Nous re-publions les salaires des joueurs et coaches des 18 équipes de Jeep Elite pour la saison 2018-19 qui sont déjà parus en exclusivité sur notre site en octobre avec les commentaires originaux.
Avant de découvrir les salaires des joueurs à partir de ce week-end, voici en exclusivité les salaires des coaches de Jeep Elite.
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Si on demande à un fan averti qui a le plus gros salaire de la Jeep Elite au rayon des coaches, très probablement qu’il citerait le Strasbourgeois Vincent Collet ou le Villeurbannais Zvezdan Mitrovic. Une question de pedigree. Et il aurait raison. Les deux sont à égalité.
Vincent Collet était déjà le numéro un la saison dernière. Champion avec Le Mans (2006) et Villeurbanne (2009), l’ancien joueur de Pro A a été cinq fois de suite finaliste du championnat et aussi de l’Eurocup avec Strasbourg (de 2013 à 2017) manquant ainsi d’un souffle d’être le seul coach à être champion avec trois clubs différents, et quatre fois élu Entraîneur de l’Année. L’aura de Vincent Collet demeure très importante, grâce à son palmarès en club, son côté formateur, et aussi les résultats obtenus en équipe de France. Il est le premier coach à avoir conduit les Bleus jusqu’au titre européen (2013) avant de remporter la médaille de bronze à la Coupe du Monde l’année suivante. Il est aussi depuis l’été 2017 le coach ayant obtenu le plus de victoires avec l’équipe de France dépassant Joe Jaunay et Robert Busnel au palmarès.
Quant à Zvezdan Mitrovic, il a été reconnu par ses pairs, les joueurs et les journalistes comme le meilleur coach de Pro A/Jeep Elite en 2017 et 2018 -il avait été récompensé de la même manière en Ukraine- après avoir remporté trois Leaders Cup et terminé autant de fois premier de la saison régulière et amené l’AS Monaco deux fois au Final Four de la Champions League. Il ne manque plus au Monténégrin -qui lui aussi est coach de sa sélection nationale- que d’être champion, de parler français et… de réduire drastiquement le nombre de fautes techniques qui lui tombent sur ses larges épaules en raison de ses récriminations auprès des arbitres. L’ASVEL lui a donc offert un « pont en or » dans l’optique de l’Euroleague la prochaine saison et vu la qualité du jeu affichée par l’équipe et les résultats qui vont avec en ce début de saison, c’est un bon investissement !
Sinon, pas réellement de surprise : les salaires des coaches sont en fonction autant de leur CV que des moyens financiers des clubs. Les débutants ou ceux avec un an d’expérience ferment la marche. Et comme Monaco paye mieux que Nanterre, le Slovène Sasa Filipovski qui découvre le championnat français devance largement Pascal Donnadieu, l’homme qui « a fait » Nanterre.
Voir ici les salaires de 2017-18.
Les salaires des coaches de Jeep Elite :
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Si on demande à un fan averti qui a le plus gros salaire de la Jeep Elite au rayon des coaches, très probablement qu’il citerait le Strasbourgeois Vincent Collet ou le Villeurbannais Zvezdan Mitrovic. Une question de pedigree. Et il aurait raison. Les deux sont à égalité.
Vincent Collet était déjà le numéro un la saison dernière. Champion avec Le Mans (2006) et Villeurbanne (2009), l’ancien joueur de Pro A a été cinq fois de suite finaliste du championnat et aussi de l’Eurocup avec Strasbourg (de 2013 à 2017) manquant ainsi d’un souffle d’être le seul coach à être champion avec trois clubs différents, et quatre fois élu Entraîneur de l’Année. L’aura de Vincent Collet demeure très importante, grâce à son palmarès en club, son côté formateur, et aussi les résultats obtenus en équipe de France. Il est le premier coach à avoir conduit les Bleus jusqu’au titre européen (2013) avant de remporter la médaille de bronze à la Coupe du Monde l’année suivante. Il est aussi depuis l’été 2017 le coach ayant obtenu le plus de victoires avec l’équipe de France dépassant Joe Jaunay et Robert Busnel au palmarès.
Quant à Zvezdan Mitrovic, il a été reconnu par ses pairs, les joueurs et les journalistes comme le meilleur coach de Pro A/Jeep Elite en 2017 et 2018 -il avait été récompensé de la même manière en Ukraine- après avoir remporté trois Leaders Cup et terminé autant de fois premier de la saison régulière et amené l’AS Monaco deux fois au Final Four de la Champions League. Il ne manque plus au Monténégrin -qui lui aussi est coach de sa sélection nationale- que d’être champion, de parler français et… de réduire drastiquement le nombre de fautes techniques qui lui tombent sur ses larges épaules en raison de ses récriminations auprès des arbitres. L’ASVEL lui a donc offert un « pont en or » dans l’optique de l’Euroleague la prochaine saison
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Photo: Infinity Nine Media
