"Merci à Panagiotis et George (Angelopoulos, les propriétaires du club) de m'avoir donné l'opportunité de porter ce maillot. Hier, c'était une expérience folle (NDLR : son arrivée à l'aéroport). Un des jours les plus fous que j'ai vécu. Je suis prêt à travailler, à faire connaissance avec mes coéquipiers, j'ai hâte de travailler avec l'entraîneur (Georgios) Bartzokas".
(A propos d'un tweet qu'il a publié en 2022 où il déclarait vouloir jouer pour Olympiakos s'il revenait en Europe): "Ce n'était pas un tweet sorti de nulle part. Ma première expérience avec l'Olympiakos, c'était en 2010 à Paris. J'étais alors très jeune, 16 ans, et j'ai dit "wow", en me retrouvant moi-même parmi les supporters. Mon joueur préféré en grandissant était (Théo) Papaloukas, je ne peux pas l'expliquer, mais l'Olympiakos a toujours été mon équipe préférée en Europe.
"Le fait que George (Angelopoulos), un propriétaire, soit venu hier pour m'accueillir à l'aéroport, en compagnie des fans, en dit long. Ce que j'ai vécu hier était incroyable et le partager avec le président montre que cela vient de son cœur. C'est exactement ce que je suis venu vivre ici."
"Je vais être honnête. Je ne connais pas grand-chose du championnat grec. J'ai vu des vidéos, venant de Salonique je pense, de gens jetant des papiers. Bien sûr, je connais le Panathinaïkos et l'OAKA. Mais je ne sais pas grand chose d'autre."
"Je suis de nature introvertie et timide. J'ai été impressionné par les gens. J'avais l'impression d'être chez moi. C'était une expérience très profonde. Je n'oublierai jamais."
"La seule chose que je « déteste » chez (Moustapha) Fall, c'est qu'il porte le numéro 10. J'ai essayé de le lui prendre, mais il ne m'a pas laissé faire (...) Il était content de mon transfert. Je lui ai dit que j'étais optimiste que nous jouerions ensemble la saison prochaine 2-3 jours avant la conclusion de l'accord, donc il n'a pas été si surpris (Evan Fournier va porter le numéro 94, en référence au Val-de-Marne, son département de naissance)."
Bartzokas est l'un des meilleurs entraîneurs d'Europe. Quand vous ne jouez pas en Euroleague et que vous voyez les matchs de l'extérieur, vous comprenez que l'Olympiakos joue un des meilleurs basket, avec un bon mouvement du ballon, mais aussi avec des joueurs libres. En venant en Europe, je ne voulais pas d'un système très strict, et à part l'histoire de l'équipe, qui est très attractive, j'ai pensé que l'Olympiakos me convenait parce qu'il a un esprit d'équipe et de l'humilité."
(A propos de Mathias Lessort) "Au début de l'été, des rumeurs circulaient selon lesquelles je viendrais à l'Olympiakos et nous nous sommes entraînés avec l'équipe nationale. Lessort me taquinait et me disait de ne pas venir parce qu'il est au Panathinaikos. Nous avons une très bonne relation, car nous vivons dans la même pièce depuis 2019."
