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Finale WNBA : New York recolle à 1-1 contre Minnesota

Chahuté par les Minnesota Lynx dès l’ouverture de la finale WNBA, le New York Liberty s’est relancé dans le match 2 (80-66) grâce notamment à une Breanna Stewart déchaînée (21 points, 8 rebonds, 5 passes décisives et 7 interceptions).

Piquée au vif après le match 1, où New York a perdu l’avantage du terrain, Breanna Stewart a réagi en championne dans la nuit de dimanche à lundi. L’ailière du Liberty a été flamboyante (21 points à 7/18 aux tirs, 8 rebonds, 5 passes décisives et 7 interceptions) lors d’un game 2 qui n’a jamais réellement laissé penser à un retour des Minnesota Lynx (80-66), malgré leur retour à une possession à 4 minutes de la fin. Elles ont repris un 14-2 en pleine poire dans le moneytime.

« Breanna (Stewart) était partout sur le terrain, elle a fait des ravages, elle était dans les intervalles, elle a rendu la tâche difficile aux Lynx. Quand vous avez votre meilleure leader qui joue aussi dur qu’elle, match après match, et qui a un impact sur le jeu de différentes manières, pas seulement en marquant et en prenant des rebonds, c’est une grande source de motivation pour tout le monde », a partagé sa coéquipière Courtney Vandersloot à ESPN après la rencontre.

Olivia Epoupa entrée en jeu

Septième Française en finale WNBA, la quatrième année d’affilée après Bria Hartley (Phoenix) en 2021, Iliana Rupert (Las Vegas) en 2022 et Marine Johannès (New York) en 2023, Olivia Epoupa a eu le droit à 36 secondes de jeu lors du match 2. C’est peu et en même temps si riche d’enseignements. 

« Je vis un moment privilégié. Je participe aux finales pour ma première saison WNBA. De nombreuses personnes rêveraient d’être à ma place aujourd’hui. Faire une finale, c’est beau, mais moi ce qui m’intéresse, c’est la gagne. Ce que je veux, c’est repartir à la maison avec la bague (...). C’est la première fois que je me retrouve dans ce statut-là (utilisée en bout de banc). Mais ce sera une expérience inoubliable quoi qu’il arrive. Dans ma tête, c’était déjà terminé. J’avais dit à mon agent que je ne voulais pas me prendre la tête à réintégrer une équipe. Mais le staff m’a contacté, il sait que je fais partie intégrante de cette équipe depuis le début. J’ai vécu ce rappel comme un moment de reconnaissance. C’est peut-être la première et la dernière fois que j’aurai l’opportunité de participer aux playoffs », disait la veille au Parisien-Aujourd’hui en France celle que sa coach Cheryl Reeve qualifie de “guide” au sein de son équipe.

Les deux franchises sont de retour à égalité (1-1) avant de poursuivre l'affrontement à Minneapolis.

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