Après une fin de saison catastrophe et dix défaites consécutives en Ligue Féminine, entraînant une 10e place et une non qualification en Eurocup, Landerneau aspire à retrouver le top 8. Son coach Stéphane Leite a été remplacé par l’ancien assistant Wani Muganguzi.
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Né il y a six ans sur les bases du Léon Trégor Basket 29 et issu d’une union entre le Pleyber-Christ Basket Club et l’Elorn Olympique Landerneau, le Landerneau Bretagne Basket fait partie des clubs qui montent dans la hiérarchie nationale. En trois saisons en première division, les Bretonnes ont ont déjà décroché une qualification historique pour l’Eurocup dès leur deuxième saison, l’objectif du club à moyen terme. Tout en mettant en avant la notion de fierté du territoire et ses valeurs familiales.
Un an plus tard, Landerneau n’a pas réussi à retrouver la coupe d’Europe après une fin de saison en roue libre (10 défaites consécutives en LFB) et ce, malgré un budget supérieur aux précédentes années. Mais les ambitions du club restent claires : retrouver la Coupe d’Europe et s’y installer durablement, sachant que la ville a accueilli l’an dernier une bulle d’Eurocup, où les Bretonnes ont été éliminées après une victoire et deux défaites.
Seulement trois étrangères, un seul pari
Pour atteindre cet objectif, les dirigeants ont fait confiance à Wani Muganguzi, passé cet été du statut d’assistant à celui de coach principal en remplacement de Stéphane Leite, parti à Lattes-Montpellier (puis limogé pendant la présaison). Il sera assisté de Virgil Lopez, ancien second de Thibaut Petit au BLMA qui travaille régulièrement au Brésil. « C’est intéressant de vivre une nouvelle aventure pour laquelle j’ai la chance d’être bien entouré », confie le nouvel entraîneur, qui vivra sa deuxième expérience sur un banc de LFB après celle du Cavigal Nice en 2017-2018.
Pour cette nouvelle saison, le club a convaincu ses trois leaders – la Nigériane Ezinne Kalu, l’Allemande Luisa Geiselsoder et la meneuse Virginie Bremont de rester – mais aussi la prometteuse Hortense Limouzin, la capitaine Marie Butard et l’intérieure àCatherine Mosengo-Masa. Des joueuses de complément sont parties (Elodie Naigre, Shanavia Dowdell, Gabriela Marginean, Alena Hanusova et Myriam Djekoundade) mais cinq nouvelles recrues intéressantes viennent contre-balancer pour offrir de nouvelles perspectives : les éclairées Margaux Galliou-Loko (Tarbes) et Marie Mané (Nantes-Rezé), l’exaltante Sixtine Macquet (Charnay) et le pari Teana Muldrow, l’une des meilleures joueuses du championnat israélien l’an dernier. Ainsi que le prospect Ilona Hattab, sortie tout droit de l’INSEP. Le groupe sera ainsi composé de seulement trois étrangères. Une seule, l’Américaine Teana Muldrow, n’ayant jamais joué en France mais disposant d’un gros potentiel.
« Conserver notre axe 1-5 tout en se renforçant sur les autres postes par des joueuses spécifiques »
« On a surtout veillé à conserver notre axe 1-5 tout en se renforçant sur les autres postes par des joueuses spécifiques », explique Wani Muganguzi en pensant notamment à l’internationale française Margaux Galliou-Loko dont la polyvalence et l’adresse devraient constituer un atout indéniable pour la formation finistérienne. En préparation, les reprises en douceur de Macquet et Mané, après un été intense, et l’absence d’Ezinne Kalu, retenue pour l’AfroBasket avec le Nigéria jusqu’à la fin du mois, ont légèrement retardé le groupe, qui trouve malgré tout ses marques.
« Le but de la préparation est de trouver une identité défensive, car pour l’instant, nous n’avons pas un gros vécu collectif. Nous continuons à travailler, et les autres clubs ne sont pas non plus épargnés par les blessures donc je ne suis pas inquiet » confie le nouvel entraîneur principal du LBB. Attention au calendrier car le début du championnat sera délicat avec un déplacement à Lyon puis la réception de Bourges à la Cimenterie avant trois rencontres déjà importantes (Saint-Amand, Tarbes et Charnay) au mois d’octobre.
