Ce sont les troisièmes Jeux Olympiques qui s’annoncent pour Marine Johannès. A Rio, elle avait 21 ans, à Villeneuve d’Ascq - et espérons-le Paris -, elle en aura 29. Sur le terrain, elle est toujours capable de mouvements uniques dans le basket international et en dehors elle a muri. Face aux journalistes, la grande timide apparait désormais souriante et détendue avec son pendentif avec le numéro 23 accroché au cou.
L’équipe de France aura besoin de ses fulgurances pour monter sur le podium olympique comme à Tokyo et l’artiste a besoin de performances avec l’équipe de France pour marquer complètement l’histoire du basket français.
Votre saison a été interrompue prématurément en raison d’une commotion cérébrale. Alors la première question est pour demander des nouvelles de votre santé ?
"Ça va ! Je suis enfin sortie de ma commotion. C’était un peu long et j’ai eu le feu vert il y a trois semaines pour reprendre progressivement avec beaucoup de physique et de cardio et aussi de l’entraînement basket. Je suis contente de pouvoir enfin retoucher la balle, reprendre des sensations. Je suis contente d’être là, tout simplement.
Comment avez-vous vécu cette saison avec l’ASVEL avec ces blessures mais aussi des résultats médiocres, pas de trophées ? Vous êtes contente de retrouver les copines de l’équipe de France ?