En direct avec Jean-Baptiste Maille (Rouen) : « Beaublanc, il faut vraiment y être pour comprendre »

Victime d’une rupture des ligaments croisés du genou en préparation de la saison 2017/18 avec le CSP Limoges, Jean-Baptiste Maille (1,90m, 24 ans) a décidé de retourner en Pro B pour se relancer. En pleine préparation à Dallas avec Rouen, l’ancien joueur de Fos-sur-Mer répond aux questions du « En Direct ».

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Votre premier match en pro :

C’était avec Le Portel et c’était à Aix-Maurienne. J’en garde un bon souvenir parce que c’est mon premier match mais ce n’était pas le meilleur match de ma vie (rires).

Le joueur qui vous a rendu meilleur :

Il y en a beaucoup. J’ai essayé d’apprendre de tous mes coéquipiers. Pour l’instant j’ai toujours eu la chance d’avoir des super mecs avec moi et des plus anciens qui m’ont beaucoup appris. Je pourrai en citer vraiment beaucoup. J’ai eu beaucoup de chance sur ce point-là jusqu’à maintenant.

Le meilleur joueur actuel de Jeep Elite :

Ah… Je vais dire… Bon je vais pas dire mes potes quand même (rires). Ah franchement Zachery Peacock. Il a complètement mérité son titre de MVP. L’année dernière, c’était quand même costaud. Il a tenu Bourg, pas tout seul, mais pas loin.

« Le ressenti qu’on a quand on est là-bas et qu’on joue pour Limoges, c’est indescriptible »

Le coach qui vous a le plus marqué :

Ils m’ont tous marqué, mais c’est vrai que Rémi Giuitta c’est celui avec qui je suis resté le plus longtemps donc forcément c’est lui. Plus jeune, j’ai eu Mathieu Lemercier et Antoine Mathieu avec qui je suis resté vraiment très longtemps.

Le club dans lequel vous rêveriez de jouer :

C’est compliqué comme question ! Il y a évidemment la NBA et l’Euroleague, mais c’est plus un objectif qu’un rêve. Je pense les New York Knicks.

La salle dans laquelle vous avez joué avec le plus d’ambiance :

Ah Beaublanc sans hésiter ! L’ambiance et la ferveur des supporters c’est vraiment incroyable ! Il faut vraiment y être pour comprendre. Le ressenti qu’on a quand on est là-bas et qu’on joue pour Limoges, c’est indescriptible.

Le pire souvenir de joueur :

Je n’ai pas de pire souvenirs et je pense qu’on apprend de tout. Evidemment, ma blessure la saison dernière (ndlr, rupture des ligaments croisés), c’est jusqu’à maintenant le plus gros point noir de ma carrière. Ça ne sera peut-être pas le plus noir de toute ma carrière, mais c’était vraiment pas le plus joli en tout cas.

Le meilleur souvenir de joueur :

Les titres gagnés en jeunes. Le championnat d’Europe U20, représenter son pays c’est particulier. Il y aussi les saisons qui se passent bien avec les coéquipiers, où on gagne les matchs et où on va loin. Mais j’attends encore le titre en pro !

Le meilleur joueur avec qui vous avez joué :

Alors ça ce n’est pas évident non plus ! Je dirais… Aaron Broussard. Ah, il y aussi Samardo Samuels qui n’est pas trop mal !

Le meilleur joueur que vous avez affronté :

Ce qui n’est pas évident c’est que l’année dernière je n’ai pas vraiment beaucoup joué… Bah Peacock ! Il y aussi des gars en Eurocup qui sont vraiment très, très forts mais je ne peux pas dire que j’ai joué contre eux donc je dirais Zachery Peacock.

Votre match référence en carrière :

Il y en a plusieurs, mais je ne pourrais pas en citer un en particulier. Ça reste des matchs en saison régulière, pas des matchs cruciaux ou des matchs couperets.

Si vous pouviez prendre le move d’un joueur :

L’adresse de Stephen Curry. Ça changerait bien des choses ! Ça serait plus facile le basket (rires).

Pourquoi le numéro 9 :

Bonne question. Je l’ai depuis tout petit. Ma grande sœur le portait et je ne sais pas, ce numéro m’est resté depuis que je suis tout jeune. Il y a eu très, très peu de saison où je ne l’ai pas eu.

Votre meilleur pote dans le basket :

Oh j’en ai beaucoup ! C’est trop compliqué ! (rires)

« Avant j’aurais voulu être pilote de ligne »

Si vous deviez choisir quatre mecs pour monter une équipe avec vous, qui choisiriez-vous :

Je vais mettre des potes aussi. Je prends William Howard. Il faut que ça défende un peu aussi… Je vais mettre Raphaël Desroses et Jimmy Durand en 5. Et je prends aussi Axel Bouteille. Et si je peux m’enlever de l’équipe, je mets Paul Courcier à ma place.

Principale occupation entre deux entraînements :

Être avec ma famille, ma copine. Je fais des cours par correspondance pour une école de commerce en ligne donc forcément ça me prend aussi un peu de temps. J’aime bien regarder des séries, j’aime bien lire et écouter de la musique. Comme tout le monde, mais j’ai les études en plus et ce côté commerce qui m’attire aussi.

Si vous ne jouiez pas au basket :

Avant j’aurais voulu être pilote de ligne et au fur et à mesure ça serait plus dans l’entreprenariat.

Après le basket :

Ah l’avenir nous le dira… Je n’en ai aucune idée !

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Votre premier match en pro :

Mon premier match en saison pro c’était avec Le Portel et c’était à Aix-Maurienne. J’en garde un bon souvenir parce que c’est mon premier match mais ce n’était pas le meilleur match de ma vie (rires).

Le joueur qui vous a rendu meilleur :

Il y en a beaucoup. J’ai essayé d’apprendre de tous mes coéquipiers. Pour l’instant j’ai toujours eu la chance d’avoir des super mecs avec moi et des plus anciens qui m’ont beaucoup appris. Je pourrai en citer vraiment beaucoup. J’ai eu beaucoup de chance sur ce point-là jusqu’à maintenant.

Le meilleur joueur actuel de Jeep Elite :

Ah… Je vais dire… Bon je vais pas dire mes potes quand même (rires). Ah franchement Zachery Peacock. Il a complètement mérité son titre de MVP. L’année dernière, c’était quand même costaud. Il a tenu Bourg, pas tout seul, mais pas loin.[/arm_restrict_content]

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Photo : Limoges CSP et Fos Provence Basket