La Ligue Féminine démarre ce week-end avec l’Open de Paris qui compte pour la première journée, à l’exception du Match des Champions entre l’ASVEL et Bourges. Le temps aussi de se mouiller en faisant des prédictions.
1
ASVEL
Impossible de ne pas faire de l’équipe championne de France, qui a conservé la même ossature, et qui s’est renforcée avec deux des meilleures joueuses françaises (Helena Ciak et Marine Johannès) le favori de la compétition. D’autant que le coach (Valéry Demory) est à la hauteur.
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2
BOURGES
Ecarté de la finale de la Ligue Féminine en 2019, le Tango Bourges Basket a le potentiel pour retrouver son rang. Mélange d’expérience et de jeunesse, le secteur intérieur est très séduisant. Après une saison d’apprentissage, Iliana Rupert, 18 ans, devrait confirmer tout son potentiel. Ana Dabovic est un go to guy.
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3
CHARLEVILLE
La montée en puissance des Flammes saute aux yeux et malgré une préparation perturbée, elles s’affichent comme un outsider de premier plan. Cinq de ses recrues sont internationales.
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4
LATTES-MONTPELLIER
C’est un tantinet moins scintillant que la saison dernière avec les départs de Helena Ciak et Endy Miyem mais Stephanie Mavunga est un pivot étoilé et on va découvrir la Franco-Américaine éclectique Gabby Williams. Sa qualification pour la saison régulière d’Euroleague est déjà une réussite.
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5
BASKET LANDES
Sur le banc, une femme, Julie Barennes, en remplace une autre, Cathy Melain. Sur le papier, c’est un effectif qui n’a pas le lustre de ceux du carré d’as mais il y a une tradition de victoires au club et toujours Céline Dumerc -18e saison de Ligue Féminine- comme leader vocal.
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6
TARBES
La France du basket a désormais les yeux braqués sur la néo-internationale Marine Fauthoux mais ce n’est que la plus connue des jeunes visages du TGB. Tima Pouye est la leader des U20 et Laure Résimont une grande espoir belge.
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7
LANDERNEAU
Landerneau perd Kariata Daby et c’est pénalisant quand il s’agit d’un membre du 5 All-Stars LFB 2018-19. Le recrutement paraît complet avec des joueuses expérimentées pour conforter sa place en Ligue Féminine et même espérer gagner un ticket pour l’Europe.
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8
VILLENEUVE D’ASCQ
Le forfait de l’Ivoirienne Kariata Daby (genou) est un coup dur pour les Nordistes mais elles doivent quand même parvenir à effacer une saison médiocre autour de Johanna Gomis au club depuis 2013.
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9
ROCHE VENDEE
Un minimum de changements (2 arrivées, 2 départs) pour un club passé en deux ans de la Ligue 2 à la cinquième place de Ligue Féminine synonyme de Coupe d’Europe. Marielle Amant doit amener le « plus » nécessaire pour réussir sur les deux fronts.
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10
SAINT-AMAND
Le Hainaut comptait sur Pauline Akonga mais elle a fait faux bond. Les départs de Laura Garcia et Ashley Bruner fragilisent aussi un club placé entre la 8e et la 14e place depuis sept ans.
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11
NANTES-REZE
Le club de Loire-Atlantique doit éponger ses dettes, fait profil bas sur le plan budgétaire et cela s’est ressenti sur le terrain -les Déferlantes ont échappé à la relégation lors de la dernière journée des playdowns- et dans le recrutement estival.
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12
CHARNAY
Champion de NF1 en 2017, champion de Ligue 2 deux ans plus tard, le CBBS va compter sur sa cohésion et un recrutement malin d’Américaines pour déjouer ce pronostic défavorable.
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Rappel: le dossier de présentation de la Ligue Féminine a été publié avec la présentation chaque jour de l’une des 12 équipes. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment) et vous pouvez commander le Guide en version papier sur notre boutique.
Photo d’ouverture: Julie Allemand (FIBA)
