Photo d’ouverture : Mario Nakic – Ostende ; Yam Madar – Hapoel Tel-Aviv ; Filip Petrusev – Mega Soccerbet (photos : BCL – Hapoel Tel-Aviv – Mega Soccerbet/Ivica Veselinov)
Pour la troisième année consécutive, BasketEurope vous propose un dossier complet sur la place qu’occupent les U21 dans les principales compétitions européennes. Aujourd’hui, après avoir fait un tour complet de tous les grands championnats, des championnats « mineurs » et des trois principales coupes d’Europe, il est temps d’en arriver au bilan de cette étude, en commençant par celui concernant les grands championnats. Nous vous le proposons en deux parties : après la première hier, voici la seconde.
Comme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.
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Dans cette seconde partie du bilan consacré aux grands championnats européens, nous vous dévoilons les cinq premiers de la hiérarchie, après avoir hier étudié les compétitions classées entre la 6e et la 11e place.
Rappelons le classement de la saison passée, de manière à constater l’évolution de ces championnats :
1 – Ligue Adriatique
2 – Lituanie
3 – Allemagne
4 – Israël
5 – Espagne
6 ex-aequo – Belgique
6 ex-aequo – France
8 – Turquie
9 – VTB League
10 – Italie
11 – Grèce
Et celui des pays classés cette année entre la 6e et la 11e place :
6e : Allemagne
7e : France
8e : Espagne
9e : Grèce
10e : Italie
11e : VTB League
5e : Israël
Bon an, mal an, le petit pays asiatique (qui concourt en Europe pour les raisons géopolitiques que l’on sait) se maintient dans la première partie du tableau de notre étude. Si les U21 n’y évoluent pas en très grand nombre (10e total des U21 entrés en jeu, 9e de ceux ayant du temps de jeu), ces jeunes basketteurs se rattrapent par des rendements très intéressants : les U21 responsabilisés comptabilisent la 3e meilleure moyenne de points et la 4e à l’évaluation.
La stat « qui tue » : 33
Il s’agit du nombre de U21 de la Winner League qui ont eu l’occasion de mettre au moins une fois les sneakers sur le parquet. Un chiffre faible, seule la Grèce fait moins bien. Mais ces jeunes joueurs sont performants : 5e de l’étude au temps de jeu, 4e aux points, 6e à l’éval.
Les équipes qui jouent le jeu : Hapoel Tel-Aviv, Maccabi Tel-Aviv et Rishon LeZion
Trois équipes (quatre en comptant l’Hapoel Gilboa Galil juste un peu en-dessous de ce trio) israéliennes donnent la part belle à leurs U21. Du côté de l’Hapoel Tel-Aviv, 4 sont entrés en jeu dont deux avec du temps de jeu – et le MVP U21 de la saison dans ses rangs. Le Maccabi Tel-Aviv, lui, n’en a mis que 3 sur le terrain, mais ils ont tous au moins un peu de temps de jeu, ce qui n’a rien d’évident dans une telle écurie haut de gamme. Enfin, Rishon LeZion fait également jouer longtemps, et bien, ses deux U21, qui figurent du reste tous deux dans notre cinq majeur U21.
Le MVP : Yam Madar (Hapoel Tel-Aviv)
L’arrière né en 2000 figure parmi les tous meilleurs joueurs européens U21. En Winner League, il vaut ainsi 16,6 pts et autant d’éval, ce qui le place également dans les meilleurs joueurs du championnat toutes catégories d’âge confondues. Il semble promis à un bel avenir.
Le joueur à suivre : Noam Dovrat (Rishon LeZion)
Né en 2002, l’arrière est encore jeune, mais il fait montre de belles promesses, produisant déjà 8,8 pts et 7,1 d’éval dans une équipe de milieu de tableau (8e sur 13). Et ses progrès sont marquants : il valait 4,8 pts et 4,6 d’éval la saison passée avec le même club.
Que sont-ils devenus ?
Le MVP 2019-20 : Deni Avdija (Maccabi Tel-Aviv)
Le prodige israélien (né en 2001) a rejoint la NBA à l’intersaison, signant pour les Washington Wizards. Lui qui valait 12,3 pts et 15,8 d’éval en Winner League a réalisé de très bons premiers pas dans la grande ligue, produisant 6,1 pts et 4,6 rebonds.
Le joueur à suivre 2019-20 : Noam Dovrat (Rishon Le Zion)
Voir ci-dessus.
