Manu Ginobili, je l’ai très vite adoré.[/arm_restrict_content]
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Photo : Champions League