Outre l’instauration d’un salary cap (plafond salarial) et la limitation de l’apport d’un seul actionnaire/mécène -les deux objectifs sont-ils réalisables?-, la compétition des clubs numéro 1 en Europe a d’autres visées indique le site espagnol MundoDeportivo qui est situé à Barcelone comme… le siège de l’Euroleague.
« Une autre des idées importantes de l’Euroleague dans sa vision à court terme est de renforcer sa présence sur des « marchés » économiquement forts, non pas tant en Angleterre, comme cela a été mentionné à l’occasion, mais dans des pays comme la France, l’Allemagne et l’Italie, écrit le site. « Ces dernières années, elle a déjà pris des mesures dans ce sens avec la présence de clubs comme Armani Milan, Alba Berlin, Asvel Villeurbanne et le Bayern Munich et c’est une option qui continuera à se développer. Au cours des dernières semaines, par exemple, divers rapports ont souligné comme possible le projet de la Virtus Bologne, un club qui a clairement indiqué que son aspiration était d’être dans la compétition continentale maximale. »
Peut-on lire ceci comme une ouverture pour le Paris Basketball, Boulogne-Levallois ou encore Nanterre ? C’est à voir.
« Bien que certaines informations indiquent que l’Euroleague pourrait augmenter le nombre d’équipes pour le moment, cette idée ne semble pas être sur la table, du moins à court terme. Bien sûr, la prévision est que les équipes qui étaient auparavant entrées en Euroleague par les ligues nationales seront remplacées par des licences à long terme, de sorte que si il y a actuellement seulement 11 clubs stables, les soi-disant « licences A », il y en aura davantage. De même, il n’est pas prévu, du moins à court terme, d’occuper les dates calendaires utilisées par les ligues nationales, à savoir les samedis et dimanches. »
Vous avez noté le « à court terme »…