4e – Turquie
Plutôt mal classée les deux saisons précédentes (successivement 7e et 8e), la BSL turque a considérablement amélioré sa place dans le concert européen, ses U21 lui permettant de figurer à portée de tir du trio de tête. Peu de jeunes joueurs (18) ont l’occasion de réellement s’exprimer, mais ils sont très rentables (1e à l’éval), grâce notamment à un très gros trio : Alperen Sengun – Sehmus Hazer – Dzenan Musa. Rien ne garantit que ces joueurs évoluent toujours en Turquie la saison prochaine. Et celle-ci risque alors d’être plus maussade…
La stat « qui tue » : 5,57
L’évaluation moyenne des 18 jeunes joueurs ayant du temps de jeu en BSL est la meilleure de tous les grands championnats. Pourtant, avec 5,19 points, ce championnat n’est « que » 4e dans ce secteur.
L’équipe qui joue le jeu : Besiktas
La saison passée, le Bandirma Banvit était sans conteste l’une des deux ou trois équipes les plus ouvertes aux U21 sur le continent. Le club ayant fermé boutique, Besiktas a repris le flambeau, signant du reste les meilleurs prospects de Banvit (Alperen Sengun, Sehmus Hazer, Furkan Haltali). Au total, 8 U21 du club sont entrés au moins une fois en jeu, dont cinq qui ont du temps de jeu (et trois figurant dans le cinq majeur U21 !).
Le MVP : Alperen Sengun (Besiktas)
19,0 points, 26,4 d’éval. Est-il besoin d’en dire plus sur l’ailier-fort né en 2002 ? Avec ses performances, l’ancien joueur de Banvit Bandirma fait partie des tous meilleurs de la BSL et est un candidat sérieux au titre de MVP « tout court » du championnat. Tout simplement monstrueux. Il paraît pourtant que des scouts NBA font la fine bouche devant ses prestations. Bref…
Le joueur à suivre : Furkan Haltali (Besiktas)
Moins connu que ses compères de club Sehmus Hazer et Alperen Sengun, Furkan Haltali (2002) commence pourtant à très sérieusement faire parler de lui dans une équipe 5e du fort championnat turc. Certes, ses 4,8 pts et 5,7 d’éval font pâle figure par rapport aux chiffres produits par Sengun, mais le pivot poursuit sa progression, lui qui valait 3,5 pts et 5,0 d’éval en 2019-20. Et il n’a après tout que 19 ans.
Que sont-ils devenus ?
Le MVP 2019-20 : Sehmus Hazer (Banvit Bandirma)
Lui aussi passé à Besiktas après le délitement de son club, l’arrière montre qu’il est arrivé à mâturité (15,0 pts, 14,6 d’éval), lui qui est un peu plus âgé que ses compères du cinq majeur U21 de Besiktas (il est né en 1999).
Le joueur à suivre 201-20 : Alperen Sengun (Banvit Bandirma)
Voir ci-dessus.
3e – Lituanie
Voir la Lituanie perdre une place dans notre classement par rapport à sa 2e position des deux précédentes éditions pourrait sembler surprenant. Mais cela tient plus aux progrès d’un championnat concurrent qu’à une réelle érosion de la LKL, même si le niveau d’ensemble des U21 de Lituanie responsabilisés connaît une baisse notable. Quoi qu’il en soit, la LKL reste un championnat où la jeune élite lituanienne (et de quelques autres pays) a l’occasion de pouvoir prouver sa valeur.
La stat « qui tue » : 14,63
Il s’agit, en minutes par match, du temps de jeu des U21 de LKL responsabilisés (23 joueurs). Aucun autre championnat national ne fait aussi bien et il faut se tourner du côté de la Ligue Adriatique pour voir mieux (15,87 mn)
L’équipe qui joue le jeu : Nevezis
Pas moins de 9 U21 portant le maillot de Nevezis ont eu la possibilité d’entrer en jeu à au moins une reprise. Un contingent très cosmopolite, comprenant un Allemand, un Grec, un Italien, un Américain et un Trinidadien ! Et 4 Lituaniens, quand même. De surcroît, 7 d’entre-eux ont réellement eu l’occasion de s’exprimer, dont deux figurent dans le cinq majeur U21, MVP U21 y compris. Revers de la médaille, Nevezis se morfond tout en bas du classement de la LKL…
Les MVP : Rokas Jokubaitis (Zalgiris Kaunas) et Panagiotis Kalaitzakis (Nevezis)
Deux U21 ressortent du lot en Lituanie. Chez le leader incontesté du championnat et acteur majeur en Euroleague, le meneur né en 2000 s’est installé dans la rotation, apportant 8,4 pts et 9,9 d’éval. Quant à Panagiotis Kalaitzakis, « orphelin » de son jumeau Georgios reparti au Pana, il montre que la solitude ne lui pèse pas, en témoignent ses 14,1 pts et 13,4 d’éval.