Les changements de l’intersaison
Elles restent : Luisa Geiselsoder, Ezinne Kalu, Marie Butard, Virginie Bremont, Hortense Limouzin, Catherine Mosengo-Masa, Wani Muganguzi (coach).
Elles arrivent : Teana Muldrow (Israël, Maccabi Haïfa), Margaux Galliou-Loko (Tarbes), Sixtine Macquet (Charnay), Marie Mané (Nantes-Rezé), Ilona Hattab (INSEP).
Elles partent : Elodie Naigre (Lattes-Montpellier), Gabriela Marginean (Izmit, Turquie), Myriam Djekoundade (Saint-Amand), Shanavia Dowdell (Mondeville, LF2), Alena Hanusova, Stéphane Leite (coach).
Effectif 2021-22 :
Meneuses : Virginie Bremont (1,77 m, 32 ans), Hortense Limouzin (1,65 m, 23 ans)
Arrières : Ezinne Kalu (1,73 m, 29 ans), Marie Butard (1,72 m, 35 ans), Ilona Hattab (1,79 m, 18 ans)
Ailières : Margaux Galliou-Loko (1,84 m, 28 ans), Marie Mané (1,83 m, 25 ans)
Intérieures : Teana Muldrow (1,88 m, 25 ans), Sixtine Macquet (1,96 m, 20 ans)
Pivots : Luisa Geiselsoder (1,92 m, 20 ans), Catherine Mosengo Masa (1,92 m, 25 ans)
Staff 2021-22 :
Entraîneur : Wani Muganguzi (31 ans)
Assistant : Virgil Lopez (43 ans)
Président : Erwan Groguennec
Salle : La Cimenterie (2 200 places)
Les joueuses
Le cinq majeur
Virginie Bremont
Née le 16 juillet 1989 (32 ans) – 1,77 m – Poste 1 – Française
Stats LFB 2020-21 : 7,1 points à 46,5 % aux tirs, 5,5 passes décisives, 2,4 rebonds et 1,2 interception pour 9,8 d’évaluation en 24 minutes (18 matches)
Une joueuse d’expérience pour mener les Bretonnes. La Calaisienne va débuter sa 12e saison en Ligue Féminine, elle qui n’a connu que quatre clubs dans sa carrière (Armentières, Lattes-Montpellier, Villeneuve d’Ascq et donc Landerneau). Quatrième meilleure passeuse de LFB lors des deux dernières saisons, son QI basket et ses capacités à organiser le jeu sont toujours précieuses, même à 32 ans passés.
Ezinne Kalu
Née le 26 juin 1992 (29 ans) – 1,73 m – Poste 2 – Américaine/Nigériane
Stats LFB 2020-21 : 13,3 points à 38,1 % aux tirs, 4,0 passes, 3,7 rebonds et 2,1 interceptions pour 13,4 d’évaluation en 32 minutes (22 matches)
Il y a deux ans, pour sa première expérience en France, Ezinne Kalu avait terminé 6e meilleure évaluation du championnat. Véritable leader du groupe, ses statistiques ont légèrement baissé en LFB la saison dernière, mais pas son impact, aussi bien offensif que défensif (5e intercepteuse). Après avoir participé aux Jeux Olympiques avec le Nigéria (12,3 points, 4,0 rebonds, 3,7 passes décisives pour 11,7 d’évaluation en 30 minutes), la MVP de l’AfroBasket 2019 tente actuellement de garder son titre continental avec son pays.
