Joueur de devoir, Lahaou Konate (1,96m, 29 ans) des Metroplitans de Boulogne-Levallois est devenu au fil du temps l’un des piliers de l’équipe de France pour les fenêtres internationales.
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Vous apportez de l’énergie sur le terrain et de la joie de vivre en dehors. Comment vous sentez-vous au sein de l’équipe de France ?
Je me sens très bien. Je sais que je suis un privilégié d’être ici. C’est pour ça que j’essaie de donner le maximum que ce soit sur ou en dehors du terrain. Je pense que c’est pour ça que je suis ici. Le staff me demande beaucoup d’énergie, d’intensité. Je sais que j’ai un rôle plutôt dans l’ombre. Les missions défensives sont en général un peu pour les gars comme moi. J’ai pu discuter un peu avec Vincent pendant ces deux jours et il m’a clairement dit de mettre de l’intensité défensivement, il compte sur moi pour le jeu sans ballon. On essaye d’appliquer cela sur le terrain.
Comment avez-vous vécu le début de saison, vous qui avez été atteint par le Covid ? Comment vous sentez-vous aujourd’hui ?
Aujourd’hui, je me sens très bien. C’est vrai que c’était compliqué pour moi en début de saison avec le Covid, et après je suis revenu trop vite et je me suis blessé au mollet. Et suite à cette blessure, j’ai eu une petite bactérie à l’estomac qui m’a aussi freiné. J’ai pu me soigner, bien me remettre physiquement et aujourd’hui, Dieu merci, tout va bien.
« Depuis tout jeune, je suis les JO. C’est un rêve ultime »
Que pensez-vous de l’arrivée chez les Bleus de Maxime Roos, qui est votre équipier chez les Bleus ?
Je suis très content pour lui. Je le connais depuis un bon petit bout de temps. De voir qu’il progresse et qu’il s’épanouit au sein de notre collectif, notamment en jouant en 4, c’est vraiment une belle récompense de le voir faire partie de ce groupe durant cette fenêtre. Il le mérite. C’est un bosseur, il est humble. J’espère que ça va être dans la continuité de tout ça, qu’il va continuer à progresser et à travailler dur.
Il y a une petite colonie de Parisiens en équipe de France avec les Nanterriens. Ça créé une ambiance particulière ? Certains soutiennent le PSG ?
Il y a une très bonne ambiance, notamment avec Isaia (Cordinier), Mathias Lessort, Amtah Mbaye. On est issu de Paris, on charrie un peu avec Nicolas Barth, le kiné. Il y en a qui sont de Marseille et c’était marrant hier (NDLR : mardi) de voir leurs têtes.
Quels sont vos souvenirs des Jeux Olympiques et est-ce un rêve de jouer les Américains ?
Pour ma part, je n’ai jamais fait les JO (rires). Comme spectateur, c’est toujours plaisant de voir l’équipe de France faire de gros matches, notamment à la Coupe du monde face aux Américains. Depuis tout jeune, je suis les JO. C’est un rêve ultime. Mais déjà de pouvoir participer aux qualifications, pour nous c’est énorme. On sera derrière cette équipe de France aux JO.
« En tant que joueur, ce n’est pas facile de ne pas savoir quand on va jouer »
L’Assemblée Générale de la Ligue doit décider dans quelques jours de la suite à donner au championnat. Comment vivez-vous cette attente de savoir si la saison va se poursuivre de façon très dense où arrêter définitivement ?
On est l’affût. On aimerait être fixé sur notre sort. En tant que joueur, ce n’est pas facile de ne pas savoir quand on va jouer. On a pu voir dans les journaux une sorte de planning, on ne sait pas si cela va se tenir. On est impatient de connaître la suite de la saison, si on va pouvoir la finir ou pas. On est impatient de connaître le verdict de la ligue.
Jurij Zdovc, le coach de Boulogne-Levallois, a la réputation d’être très exigeant. L’est-il avec vous et l’objectif est-il d’être champion cette année ?
Très exigeant, c’est la méthode yougo. Un peu comme ici, il me demande beaucoup d’intensité. C’est moi qui suis souvent en mission défensive sur les gros scoreurs. Après, on n’a pas parlé d’objectifs de gagner le titre, mais je pense que c’est un coach qui est très ambitieux et on a un groupe qui l’est aussi. On espère pouvoir aller le plus loin possible, en championnat ou en coupe de France, notamment contre l’ASVEL qui ne va pas être facile au prochain tour.
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Vous apportez de l’énergie sur le terrain et de la joie de vivre en dehors. Comment vous sentez-vous au sein de l’équipe de France ?
Je me sens très bien. Je sais que je suis un privilégié d’être ici. C’est pour ça que j’essaie de donner le maximum que ce soit sur ou en dehors du terrain. Je pense que c’est pour ça que je suis ici. Le staff me demande beaucoup d’énergie, d’intensité. Je sais que j’ai un rôle plutôt dans l’ombre. Les missions défensives sont en général un peu pour les gars comme moi. J’ai pu discuter un peu avec Vincent pendant ces deux jours et il m’a clairement dit de mettre de l’intensité défensivement, il compte sur moi pour le jeu sans ballon. On essaye d’appliquer cela sur le terrain.
Comment avez-vous vécu le début de saison, vous qui avez été atteint par le Covid ? Comment vous sentez-vous aujourd’hui ?
Aujourd’hui, je me sens très bien. C’est vrai que c’était compliqué pour moi en début de saison avec le Covid, et après je suis revenu trop vite et je me suis blessé au mollet. Et suite à cette blessure, j’ai eu une petite bactérie à l’estomac qui m’a aussi freiné. J’ai pu me soigner, bien me remettre physiquement et aujourd’hui,
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Photo d’ouverture: FFBB