Ce vendredi 15 février se tiennent les quarts de finale de la Disneyland Paris Leaders Cup. Ces quatre matchs au profil bien différent opposent les huit meilleures équipes de Jeep Élite de la première moitié du championnat. Quelles sont les forces en présence, leurs objectifs, nos pronostics ?
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Pour sa septième édition, la Disneyland Paris Leaders Cup va connaître un vainqueur inédit, sauf à ce que Strasbourg l’emporte. En effet, outre Gravelines-Dunkerque (vainqueur en 2013) et Le Mans (victorieux en 2014), le lauréat des trois dernières éditions, Monaco, ne participera pas, lui non plus, à la compétition.
Et les huit clubs en lice cette année connaissent une actualité très variée, d’équipes au complet comme à Dijon ou Pau-Lacq-Orthez, à des situations très compliquées comme à Strasbourg (blessure de Mardy Collins, arrivée avortée de Stéphane Lasme) ou plus encore à Levallois, littéralement décimé.
A priori, cet état de fait devrait déboucher sur des rencontres en grande partie favorables, au moins sur le papier, à certaines équipes. Mais la réalité du terrain tend souvent à faire mentir les pronostics. Pour autant, quelles tendances se dégagent pour chaque match ?
Levallois-Pau-Lacq-Orthez (13 heures)
Levallois (10 v. – 10 d.)
Ukic-Sulaimon-Johnson-Wright-Yarou : tel était en début de saison le cinq majeur des Metropolitans. Il s’agit aujourd’hui du « cinq majeur des absents »… Sulaimon est out depuis la 11e journée, Johnson depuis la 18e. Et les catastrophes s’enchaînent pour le club entraîné par Freddy Fauthoux : Rono-Leni Ukic s’est blessé à la cheville lors de la dernière journée, Mouph’ Yarou s’est rompu le tendon d’Achille (saison terminée) lors du même match au Mans et Julian Wright a claqué la porte avant ce même match pour des raisons « administratives » !
Cerise sur le gâteau, si l’on peut dire, Nobel Boungou colo, plutôt à son avantage sur les trois matchs de Jeep Élite qu’il a disputés (11,7 pts, 12 d’éval) partira pour Badalone après la Leaders Cup.
C’est donc fort démunie que l’équipe de la banlieue de Paris va aborder la compétition, en s’appuyant sur ses quelques « rescapés » (David Michineau, Ekene Ibekwe, Maxime Roos, le jeune Ivan Février et le revenant de blessure (lui aussi !) Cyrille Eliezer-Vanerot) ainsi que sur le dernier arrivé Malik Wayns et sur l’intérieur de 19 ans Neal Sako, auteur de bonnes sorties en Jeep Élite (4 pts et 8 d’éval en 11 min lors de la 20e journée de Jeep Élite, 3 pts et 3 d’éval en près de 19 min contre Vichy-Clermont en coupe de France). Pour compléter la feuille de match, Levallois devra faire appel à ses jeunes pousses.
Dans de telles circonstances, difficile d’espérer concurrencer un Élan Béarnais en pleine bourre. D’autant que les Metropolitans auront surtout à cœur de se préserver pour la suite du championnat, en attendant l’arrivée d’indispensables renforts.
Les objectifs : Surtout, surtout, éviter de nouveaux blessés !!!
Pau-Lacq-Orthez (14 v. – 6 d.)
Depuis l’arrivée de Mickey McConnell à la place de Jarrell Blassingame, l’Élan Béarnais pète la forme, occupant seul la deuxième place du championnat à une petite victoire de LDLC Asvel. Et l’équipe de Laurent Vila devrait se présenter au complet à Disneyland Paris, sans « gros bobo » à déplorer.