Margaux Galliou-Loko
Née le 12 avril 1993 (28 ans) – 1,84 m – Poste 3-4 – Française
Stats LFB 2020-21 : 11,6 points à 48,4 % aux tirs (dont 46,5 % à 3-points), 3,8 rebonds, 2,1 passes et 1,0 interception pour 11,8 d’évaluation en 30 minutes (20 matches)
Tout simplement la joueuse la plus adroite à 3-points du championnat la saison dernière. Expérimentée et polyvalente, la Nantaise Margaux Galliou-Loko vient de vivre la saison la plus aboutie de sa carrière avec Tarbes et a été récompensée à juste titre d’une sélection à un stage avec l’équipe de France. Également internationale de 3×3, cette battante au mental de compétitrice va entamer sa 10e saison en LFB et connaître son 8e club en pro, après trois saisons dans le sud-ouest où elle avait récupéré le brassard de capitaine.
Teana Muldrow
Née le 16 décembre 1995 (25 ans) – 1,88 m – Poste 4-5 – Américaine
Stats Israël 2020-21 : 17,0 points à 45,6 % aux tirs, 9,0 rebonds, 2,3 passes, 1,6 interception et 0,9 contre pour 16,5 d’évaluation en 35 minutes (23 matches)
Après trois saisons en Israël et dernièrement au Maccabi Haifa, Teana Muldrow va découvrir le championnat français. Draftée en 29e position en 2018, l’ancienne pensionnaire de West Virginia n’a joué que 4 matches en WNBA. Capable d’apporter par son scoring à la fois à l’intérieur et à l’extérieur, c’est aussi une très bonne rebondeuse. Présentée comme une battante sur un terrain, la native d’East Orange, dans le New Jersey, devrait apporter des qualités de leadership. « Une belle découverte », promet un dirigeant du club.
Luisa Geiselsoder
Née le 10 février 2000 (21 ans) – 1,92 m – Poste 5-4 – Allemande
Stats LFB 2020-21 : 14,0 points à 60,1 % aux tirs, 5,1 rebonds, 0,8 interception et 0,6 contre pour 15,1 d’évaluation en 25 minutes (18 matches)
La révélation de la saison en Bretagne. Meilleure évaluation du club en championnat comme en Eurocup, Luisa Geiselsoder s’est affirmée comme l’une des leaders du groupe malgré son jeune âge. Capable de tirer à mi-distance comme de jouer près du cercle, la n°21 de la draft WNBA 2020 aura un rôle central dans la raquette. L’internationale allemande va déjà entamer sa 6e saison professionnelle, à seulement 21 ans.
Les remplaçantes
Hortense Limouzin
Née le 1er juillet 1998 (23 ans) – 1,65 m – Poste 1 – Française
Stats LFB 2020-21 : 4,5 points à 31,9 % aux tirs, 2,8 passes, 2,3 rebonds et 0,9 interception pour 4,6 d’évaluation en 19 minutes (21 matches)
Après deux saisons à Basket Landes et deux à Saint-Amand (où elle fut capitaine), Hortense Limouzin s’apprête à jouer sa deuxième saison à Landerneau. Meneuse d’avenir qui n’a cessé de progresser, la championne d’Europe U18 en 2016 a montré tout son talent en Eurocup (6,7 points, 5,7 rebonds, 2,0 passes et 2,3 interceptions pour 12,0 d’évaluation en 19 minutes). Capable de défendre fort et de jouer en contre-attaque, elle continue de transmettre ses qualités avec l’équipe de France U23 de 3×3.
Ilona Hattab
Née le 28 mars 2003 (18 ans) – 1,79 m – Poste 2-3 – Française
Stats LF2 2020-21 : 5,2 points à 39,0 % aux tirs, 4,4 rebonds et 0,7 interception pour 4,9 d’évaluation en 17 minutes (11 matches)
Formée un cursus à l’INSEP, Ilona Hattab quitte le pôle France pour lancer sa carrière professionnelle. Cette ancienne d’Antibes et du Cavigal Nice accompagnera l’équipe professionnelle tout en se développant avec le centre de formation. Travailleuse acharnée, elle a participé à l’Euro Challengers avec l’équipe de France U18 cet été (2,8 points, 3,8 rebonds en 16 minutes). Pas une shooteuse mais un potentiel athlétique, malgré ses blessures à la cheville.
