Le pivot international grec de Peristeri, Ioannis Bourousis (2,15m, 37 ans), qui a fréquenté quelques uns des plus grands clubs d’Europe, dont le Panathinaikos, l’Olympiakos, le Real Madrid et encore Milan, a donné une interview à Gazzetta.gr qui ne manque pas de piquants.
A la question de savoir s’il a toujours aimé le basket, il répond:
« Non! Pas du tout ! J’aimais le football… Pendant un an, j’ai donc menti à mon père en disant que j’allais au basket. Je n’y suis pas allé, je suis allé au football. L’entraîneur de l’époque, Spyros Pappas, est venu voir mon père et lui a dit: « ton fils ne vient pas »! Mon père pensait que je faisais de vilaines choses. C’est comme ça que j’ai commencé à jouer au basket. «
Bourousis a également passé deux ans en Chine, il n’a pas apprécié les spécialités culinaires:
» Il est très difficile de vivre en Chine. Les Chinois sont des personnages et des gens difficiles. Je ne me sentais pas bien avec la nourriture ! Parfois j’allais déjeuner avec le groupe, ils mangeaient des crocodiles et des chiens. J’allais commander une pizza ! « .
En ce qui concerne l’équipe nationale, malgré son âge avancé, Le Grec est toujours partant, lui qui fut champion d’Europe en 2005 :
« Ma relation avec l’équipe nationale de Grèce est une relation d’amour. Si le coach vient, qui qu’il soit et me dit: « Jean, je te veux », alors oui. Mais je ne dirai pas « prends-moi ». « S’ils me proposent de jouer à nouveau, je l’accepterai. »
A propos de l’après-basket:
« Je trouve que je suis une personne difficile, je ne suis pas encore prêt à devenir entraîneur. Je voudrais être dans le tourisme et la restauration. »
Et enfin, en ce qui concerne sa famille:
«Je vis dans une maison avec sept femmes. Ma femme, mes trois filles, ma mère, ma belle-mère et une amie. «
Photo: FIBA