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LFB : Ingrid Tanqueray arrive à Charleville, Amel Bouderra prolonge jusqu’en 2024

Amel Bouderra et Ingrid Tanqueray formeront le duo de meneuses françaises des Flammes de Charleville la saison prochaine. Les deux sont expérimentées puisqu’elles ont chacune 33 ans. Elles sont aussi toutes les deux de petites tailles, environ 1,63/1,64m.

Amel Bouderra et Ingrid Tanqueray formeront le duo de meneuses françaises des Flammes de Charleville la saison prochaine. Les deux sont expérimentées puisqu’elles ont chacune 33 ans. Elles sont aussi toutes les deux de petites tailles, environ 1,63/1,64m.

Amel Bouderra séjourne dans les Ardennes depuis 2007.  A la fin de son contrat, cela fera un total de 15 saisons dans le même club. Un record.

Après Mondeville, Villeneuve-d’Ascq, Montpellier, Bourges et l’Asvel, Ingrid Tanqueray a donc choisi les Flammes pour la suite de sa carrière.

« C’est une joueuse au profil similaire d’Amel qui saura organiser le jeu et faire jouer l’équipe comme il le faut. Efficace à trois points, Ingrid dispose aussi de cette faculté à bien utiliser les Pick and Roll. Elle possède un QI basket qui va lui permettre de faciliter le travail du collectif. Avec Amel, elles seront mes relais sur le terrain. Elle a envie de retrouver un projet avec du dynamisme et de la confiance. Celle d’un club, d’un public, d’un entraîneur et surtout la confiance en elle. Je crois fortement au binôme qu’elle formera avec Amel. Son expérience sur ce poste clé est importante, » estime le coach Romuald Yernaux.

A propos de la prolongation de contrat de sa meneuse fétiche, le coach commente :

« Amel est prolongée dans un contexte délicat puisque c’est la seule pour le moment. Il y a toujours une forme de pression par rapport à cette situation. Maintenant, elle va retrouver Sara Chevaugeon puis pouvoir s’appuyer sur Ingrid Tanqueray qui sont des métronomes dans le basket français. Il y aussi d’autres joueuses d’expérience avec qui elle va vite pouvoir s’associer. Nous avons besoin de la retrouver sur un jeu qui correspond pleinement à sa façon de percevoir le basket. C’est-à-dire un jeu collectif et non pas un coup collectif, un coup individuel ».

Photo : Ingrid Tanqueray (FIBA)

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