A propos du tirage au sort :
« C’était un tirage au sort intéressant, comme à chaque fois. On sait que le championnat d’Europe est une compétition très dense et les chapeaux, les groupes, sont forcément toujours de très haut niveau. Comme c’était ma première, j’ai regardé ça avec pas mal d’excitation et beaucoup de curiosité. C’est vrai que lorsqu’il ne reste plus que les têtes d’affiche à tirer, on se demande toujours à quelle sauce on va être mélangé. De toutes façons, on ne sait jamais trop à quoi s’attendre. Effectivement, avec le nom des équipes, on pense qu’une poule est plus forte qu’une autre, que le groupe de l’Espagne est plus fort, mais on ne sait jamais comment les équipes vont être constituées, quels joueurs vont pouvoir répondre présents. Sincèrement, ça m’était un peu égal de savoir si on allait tomber dans le groupe C ou D.
(Il y aura ensuite un croisement pour les 8es de finale avec le groupe C) : Je suis d’accord, on a sans doute un groupe plus facile que l’autre mais d’ici fin août plein de choses peuvent arriver et je pense surtout aux joueurs majeurs. Qui dit que Giannis Antetokounmpo va venir pour la Grèce ? Qui dit pour la France que Victor Wembanyama sera apte ? Je ne me projette pas trop là-dessus. Et puis quand on voit la qualité des nations du basket européen, le niveau augmente d’année en année. Sans leur faire offense, il y a peut-être quatre ou cinq équipes qui sont d’un niveau en-dessous mais les autres sont très compétitives et je ne suis pas sûr qu’il y ait un huitième ou un quart-de-finale si facile dans n’importe quel groupe. Peu importe qui on jouera, on aura des ambitions. »
« J’aimerais commencer la préparation fin juillet sur Paris avec 16 joueurs pré-sélectionnés plus 3 joueurs d’entraînement »
A propos de la présence ou non de Victor Wembanyama :