Le joueur à suivre : Ariel Hukporti (Nevezis)
Arrivé en droite ligne de Ludwigsbourg, dans son pays natal (l’Allemagne, où il produisait 1,5 pt et 1,8 d’éval), le pivot né en 2002 a rapidement trouvé ses marques en Lituanie, générant 10,6 pts et 9,3 d’éval. Une belle progression qui ne demande qu’à se confirmer.
Que sont-ils devenus ?
Les MVP 2019-20 : Gytis Masiulis (Klaipeda)
L’intérieur désormais international (né en 1998) a quitté les rives de la mer Baltique pour Lietkabelis, où il apporte 12,5 pts et 14,8 d’éval en LKL et 11,5 pts et 14,4 d’éval en Eurocup. Un joueur majeur d’une équipe qui figure au 3e rang du championnat lituanien.
Le joueur à suivre 2019-20 : Marek Blazevic (Vilnius)
Le pivot (né en 2001) de la forte équipe du Rytas Vilnius poursuit sa progression, figurant même dans le cinq majeur U21 de la LKL. En une saison, il est passé de 7,0 pts et 7,7 d’éval à 8,3 pts et 8,9 d’éval. Rien de fulgurant, donc, mais tous les indicateurs sont au vert.
2e – Belgique
Quelle belle surprise que celle offerte par l’EBL belge ! Pour sa première apparition dans notre étude, la saison passée, elle se classait 6e, à égalité avec notre Jeep Élite. La progression est fulgurante, aucun autre championnat ne faisant jouer autant de U21. Le rendement de ces joueurs n’est pas encore au top (5e aux points et à l’éval pour les joueurs responsabilisés) mais il se dégage une élite très prometteuse de ce contingent (3e aux points et à l’éval pour le cinq majeur U21).
La stat « qui tue » : 59 et 37
Ce sont respectivement le nombre de U21 entrés en jeu et de U21 responsabilisés en EBL. Personne ne fait mieux sur le continent à ce niveau de compétition. Respect.
Les équipes qui jouent le jeu : Ostende et Charleroi
Ces deux clubs ne font pas les choses à moitié lorsqu’il s’agit de faire jouer des U21 ! Si Charleroi est un peu à la peine en championnat, Ostende figure en haut de classement. Et les deux clubs donnent de nombreuses responsabilités à leurs U21. Dans un club comme dans l’autre, ils sont 7 à avoir un vrai temps de jeu. Ostende se détache en ayant deux de ces joueurs dans le cinq majeur U21, dont son MVP.
Le MVP : Mario Nakic (Ostende)
L’arrière croate (né en 2001) a quitté le Real Madrid, où il jouait peu (9,1 mn pour 2,8 pts et 1,3 d’éval en 2019-20) pour la Belgique. Et il a eu bien raison, comme le prouvent ses 14,4 pts et 16,4 d’éval. Même si le niveau du championnat belge est moins élevé que celui d’Espagne, il s’éclate et montre toutes ses qualités.
Le joueur à suivre : Ajay Mitchell (Limbourg)
Prometteur avec les Espoirs de Nanterre en 2019-20 (6,5 pts), le jeune meneur (né en 2002) a rejoint Limbourg en cours de saison. Après des débuts difficiles en EBL (4,0 pts et 3,5 d’éval la saison passée), il a passé la vitesse supérieure, apportant 8,6 pts et autant d’éval en 21,8 mn.
Que sont-ils devenus ?
Les MVP 2019-20 : Nathan Kuta (Limbourg)
Le pivot néerlandais (né en 2000) est passé à l’intersaison de Limbourg (où il valait 8,1 pts et 11,4 d’éval) à l’Okapi Aalst, équipe un peu mieux classée en EBL. Mais son rendement a baissé : 5,7 pts et 8,2 d’éval. À voir s’il va reprendre sa progression.
Les joueur à suivre 2019-20 : Amar Sylla (Ostende) et Keye van der Vuurst de Vries (Ostende)
Les deux natifs de 2001 évoluant à Ostende suivent une trajectoire parallèle. Le meneur néerlandais Keye van der Vuurst de Vries s’affirme, passant d’une saison à l’autre de 7,4 pts et 8,9 d’éval à 8,9 pts et 8,4 d’éval. L’intérieur sénégalais Amar Sylla se montre un peu plus rapide dans sa progression, passant de 7,7 pts et 7,4 d’éval en 2019-20 à 7,8 pts et 9,9 d’éval cette saison. Les deux devraient attirer des clubs plus huppés dans les années à venir.
