JeQuan Lewis, qui avait une moyenne de 7,3 points et 8,8 d'évaluation jusqu'à cette série, a fait monter ses stats à 12,5 points et à 16,0 d'éval lors des deux derniers matchs. Pour le site de l'Eurocup, il fait un point de la situation avant le Match 3 face à Besiktas.
Sur son début de saison :
"Au début de la saison, c'était très, très dur pour moi. J'ai affronté beaucoup d'adversité. J'ai eu mes blessures. Et puis j'ai dû rentrer chez moi à cause du décès d'un membre de ma famille. "
Sur le fait que la JEU est une équipe sans superstar qui privilégie le jeu d'équipe :
"Pour moi, en tant que meneur, c'est génial. C'est incroyable parce que cela rend mon travail beaucoup plus facile. Ils ont fait un excellent travail en m'entourant de rien d'autre que des shooteurs et des gars qui peuvent marquer, qui peuvent vraiment tirer à un moment précis, ce qui signifie qu'ils peuvent également me donner de l'espace afin que je puisse pénétrer. Et qu'il s'agisse de distribuer ou d'essayer de prendre mon propre shoot, j'ai en quelque sorte la liberté de le faire, peu importe."
A propos de Zaccharie Risacher :
"Mec, il n'y a pas de limites pour lui. C'est un travailleur acharné. Il est super, super talentueux, mais cela ne s'est pas produit du jour au lendemain. Le gamin travaille tous les jours avant et après l'entraînement, les jours de repos. Je pense que la chose la plus importante pour lui est simplement sa volonté d'apprendre. Beaucoup de jeunes étaient là à cet âge et ils étaient des joueurs de haut niveau qui se sont présentés à la draft parmi les cinq premiers choix. Vous avez en quelque sorte l'impression de tout savoir. Vous avez l'impression d'être meilleur que tout le monde. Mais Zaccharie fait partie de ces gamins très humbles. Il écoute. Il pose des questions. C'est juste un enfant génial. Il adore jouer au basket."
A propos de Besiktas :
"Oh, ouais. J'ai l'impression que c'est difficile de jouer contre des équipes plusieurs fois, surtout consécutivement. J'ai l'impression qu'en ce moment, nous nous sommes tous les deux adaptés l'un à l'autre. Nous nous sommes en quelque sorte adaptés à leur style de jeu. Il s'agit de savoir qui en veut le plus, qui va aller sur le terrain et se battre davantage, comme qui va récupérer le plus de ballons à 50-50, qui va jouer dans l'adversité et contrôler les courses. Ce sera une bataille, bien sûr. Je pense que la clé pour gagner le match est simplement de rester ensemble et de jouer notre basket. Parfois, lorsque vous affrontez des équipes comme Besiktas, ils aiment courir, jouer vite et tirer vite. Vous pouvez en quelque sorte vous perdre là-dedans."
A propos du Paris Basketball déjà qualifié pour la finale :
"Je ne suis pas surpris. C'est une grande équipe. C'est une excellente organisation. Leur entraîneur et la moitié des gars ont remporté la Champions League l'année dernière, en Allemagne pour Bonn. Je les ai affrontés l'année dernière quand j'étais en Allemagne aussi. et il y a simplement une super équipe. Ils ont un super noyau. Les pièces qu'ils mettent autour du noyau s'intègrent très bien, et ils jouent tous bien ensemble et jouent vite. Je ne suis pas du tout surpris. Paris c'est une équipe amusante à regarder. C'est une équipe amusante à affronter. Et ils sont talentueux."
