Zackary « Zack » Wright (1,88m, 35 ans) débute sa troisième année au sein de la JL Bourg. Une première pour le meneur américano-bosnien, habitué à voguer de pays en pays et de club en club. Ce joueur combatif et reconnu par ses pairs comme un vrai leader, aussi bien sur le terrain qu’en dehors, répond à la rubrique « En Direct ».
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Quel a été le premier match que vous avez joué en pro ?
Je ne m’en rappelle pas vraiment. Je pense que c’était pour mon premier tournoi, en Allemagne. Je ne me rappelle plus contre quelle équipe on jouait. Par contre, j’ai dû avoir quelques jours pour me préparer avant le match, pas plus. J’ai bien joué ce jour-là mais j’étais très fatigué après (rires).
Avez-vous un modèle ?
Pas vraiment, je ne regarde déjà pas trop de NBA, j’aime bien regarder les premiers matchs mais je me lasse vite. Après, il y a bien Michael Jordan et Allen Harris qui étaient des modèles pour moi, à un moment. Il y a beaucoup d’autres joueurs talentueux maintenant !
Qui est le meilleur joueur actuellement selon vous en Jeep Elite ?
Je vais parler de mes coéquipiers (rires), (Zachery) Peacock parce que c’est un bon joueur que ce soit offensivement, défensivement, il peut tirer, il peut tenir son opposant en défense. C’est un bon joueur, très complet, qui travaille dur.
« John Linehan. Le premier joueur qui m’a impressionné et mis en difficulté »
C’est un joueur qui va vous marquer ?
Oui, parce qu’il se donne à fond, j’aime cet esprit ! il travaille toujours plus pour produire un meilleur jeu.
Quel est le club dans lequel vous rêvez de jouer ?
Avant de revenir en France (NDLR : en 2016, après un premier passage entre 2008 et 2011), j’ai joué au Panathinaïkos, entre autres. Pour moi, jouer là-bas, c’était comme si un rêve s’était réalisé. Les fans sont géniaux, ça se voit qu’ils aiment le basket-ball et le comprennent. Quand on perd de 30 points, ils savent ce qui se passe, ils connaissent les enjeux et nous soutiennent coûte que coûte, c’est culturel. Pourquoi pas y retourner (rires).
Quel est votre meilleur souvenir basket ?
Ce devait être en Croatie (NDLR: vainqueur du championnat national avec le Cibona Zagreb en 2012) parce que je n’avais encore jamais gagné de championnat professionnel. J’ai gagné deux ans après le championnat en Grèce, mais le premier était vraiment le plus impressionnant.
Et à l’inverse, quel est le pire ?
Je ne sais pas, sûrement quand je perdais (rires). Non sérieusement, je pense que ça devait être à Limoges (2010-2011) quand on a eu une série de défaites, ça te donne un coup au moral. Ou alors, non, c’était plutôt à mes débuts quand j’étais en Allemagne à Braunschweig (NDLR : en troisième division allemande !). Je n’aimais vraiment pas être là.
Quel a été votre adversaire le plus coriace ?
Probablement John Linehan (rires). C’est le premier joueur qui m’a impressionné et mis en difficulté. Un défenseur très résistant qui m’a rendu plus fort.
Avez-vous un match de référence ?
Je ne sais pas, maintenant que j’ai vraiment joué beaucoup de matchs… Je dirais quand j’étais à Monaco (2016-2017), la rencontre face au Bandirma Banvit (Turquie) pour aller en finale du Final Four de BCL. Même si on a perdu, c’était un de mes meilleurs matchs. C’était intense et j’étais fier de moi après.
Si vous pouviez voler le move d’un joueur, lequel ce serait ?
Le fadeaway de Jordan, sans hésiter !
Avec qui monteriez-vous votre cinq de rêve ?
J’ai souvent pensé à cette question, tu sais, avec tous les joueurs que j’ai croisé dans ma carrière. Je prendrais mes gars : moi, Dee Bost, Jamal Shuler, Zachery Peacock en poste 4, et en pivot, quelqu’un de fort en rebonds, en dunks, (Alen) « Big » Omić.
« Tenir un salon de barbier ou pourquoi pas être chef parce que j’aime bien cuisiner »
Avec quels joueurs avez-vous le plus d’affinités ?
Ce sont généralement les joueurs de mon club actuel donc là, je dirais Dee Bost et Peacock, on est très souvent ensemble.
Et de quoi parlez-vous entre deux entraînements, dans les vestiaires ?
Avec eux, on parle souvent de basket, de nos expériences, des différents clubs dans lesquels on a été. Ce genre de choses, après on parle aussi un peu des familles, du business, du futur en somme.
Que feriez-vous si vous ne jouiez pas au basket ?
C’est une bonne question. Je pense que je ferais du coaching, ou alors une activité qui n’a rien à voir, tenir un salon de barbier ou pourquoi pas être chef parce que j’aime bien cuisiner (rires).
Pour finir, où vous voyez-vous après cette carrière ?
Je prendrai du temps pour ma famille, ma femme et mes enfants. Ensuite, j’essayerai de développer mon business que je suis en train de créer. On rachète des maisons, on les retape et on essaye de les revendre. Je fais ça depuis à peu près trois ans et on essayera d’étendre l’activité dans l’automobile si l’opportunité se présente.
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Quel a été le premier match que vous avez joué en pro ?
Je ne m’en rappelle pas vraiment. Je pense que c’était pour mon premier tournoi, en Allemagne. Je ne me rappelle plus contre quelle équipe on jouait. Par contre, j’ai dû avoir quelques jours pour me préparer avant le match, pas plus. J’ai bien joué ce jour-là mais j’étais très fatigué après (rires).
Avez-vous un modèle ?
Pas vraiment, je ne regarde déjà pas trop de NBA, j’aime bien regarder les premiers matchs mais je me lasse vite. Après, il y a bien Michael Jordan et Allen Harris qui étaient des modèles pour moi, à un moment. Il y a beaucoup d’autres joueurs talentueux maintenant !
Qui est le meilleur joueur actuellement selon vous en Jeep Elite ?
Je vais parler de mes coéquipiers (rires), (Zachery) Peacock parce que c’est un bon joueur que ce soit offensivement
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Photos : JL Bourg, SIG Strasbourg et ouverture LNB/Hervé Bellenger
Vidéo : LNB