1e – Ligue Adriatique
L’ABA League poursuit son abonnement à la première position du classement de notre étude. Le championnat rassemblant les meilleures équipes des pays de l’ex-Yougoslavie voit un grand nombre de U21 fouler les parquets et s’y montrer très rentables, voire remarquables pour les meilleurs d’entre-eux. Comme le niveau de ces U21 monte d’année en année, on n’est pas inquiet pour le futur de ces pays balkaniques.
La stat « qui tue » : 14,62 et 16,34
Ces moyennes, de points et d’éval, du cinq majeur U21 de Ligue Adriatique sont un bel indicateur du niveau de l’élite des jeunes pousses « yougoslaves ». De futures stars du basket mondial figurent parmi elles.
Les équipes qui jouent le jeu : Cibona Zagreb et Mega Soccerbet
Une équipe croate, une « pouponnière » serbe, voici les deux plus gros pourvoyeurs de U21 de talent en Ligue Adriatique. Au Cibona, les 5 U21 entrés en jeu sont responsabilisés. Et deux d’entre-eux figurent dans le cinq majeur U21. C’est encore « pire » au Mega Soccerbet : 10 U21 sont entrés en jeu, 7 sont responsabilisés, 2 figurent dans le cinq majeur U21, dont le MVP. Alors certes, ce club est une sorte de « filiale » d’une agence de joueurs qui utilise l’équipe comme fenêtre d’exposition de ses meilleurs jeunes talents, tout en ne nuisant pas à sa compétitivité : le Mega Soccerbet est 6e en Ligue Adriatique, devant le Partizan Belgrade ou le Cibona Zagreb (11e).
Le MVP : Filip Petrusev (Mega Soccerbet)
Après avoir fait ses humanités avec Gonzaga en NCAA, le pivot (né en 2000) est revenu au pays pour gagner en exposition. Une réussite, comme le montrent ses 23,6 pts et 28,4 d’éval. On ne voit pas bien qui l’empêcherait d’être élu MVP de Ligue Adriatique cette saison…
Le joueur à suivre : Fedor Zugic (Buducnost Podgorica)
Après une saison 2019-20 où il fît quelques timides apparitions avec le Buducnost (0,7 pt et -3,0 d’éval en 5,0 mn), le tout jeune arrière né en 2003 se montre bien plus à son avantage cette saison : 4,1 pts et 3,5 d’éval en 10,2 mn.
Que sont-ils devenus ?
Le MVP 2019-20 : Marko Simonovic (Mega Bemax)
Le Monténégrin né en 1999 n’a pas vraiment pâti de l’arrivée d’un pivot aussi fort que Filip Petrusev à ses côtés. Lui qui était MVP U21 la saison dernière s’est certes fait chiper le trophée par son coéquipier, mais il progresse. Certes, il est sur les deux exercices à 16,2 pts mais son éval est passée de 18,1 à 19,8. Il peut sans doute rêver de NBA.
Le joueur à suivre 2019-20 : Roko Prkacin (Cibona Zagreb)
Il n’a toujours pas 20 ans (il est de 2002), mais l’intérieur croate connaît d’ores et déjà une progression fulgurante. Il valait 5,2 pts et 3,6 d’éval la saison passée, il est aujourd’hui à 12,6 pts et 11,9 d’éval ! S’il continue sur ce rythme, le ciel est sa limite !
Prochain article : le bilan des championnats européens « mineurs » et des coupes d’Europe
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Dans cette seconde partie du bilan consacré aux grands championnats européens, nous vous dévoilons les cinq premiers de la hiérarchie, après avoir hier étudié les compétitions classées entre la 6e et la 11e place.
Rappelons le classement de la saison passée, de manière à constater l’évolution de ces championnats :
1 – Ligue Adriatique
2 – Lituanie
3 – Allemagne
4 – Israël
5 – Espagne
6 ex-aequo – Belgique
6 ex-aequo – France
8 – Turquie
9 – VTB League
10 – Italie
11 – Grèce
Et celui des pays classés cette année entre la 6e et la 11e place :
6e : Allemagne
7e : France
8e : Espagne
9e : Grèce
10e : Italie
11e : VTB League
5e : Israël
Bon an, mal an, le petit pays asiatique (qui concourt en Europe pour les raisons géopolitiques que l’on sait) se maintient dans la première partie du tableau de notre étude. Si les U21 n’y évoluent pas en très grand nombre
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