Restant sur trois victoires de suite en championnat, Pau-Lacq-Orthez tourne bien, sous la houlette d’un McConnell étincelant (12,3 pts, 5,7 pds, 17,0 d’éval en 16 matchs), et avec des cadres comme CJ Harris, Vitalis Chikoko ou Donta Smith (même s’il connaît un « coup de moins bien » dernièrement) aussi fiables que réguliers, sans oublier les « soldats » Léo Cavalière, Akos Keller ou Yannick Bokolo pour encadrer la jeune garde incarnée principalement par Digué Diawara et Thibault Daval-Braquet.
De quoi voir venir si l’équipe ne prend pas son adversaire de vendredi à la légère…
Les objectifs : Passer le premier tour puis, éventuellement, aller au bout.
Nos pronostics : Levallois 10 % – Pau-Lacq-Orthez 90 %
Entre une équipe au complet et qui surfe sur une belle dynamique d’un côté, et une autre décimée, notamment à l’intérieur, difficile de ne pas accorder nos faveurs à l’Élan Béarnais. Sur un coup d’orgueil, Levallois pourrait faire mentir ces pronostics, mais les Metropolitans n’auront-ils pas surtout en tête de se préserver pour d’autres échéances, la qualification pour les playoffs de Jeep Élite notamment ?
LDLC Asvel-JL Bourg-en-Bresse (15 heures 30)
LDLC Asvel (15 v. – 5 d.)
Même si elle présente l’effectif le plus dense de la Jeep Élite, l’équipe du président Tony Parker n’en va pas moins se présenter affaiblie à Disneyland Paris. Si Théo Maledon devrait être en tenue, rétabli de son problème à l’épaule, Alpha Kaba (cheville) et Demarcus Nelson (commotion) sont absents, le second ayant environ un mois à attendre avant de reprendre alors que le premier est a priori out pour la saison.
Cela étant, LDLC Asvel continue à présenter un effectif impressionnant, mené de main de maître par Zvezdan Mitrovic, vainqueur des trois dernières éditions de la Leaders Cup à la tête de l’ASM Monaco. Autant dire qu’une passe de quatre ne serait pas pour déplaire au coach monténégrin, même si Villeurbanne ne s’est pas montré au mieux de sa forme ces dernières semaines, entre défaite étonnante à Ulm en Eurocup, victoire sans relief à Strasbourg en coupe de France et parcours mitigé sur les dernières journées de Jeep Élite (trois défaites, dont un -17 à Dijon, suivies de deux victoires dont l’une étriquée à Boulazac).
Si les Villeurbannais veulent l’emporter, il faudra que leurs cadres – Mantas Kalnietis, AJ Slaughter, Charles Kahudi, David Lighty – soient à leur meilleur, tout comme les jeunes Amine Noua (un peu en dedans ces derniers temps) et Théo Maledon, en espérant également qu’Alexis Ajinça continue à progresser sur le chemin vers un retour en pleine forme.
Les objectifs : « Remporter la Leaders Cup » (LDLC Asvel)
JL Bourg-en-Bresse (11 v. – 9 d.)
À défaut d’être un véritable « invité surprise », la JL Bourg fête cette année sa première participation à la Leaders Cup. Ce qui, au regard de l’effectif constitué par Savo Vucevic, ne constitue pas à proprement parler une surprise. À une ossature ayant largement fait ses preuves – Zack Peacock (MVP de la saison passée), Garrett Sim, Youssou Ndoye, Maxime Courby –, la « Jeu » a ajouté de l’expérience avec Zack Wright, de la gnac avec Arthur Rozenfeld, de la jeunesse avec Bathiste Tchouaffé et Malcolm Cazalon, de la polyvalence avec Lamonte Ulmer et Mike Moser.
Bref, un effectif équilibré et performant. Seules ombres au tableau, Zack Wright est toujours incertain après sa blessure à l’épaule (il a manqué le dernier match de championnat), Youssou Ndoye revient de blessure et Lamonte Ulmer (lui aussi blessé en début de saison) peine à retrouver son niveau de l’an dernier à Châlons-Reims.
