L’ancienne joueuse de U-Conn a vécu une année sportive chaotique avec une commotion cérébrale en mars 2023 puis une fracture de stress au pied gauche survenue durant l’été suivant en WNBA. Cela ne l’avait pas empêché de briller lors du TQO en Chine en février dernier. Seulement, elle a eu la douleur de perdre son père et cela a interrompu sa saison en club avec l’ASVEL.
Mais la voici d’aplomb pour ses deuxièmes Jeux Olympiques, à la maison. Car, même si elle a grandi aux Etats-Unis avec un père américain, Gabby Williams a toujours insisté sur le fait qu’elle est 100 % française.
Votre fin de saison avec Lyon a été tragique. Est-ce derrière vous ?
"J’ai tourné la page. Je suis contente que ça soit terminée, d’être là. Maintenant je suis 100 % dans l’équipe de France mentalement.
Comment se sont passées les retrouvailles avec les joueuses ?
Déjà en février, c’était bien de retrouver l’équipe. Tout le monde attend d’être à Anglet (NDLR : stage du 9 au 19 juin), de commencer vraiment.
Le président Jean-Pierre Siutat a mis comme objectif d’avoir une médaille à Paris. A quel point ça vous semble réalisable ? Le fait d’être à domicile rend t-il l’objectif plus ou moins difficile ?