Marie Butard
Née le 14 mars 1986 (35 ans) – 1,72 m – Poste 2 – Française
Stats LFB 2020-21 : 2,5 points à 35,3 % aux tirs, 0,9 rebond, 0,8 passe et 0,9 interception pour 2,5 d’évaluation en 10 minutes (15 matches)
Capitaine emblématique du club, Marie Butard va entamer sa 11e saison en Bretagne, elle qui a rejoint l’aventure quand le club était basé à Pleyber Christ. Son rôle a fortement diminué depuis son arrivée en Ligue Féminine mais la native de Chambray-Les-Tours continuera d’apporter au groupe son énergie et son leadership. A 35 ans, cette jeune maman – sa compagne a porté l’enfant – aura un rôle essentiel dans la formation des plus jeunes.
Marie Mané
Née le 12 décembre 1995 (25 ans) – 1,83 m – Poste 3-2 – Française
Stats LFB 2020-21 : 10,5 points à 35,0 % aux tirs, 3,0 passes décisives, 2,5 rebonds, 1,2 interception et 0,5 contre pour 8,3 d’évaluation en 32 minutes (22 matches)
Véritable couteau suisse, Marie Mané vient de conclure la saison la plus aboutie de sa carrière sur le plan individuel à Nantes-Rezé même si elle n’a pu éviter à son club la descente. Cette qui entame sa 8e saison en LFB va découvrir une 6e équipe en Bretagne, avec la volonté de franchir encore un cap. Polyvalente, athlétique et dotée d’une grande envergure, la Rochelaise vient de passer l’été complet avec l’équipe de France 3×3, majoritairement en qualité de remplaçante.
Sixtine Macquet
Née le 5 décembre 2000 (20 ans) – 1,96 m – Poste 5-4 – Française
Stats LFB 2020-21 : 6,7 points à 43,9 % aux tirs, 4,1 rebonds, 0,7 interception et 0,4 contre pour 7,1 d’évaluation en 17 minutes (22 matches)
Potentiel du basket français, la Mâconnaise Sixtine Macquet a décidé de poursuivre sa progression hors de sa maison. En pleine progression après deux saisons prometteuses à Charnay – et un cursus à l’INSEP – la polyvalente intérieure souhaite elle aussi passer un cap en sortant de sa zone de confort. Capable de tirer à mi-distance comme de finir au cercle, la médaillée de bronze de l’EuroBasket U18 en 2017 doit encore progresser, notamment à l’adresse et en défense, pour mieux utiliser ses grands compas. Participe chaque année à des rassemblements de 3×3.
Catherine Mosengo Masa
Née le 19 avril 1996 (25 ans) – 1,92 m – Poste 5 – Française
Stats LFB 2020-21 : 1,6 point à 52,2 % aux tirs, 2,3 rebonds et 0,4 contre pour 3,2 d’évaluation en 9 minutes (17 matches)
Issue de la pépinière de Mondeville, la native de Lagny-sur-Marne a tenté le projet Euroleague à Charleville-Mézières avant de s’aguerrir deux saison en LF2 puis de retenter l’aventure en Ligue Féminine. Très peu utilisée par Stéphane Leite l’an dernier, la championne de France espoirs 2013 reste en Bretagne en qualité de quatrième joueuse intérieure. Combattante et enthousiaste, « Katia » continuera d’apporter sa dureté défensive au groupe breton.
Le coach
Wani Muganguzi
Né le 26 juin 1990 (31 ans) – Français
A 31 ans, Wani Muganguzi possède déjà une solide expérience derrière lui. Coach principal du Cavigal Nice lors de la saison 2017-2018 aussi passé par le staff de Villeneuve d’Ascq entre 2013 et 2016 ou encore celui du Limoges CSP en 2016-2017, le natif d’Armentières était l’assistant de Stéphane Leite à Landerneau depuis 2018. Le choix de la continuité, donc, pour le club, qui a fait appel à Virgil Lopez, ancien assistant de Thibaut Petit au BLMA qui travaille régulièrement au Brésil, pour le seconder. Wani Muganguzi a manifesté son soutien à son ami Stéphane Leite après son licenciement seulement trois semaines après son arrivée sur le banc de Lattes-Montpellier.