Malgré ces quelques pépins, Bourg peut envisager de créer la surprise face à des Villeurbannais quelque peu amoindris et au calendrier chargé, entre Jeep Élite, coupe de France et Eurocup. La cote n’est pas en faveur de l’équipe de l’Ain mais, sur un malentendu…
Les objectifs : Créer la surprise et voir match après match.
Nos pronostics : LDLC Asvel 60 % – Bourg-en-Bresse 40 %
Sur le papier, Villeurbanne devrait vaincre. Mais, entre blessures et fatigue liée à l’enchaînement des matchs, la motivation sera-t-elle au rendez-vous malgré les déclarations d’intention ? Si la paire intérieure Peacock-Ndoye est au top, que Zack Wright répond présent, que Rozenfeld et Cazalon se rappellent au bon souvenir d’un club où ils ont évolué, Bourg peut envisager la surprise. Cela fait beaucoup de « si ». Mais rien ne leur sera impossible, surtout si Villeurbanne ne se montre pas plus conquérant que ces derniers temps.
JDA Dijon-SIG Strasbourg (18 heures)
JDA Dijon (12 v. – 8 d.)
Ces dernières semaines, Dijon a alterné le chaud et le froid en Jeep Élite, se montrant capable de passer 25 points à Strasbourg (comme on se retrouve…) ou 17 à Villeurbanne tout en perdant entre temps de 24 points au Mans. Au total, sur ces cinq derniers matchs, la JDA a gagné trois fois à domicile et perdu deux fois à l’extérieur. Reste à voir quelle configuration l’équipe présentera à Disneyland Paris, celle conquérante à domicile ou celle moins performante en déplacement.
Toujours est-il que l’équipe de Laurent Legname se présentera au complet, l’arrière-ailier Tarence Kinsey ayant repris mardi en coupe de France après cinq matchs d’absence. Avec l’ancien de NBA et du Fenerbahce, Dijon présente un effectif complet, dominé par la vista de David Holston et un collectif huilé, très concerné par la défense et aux compétences complémentaires.
De quoi espérer un bon résultat, surtout face à un adversaire pas au mieux, mais qui aura à cœur d’effacer la déroute subie lors de la 16e journée.
Les objectifs : « Nous voulons aller le plus loin possible, tout en regardant match après match. Il faut d’abord gagner le premier match, mais j’imagine que Strasbourg sera revanchard. Ensuite, nous espérons aussi éviter les blessures. » (Laurent Legname, coach)
SIG Strasbourg (11 v. – 9 d.)
Encore une équipe pour qui la vie est tout sauf un long fleuve tranquille. Présentée comme l’une des favorites de la saison, l’équipe de Vincent Collet s’est enrayée depuis le début de l’année 2019, connaissant cinq fois la défaite en Jeep Élite sur les sept derniers matchs, dont deux naufrages à Dijon (-25) et à Pau (-41 !).
La faute à une accumulation de blessures (notamment celles de Mardy Collins et Flo Piétrus) mais aussi à des « remous » en interne (altercation Green-Collins-Traoré) et, surtout, à un jeu collectif en berne, tant en attaque qu’en défense.
Pour apporter de la dureté à l’ensemble et combler un manque à l’intérieur (Jarrell Eddie, signé comme poste 4 en novembre étant en fait un pur ailier), la SIG avait jeté son dévolu sur Stéphane Lasme, intérieur au CV long comme le bras mais recalé hier à la visite médicale. Strasbourg reste donc à la recherche d’un meneur (pour épauler ou remplacer Green) et d’un poste 4. Et c’est donc avec une formation diminuée que l’équipe va se présenter à la Leaders Cup. Si Youssoupha Fall devrait être présent (son alerte au mollet ne devrait pas entraîner d’absence) et Flo Piétrus faire son retour, Mardy Collins est cloué sur le banc pour encore un moment.
Malgré cela, la SIG présente un effectif de très bon niveau. Reste à voir si tout ce beau monde aura la motivation de jouer en équipe, de défendre et d’aller chercher un trophée déjà remporté par Strasbourg en 2015. La question est posée, la réponse n’a rien d’évident…
Les objectifs : Prendre sa revanche contre Dijon peut être une motivation pour la SIG, lui permettant de regagner en cohésion. Si cela se concrétise, pourquoi ne pas viser plus haut ?
