« On a récupéré des salariés un peu traumatisés par les conflits de gouvernance. Et on n’a eu connaissance de la situation financière que fin juillet, ce qui a gêné la gestion du sportif. Il a fallu corriger le budget, le baisser de 20% puis de 15% et même piocher dans les fonds propres, les réserves. »
Cette phrase est de Yves Martinez, le président du Limoges CSP, dans un article du quotidien L’Equipe de ce matin. Un CSP qui dispose tout de même du 4e budget de Jeep Elite à 7 millions d’euros mais dont la masse salariale n’est que la 6e du championnat et est encadrée par la LNB.
Le président ajoute plus loin dans l’article qu’il veut :
« s’ouvrir à des investisseurs et doubler la masse salariale dans les deux ans. Cette année est transitoire pour être attractif et mettre en place un système économique pérenne »
Photo: CSP