La citation
« Après la WNBA, la Ligue Féminine est le championnat le plus dense du monde. Les clubs se renforcent et même si trois ou quatre clubs sont favoris pour le titre, derrière, ça sera très serré. Il n’y a plus de petits clubs. Ça sera vraiment un championnat très intéressant » – Wani Muganguzi
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Né il y a six ans sur les bases du Léon Trégor Basket 29 et issu d’une union entre le Pleyber-Christ Basket Club et l’Elorn Olympique Landerneau, le Landerneau Bretagne Basket fait partie des clubs qui montent dans la hiérarchie nationale. En trois saisons en première division, les Bretonnes ont ont déjà décroché une qualification historique pour l’Eurocup dès leur deuxième saison, l’objectif du club à moyen terme. Tout en mettant en avant la notion de fierté du territoire et ses valeurs familiales.
Un an plus tard, Landerneau n’a pas réussi à retrouver la coupe d’Europe après une fin de saison en roue libre (10 défaites consécutives en LFB) et ce, malgré un budget supérieur aux précédentes années. Mais les ambitions du club restent claires : retrouver la Coupe d’Europe et s’y installer durablement, sachant que la ville a accueilli l’an dernier une bulle d’Eurocup, où les Bretonnes ont été éliminées après une victoire et deux défaites.
Seulement trois étrangères, un seul pari
Pour atteindre cet objectif, les dirigeants ont fait confiance à Wani Muganguzi, passé cet été du statut d’assistant à celui de coach principal en remplacement de Stéphane Leite, parti à Lattes-Montpellier (puis limogé pendant la présaison). Il sera assisté de Virgil Lopez, ancien second de Thibaut Petit au BLMA qui travaille régulièrement au Brésil. « C’est intéressant de vivre une nouvelle aventure pour laquelle j’ai la chance d’être bien entouré », confie le nouvel entraîneur, qui vivra sa deuxième expérience sur un banc de LFB après celle du Cavigal Nice en 2017-2018.
Pour cette nouvelle saison, le club a convaincu ses trois leaders – la Nigériane Ezinne Kalu, l’Allemande Luisa Geiselsoder et la meneuse Virginie Bremont de rester – mais aussi la prometteuse Hortense Limouzin, la capitaine Marie Butard et l’intérieure àCatherine Mosengo-Masa. Des joueuses de complément sont parties (Elodie Naigre, Shanavia Dowdell, Gabriela Marginean, Alena Hanusova et Myriam Djekoundade) mais cinq nouvelles recrues intéressantes viennent contre-balancer pour offrir de nouvelles perspectives : les éclairées Margaux Galliou-Loko (Tarbes) et Marie Mané (Nantes-Rezé), l’exaltante Sixtine Macquet (Charnay) et le pari Teana Muldrow, l’une des meilleures joueuses du championnat israélien l’an dernier. Ainsi que le prospect Ilona Hattab, sortie tout droit de l’INSEP. Le groupe sera ainsi composé de seulement trois étrangères. Une seule, l’Américaine Teana Muldrow, n’ayant jamais joué en France mais disposant d’un gros potentiel.
« Conserver notre axe 1-5 tout en se renforçant sur les autres postes par des joueuses spécifiques »
« On a surtout veillé à conserver notre axe 1-5 tout en se renforçant sur les autres postes par des joueuses spécifiques », explique Wani Muganguzi en pensant notamment à l’internationale française Margaux Galliou-Loko dont la polyvalence et l’adresse devraient constituer un atout indéniable pour la formation finistérienne. En préparation, les reprises en douceur de Macquet et Mané, après un été intense, et l’absence d’Ezinne Kalu, retenue pour l’AfroBasket avec le Nigéria jusqu’à la fin du mois, ont légèrement retardé le groupe, qui…
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Photo : Ezinne Kalu (FIBA)