Nos pronostics : JDA Dijon 51 % – SIG Strasbourg 49 %
A priori, il s’agit du quart de finale le plus équilibré. Sur le papier, Strasbourg ferait figure de grand favori. Sur la dynamique des dernières semaines, on n’accorderait pas grandes chances à la SIG. Surtout face à une JDA Dijon sachant tirer la quintessence de ses joueurs et défendre le plomb. Dijon jouera sa chance à fond, avec ses armes. Quelle SIG lui fera face ? La tendance actuelle fait que, pour notre part, nous penchons un (tout petit) peu du côté de Dijon.
CSP Limoges-Nanterre 92 (20 heures 30)
CSP Limoges (12 v. – 8 d.)
Un entraîneur coupé (Kyle Milling, remplacé par son assistant François Péronnet), un meneur (Jordan Taylor) qui en remplace un autre (London Perrantes) jugé décevant, un « clash » du coach (Milling) avec Samardo Samuels, un pivot surnuméraire envoyé en Italie (Mam’ Jaiteh), un conflit entre la gouvernance du club et la veuve de Frédéric Forte : somme toute, le CSP vit une saison « normale » pour une ville que l’on surnomme souvent Dallas-sur-Vienne.
Hormis ces réguliers soubresauts, sans lesquels Limoges ne serait pas Limoges, l’équipe montre un visage plutôt séduisant depuis l’arrivée de François Péronnet et de Jordan Taylor, s’affichant à la 3e place ex-equo (avec Dijon et Nanterre) de la Jeep Élite. Certes, l’équipe a dû faire sans sa pépite Sekou Doumbouya pendant quatre matchs alors que Damien Inglis a effectué son retour en coupe de France après avoir manqué deux matchs de championnat. Certes également, le rendement d’Isaiah Miles et, plus encore, de Samardo Samuels prête souvent à question. Mais le CSP affiche généralement un visage conquérant, alternant entre coups d’éclat sur les ailes par Axel Bouteille, William Howard ou Dwight Hardy et performances intérieures de Jerry Boutsiele (et Samuels lorsqu’il est bien luné), le tout orchestré par une doublette Taylor-Rousselle efficace et complémentaire.
Si tous les joueurs se mettent au diapason, le CSP peut viser loin dans la compétition. Mais il faudra d’abord arriver à juguler les « artilleurs fous » de Nanterre et la pluie de shoots à trois points qui ne va pas manquer de leur tomber sur la tête. À l’aller, à domicile, Limoges avait accompli cette tâche avec brio, l’emportant de 18 points. Il faudra réitérer ce vendredi, tout en se montrant plus adroit que mardi soir contre Monaco en coupe de France (défaite 59-62 avec 35 % de réussite aux tirs).
Les objectifs : Sevrée de titres depuis deux ans, l’équipe peut avoir la motivation de remporter une coupe qui manque à son épais palmarès.
Nanterre 92 (12 v. – 8 d.)
Deux défaites d’affilée en Jeep Élite (contre Monaco et à Dijon), une victoire sans trembler à Holon pour se qualifier en huitièmes de finale de BCL, une autre victoire en coupe de France contre le pensionnaire de ProB Gries-Oberhoffen (89-70), le Nanterre 92 de ces dernières semaines souffle le chaud et le froid.
Comme souvent, tout dépend de l’adresse à trois points des multiples shooteurs coachés par Pascal Donnadieu. Lorsque la balle rentre, Nanterre devient difficile à jouer. En cas contraire, l’équipe de la banlieue parisienne peine à trouver de l’alternance, d’autant plus que son supposé point d’ancrage, le pivot Julian Gamble, alterne lui aussi, entre le très mauvais (2 d’évaluation à Dijon, -2 et 0/6 au tir à Limoges…) et le très satisfaisant (23 d’éval à Monaco, 24 à Strasbourg…). La paire de meneurs Jeremy Senglin-Dominic Waters se montrant à peine plus régulière, les vraies satisfactions nanterriennes s’appellent Lahaou Konaté, Hugo Invernizzi et Haukur Palsson, qui arrivent toujours à apporter même lorsque l’adresse est en berne.
