Hier, lundi, le Real Madrid a joué face à Baskonia Vitoria pour le compte de la ligue ACB.
Mercredi, il sera opposé à Coviran à Grenade.
Vendredi, le périple amènera les Espagnols à Kaunas, en Lituanie, à près de 3 000 kilomètres, calendrier de l’Euroleague oblige.
Deux jours plus tard, dimanche, le Real sera de retour à Madrid pour jouer Ténérife.
« Nous jouons quatre matchs en une semaine, c'est quelque chose d'inhabituel », se plaint le coach Chus Mateo. Et ce n’est pas tout puisque le menu prévoit en fait 6 matches en 13 jours. « C'est le seul sport dans lequel cela arrive. Les athlètes doivent être des super-héros. »
De plus, les Madrilènes ne sont pas en roue libre. Ils remontent la pente en Euroleague mais ne sont pour l’instant que 8e (10 victoires et 9 défaites) et dans le championnat national se profile la Copa del Rey et là aussi ils aimeraient gagner des places dans la hiérarchie d’ici là ; ils sont 6e, avec 9 victoires et 4 défaites.
Le Paris Basketball paye actuellement le fait de jouer deux compétitions exigeantes de front et même si son effectif est plus riche, le Real doit gérer les mêmes contraintes.