Ce mercredi, Iliana Rupert, désormais à la Virtus Bologne, va retrouver son ancienne équipe de Bourges pour le compte de la 2e journée d’Euroleague. Elle livre ses impressions au Berry Républicain.
Nouveau à ce niveau de compétition, la Virtus est très ambitieuse comme le confirme l’internationale française :
« Quand je suis arrivée, on m’a déjà parlé d’une qualification en quart de finale. On a l’équipe et les joueuses pour cela. Après, si le Final Four se présente, tant mieux, mais essayons déjà d’aller en quart, pour une première participation, ce serait déjà un bel objectif atteint. » A propos de l’équipe, elle développe : « Pour ma première expérience à l’étranger en Europe, c’est vraiment ce genre d’équipe, d’organisation, que je cherchais. On a de super joueuses à chaque poste. On a Cecilia Zandalasini qui n’a pas besoin de prouver son talent ; Kitija Laksa qui a fait une saison incroyable à Schio l’année dernière et qui reste encore sur son nuage ; Cheyenne Parker qui a le niveau WNBA et qui détruit tout dans la raquette… On a l’effectif pour faire de belles choses, c’est ce que je cherchais : une équipe compétitive. Je l’ai trouvée ici. »
Iliana Rupert n’a pas eu le temps d’apprendre l’italien durant les vacances comme espéré, mais elle affirme se sentir à l’aise dans son nouvel environnement.
« Très bien, je suis contente d’être tombée dans une telle équipe. Les filles sont super, et tout est beaucoup plus simple quand on se sent bien dans une équipe. La vie en Italie est plutôt sympa. J’espère maintenant que les objectifs fixés d’un point de vue basket vont suivre. »