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Gordon Herbert : « Je pensais que ce serait une chance pour moi d'être sur le banc de touche en Euroleague »

Le coach canadien Gordon Herbert est revenu brièvement sur l’interdiction de la fédération allemande de cumuler son emploi de coach de l’équipe nationale et un autre à l’ASVEL.

« J'étais intéressé par les deux, c'est-à-dire entraîner le club et continuer à travailler comme entraîneur national », a déclaré Gordon Herbert aux journaux du groupe de médias Funke.

Outre l’Allemagne, Gordon Herbert a déjà travaillé dans des clubs en Finlande, en France (Paris Basket Racing et Pau), en Grèce, en Russie, aux Toronto Raptors comme assistant, et aussi avec les équipes nationales en Finlande (U18), Canada et Géorgie, mais à 64 ans il n’a jamais coaché en Euroleague.

« Les joueurs doivent jouer pour s'améliorer. Les entraîneurs doivent entraîner pour s'améliorer, estime Gordon Herbert. Je pensais que ce serait une chance pour moi d'être sur le banc de touche en Euroleague afin de pouvoir être un meilleur entraîneur national cet été. »

Cependant, la Fédération allemande de basket-ball a opposé son veto à ce projet, car elle voulait l’exclusivité des services du coach canadien.

« J'ai accepté cela. Je n'ai jamais voulu être un obstacle ni causer de problèmes », a assuré Herbert, qui a remporté de façon inattendue le titre de champion du monde cet été avec la Mannschaft.

A l’inverse, la fédération italienne a accepté que Gianmarco Pozzecco ait une double casquette et coache à la fois la Squadra Azzurra et Villeurbanne.

Photo : FIBA

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