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Jeep® ÉLITE et Euroleague : les trophées de l’année de Fred Weis

Tout au long de la saison, notre consultant Frédéric Weis a passé en revue l’actualité du basket français et européen à travers sa chronique « Big Fred Style ». L’exercice 2017/18 se termine, l’ancien international a délivré ses trophées de fin de saison de Jeep® ÉLITE et d’Euroleague, les deux comp

Tout au long de la saison, notre consultant Frédéric Weis a passé en revue l’actualité du basket français et européen à travers sa chronique « Big Fred Style ». L’exercice 2017/18 se termine, l’ancien international a délivré ses trophées de fin de saison de Jeep® ÉLITE et d’Euroleague, les deux compétitions qu’il commente sur les antennes de SFR Sport.

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Au menu, cinq majeur de la saison, MVP, meilleur défenseur, meilleur jeune, meilleure progression et meilleur entraîneur.

Cinq majeur de Jeep® ÉLITE :

Zack Wright (Strasbourg) : il sait tout faire. Il peut marquer, passer, prendre des rebonds et aussi mettre une grosse pression défensive. Et tout ça dans la deuxième meilleure équipe du championnat.

Gérald Robinson (Monaco) : le meilleur et le plus régulier joueur de la meilleure équipe. Deuxième marqueur du championnat avec 16,3 points de moyenne, ce qui, dans un effectif avec pléthore de talents offensifs, est une vraie performance.

Boris Diaw (Levallois) : Boris sera toujours Boris. Il éclaire le jeu, sait tout faire. La preuve, c’est la huitième évaluation de Jeep® ÉLITE, le onzième rebondeur et le septième passeur. Et tout ça sans tirer la couverture à lui.

Zachery Peacock (Bourg-en-Bresse) : largement le meilleur marqueur du championnat avec 3,4 points de moyenne de plus que le deuxième (Robinson) et meilleur évaluation du championnat : 20,6 par match. Un métronome. Pas une seule fois il a marqué moins de dix points dans un match de Jeep® ÉLITE !

Louis Labeyrie (Strasbourg) : quatrième évaluation du championnat (presque 18 par match) troisième rebondeur (7,64 par match). Sans lui, la deuxième meilleure équipe du championnat souffre. Mon MVP de la saison.

5 Euroleague :

Luka Doncic (Real Madrid) : la jeune merveille, le futur numéro 1 de la draft, meilleure évaluation de la compétition (presque 22 par match), quatrième scoreur (16 points par match), bon passeur, bon rebondeur et il n’a que 19 ans !

Alexey Shved (Khimki Moscou) : largement meilleur marqueur de la compétition avec presque 22 points de moyenne devant un de Nando Colo à « seulement » moins de 17 ! Plusieurs records sont tombés avec lui cette saison et il a fini en marquant 36 points contre le CSKA à 8 sur 12 à 3-points, un monstre au scoring.

Nando De Colo (CSKA Moscou) : deuxième marqueur de l’Euroleague, troisième évaluation mais surtout élu joueur le plus décisif de la saison. Rien que ce titre est suffisant pour montrer son impact dans la meilleure équipe de la saison. Mon MVP de la saison.

Tornike Shengelia (Vitoria) : cinquième évaluation, douzième scoreur, troisième rebondeur présent dans tous les secteurs de jeu, principal artisan de la bonne saison (malgré des débuts difficiles) de Vitoria.

Jan Vesely (Fenerbahce) : sixème évaluation, mais un joueur ayant un impact bien plus important que seulement les stats dans la deuxième meilleure équipe d’Euroleague, de l’énergie à revendre.

Jeep® ÉLITE :

Meilleur Jeune :

Peut on élire quelqu’un d’autre que Elie Okobo (Paul-Lacq-Orthez) ? Meneur titulaire et décisif d’une équipe de playoffs. On l’oublie souvent, il n’a que 20 ans – 21 en octobre – et c’est 12,9 points, 2,6 rebonds et 4,7 assists de moyenne. C’est au top quand même.

Meilleure Progression :

Youssoupha Fall (Le Mans). En pro B l’année dernière, il a souvent été l’arme absolue du Mans. Il termine à : 11,3 points et 7 rebonds pour 14,2 éval. Et ce n’est que le début !

Meilleur entraineur :

Laurent Legname (Dijon). Malgré un petit budget, le treizième de Jeep® ÉLITE, son équipe, la JDA est, à une journée de la fin du championnat, quatrième devant des cadors comme l’ASVEL, Limoges ou Pau.

Meilleur défenseur :

La défense, ce n’est pas que des stats. C’est aussi la volonté et l’abnégation, clairement le profil de Aaron Craft (Monaco). Quand on est défendu par Craft, difficile de s’en défaire.

Euroleague :

Meilleur Jeune :

Le meilleur jeune c’est Luka Doncic. Énorme joueur, futur premier de la draft, un culot monstre. J’ai même presque honte de le considérer comme un jeune !

Meilleure progression :

Vincent Poirier (Vitoria). Il est monstrueux, il apprend chaque jour. Début de saison difficile avec Pablo Prigioni. Nouveau coach, nouvelles opportunités et Vincent les a saisies ! Pour l’illustrer, on peut dire qu’il a raté son premier match de playoffs, par contre il a été excellent sur les deux suivants. Je vous le dis, il progresse sans cesse. Bientôt la NBA. Dès l’année prochaine ?

Meilleur entraîneur :

Sarunas Jacikevicius (Zalgiris Kaunas), forcément. L’entraineur de l’équipe de Kaunas, invité surprise du Final Four, avec un budget rikiki en comparaison des trois mastodontes que sont le Real, le Fener et le CSKA, a fait des miracles toute la saison, ne quittant jamais le top 8. Très courtisé, où sera-t-il l’année prochaine, au Barça ? C’est une des nombreuses possibilités.

Meilleur défenseur :

Kyle Hines (CSKA Moscou). Pour moi, il colmate toutes les brèches du CSKA. Nando est le chef de l’attaque, lui de la défense. Un Jim Bilba 3.0.

Photo : Karen Mandau/Euroleague/BCL

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Au menu, cinq majeur de la saison, MVP, meilleur défenseur, meilleur jeune, meilleure progression et meilleur entraîneur.

Cinq majeur de Jeep® ÉLITE :

Zack Wright (Strasbourg) : il sait tout faire. Il peut marquer, passer, prendre des rebonds et aussi mettre une grosse pression défensive. Et tout ça dans la deuxième meilleure équipe du championnat.

Gérald Robinson (Monaco) : le meilleur et le plus régulier joueur de la meilleure équipe. Deuxième marqueur du championnat avec 16,3 points de moyenne, ce qui, dans un effectif avec pléthore de talents offensifs, est une vraie performance.

Boris Diaw (Levallois) : Boris sera toujours Boris. Il éclaire le jeu, sait tout faire. La preuve, c’est la huitième évaluation de Jeep® ÉLITE, le onzième rebondeur et le septième passeur. Et tout ça sans tirer la couverture à lui.[/arm_restrict_content]

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Photo : Karen Mandau/Euroleague/BCL

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