Se présentant a priori au complet et sans joueur souffrant de « bobos » handicapants, Nanterre dispose d’atouts solides pour apporter la contradiction à un CSP Limoges à l’effectif sans doute plus étoffé quantitativement. La victoire peut se profiler, si les trois points rentrent…
Les objectifs : Finaliste en 2014 de la Leaders Cup, Nanterre peut viser le titre. Il faut d’abord passer l’obstacle limougeaud…
Nos pronostics : CSP Limoges 55 % – Nanterre 92 45 %
Pour peu que Limoges se montre réellement intéressé par une victoire en Leaders Cup et que n’éclate pas un énième psychodrame, le CSP actuel a les ressources pour venir à bout de Nanterre. Mais, une nouvelle fois, si les trois-points commencent à rentrer pour les hommes de Pascal Donnadieu, la partie risque d’être serrée…
[armelse]
Pour sa septième édition, la Disneyland Paris Leaders Cup va connaître un vainqueur inédit, sauf à ce que Strasbourg l’emporte. En effet, outre Gravelines-Dunkerque (vainqueur en 2013) et Le Mans (victorieux en 2014), le lauréat des trois dernières éditions, Monaco, ne participera pas, lui non plus, à la compétition.
Et les huit clubs en lice cette année connaissent une actualité très variée, d’équipes au complet comme à Dijon ou Pau-Lacq-Orthez, à des situations très compliquées comme à Strasbourg (blessure de Collins, arrivée avortée de Stéphane Lasme) ou plus encore à Levallois, littéralement décimé.
A priori, cet état de fait devrait déboucher sur des rencontres en grande partie favorables, au moins sur le papier, à certaines équipes. Mais la réalité du terrain tend souvent à faire mentir les pronostics. Pour autant, quelles tendances se dégagent pour chaque match ?
Levallois-Pau-Lacq-Orthez (13 heures)
Levallois (10 v. – 10 d.)
Ukic-Sulaimon-Johnson-Wright-Yarou : tel était en début de saison le cinq majeur des Metropolitans. Il s’agit aujourd’hui du « cinq majeur des absents »… Sulaimon est out depuis la 11e journée, Johnson depuis la 18e. Et les catastrophes s’enchaînent pour le club entraîné par Freddy Fauthoux : Rono-Leni Ukic s’est blessé à la cheville lors de la dernière journée, Mouph’ Yarou s’est rompu le tendon d’Achille (saison terminée) lors du même match au Mans et Julian Wright a claqué la porte avant ce même match pour des raisons « administratives » !
Cerise sur le gâteau, si l’on peut dire, Nobel Boungou colo, plutôt à son avantage sur les trois matchs de Jeep Élite qu’il a disputés (11,7 pts, 12 d’éval) partira pour Badalone après la Leaders Cup.
C’est donc fort démunie que l’équipe de la banlieue de Paris va aborder la compétition, en s’appuyant sur ses quelques « rescapés » (David Michineau, Ekene Ibekwe, Maxime Roos, le jeune Ivan Février et le revenant de blessure (lui aussi !) Cyrille Eliezer-Vanerot) ainsi que sur le dernier arrivé Malik Wayns et sur l’intérieur de 19 ans Neal Sako, auteur de bonnes sorties en Jeep Élite (4 pts et 8 d’éval en 11 min lors de la 20e journée de Jeep Élite, 3 pts et 3 d’éval en près de 19 min contre Vichy-Clermont en coupe de France).
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Photos: Jordan Taylor et Alexis Ajinça (Eurocupbasketball), Maxime Roos (Karen Mandeau), Alexandre Chassang et Dominic Waters (FIBA).