Le Panathinaikos Athènes avait en Euroleague des ambitions revues à la baisse mais on ne l’imaginait pas à ce point sur le recul. Suite à sa défaite face à l’Etoile Rouge de Belgrade, il occupe en cette fin d’année et alors qu’il lui manque un match pour clôturer le cycle aller -il doit avoir lieu le 17 février face au Zenit St. Petersbourg- l’avant-dernière position à égalité avec Villeurbanne.
Le « trèfle » a un bilan de 5-11, qui est le pire de son histoire après le premier tour. Son plus mauvais résultat après 16 matchs était de 7-9 lors de la saison 2018-19, alors qu’il était à la 11e place.
La meilleure position à ce moment-là de la compétition fut lors de la saison 2017-18 avec un record de 11-5, tandis qu’à deux autres reprises, en 2016-17 et l’année dernière, le Panathinaikos avait 9 victoires et 7 défaites.
Durant l’été 2020, le Pana a vu le retrait de son propriétaire, Dimitris Giannakopoulos, de son coach Rick Pitino et de son leader, Nick Calathes. C’est tout sauf une coïncidence, il a réduit sa voilure financière.
Le Panathinaikos a six matches à disputer en Euroleague en janvier, dont quatre à OAKA. L’occasion d’un nouveau départ ?
Photo: Nemanja Nedovic (Euroleague)
