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Pourquoi le président de la fédé italienne a donné son feu vert à Gianmarco Pozzecco ?

Fallait-il laisser Gianmarco Pozzecco saisir l'opportunité de devenir coach de l'ASVEL et ainsi ne plus avoir un temps complet avec l'équipe nationale italienne ? Le président de la fédération Gianni Petrucci a donné son sentiment à La Gazzetta dello Sport.

Ce n'est peut-être pas un sujet de polémique, en tous les cas en Italie le choix de donner à Gianmarco Pozzecco la possibilité de succéder à TJ Parker à Villeurbanne pose questions. Y compris pour celui qui a tranché, le président fédéral Gianni Petrucci.

"Je n’ai jamais été convaincu que le temps partiel pour un entraîneur était un bon choix. Mais j’ai vu comment les choses se passent et les temps changent. J’y ai réfléchi, j’en ai discuté avec le premier vice-président de Venise, Federico Casarin, et nous avons décidé de le laisser libre. Nous ne sommes pas l’Allemagne. Cicéron disait : Quot capita, tot sententiae, autant de têtes, autant d'avis différents. Pas d'hésitation? Je pense qu'il est normal qu'un entraîneur aussi bon que Pozzecco puisse vivre chaque jour l'excitation des matchs hebdomadaires et du travail sur le terrain. Surtout maintenant qu’il n’y a qu’une seule fenêtre pour les équipes nationales au cours de l’année. Ceux qui sont à temps partiel sont présents les deux ou trois premiers mois, ils tournent dans les clubs, puis l'activité s'estompe."

Gianni Petrucci a par ailleurs commenté les résultats récents de la Squadra Azzurra.

"Je suis partiellement satisfait de la Coupe du monde. Avant le début de celle-ci, certains disaient que nous n’y arriverions pas, mais au lieu de cela, nous avons atteint les quarts. Après tant d’années, nous avons disputé deux championnats du monde au cours des dernières saisons, et nous sommes également retournés aux Jeux olympiques, où nous avons terminé cinquièmes. Les résultats sont là, même dans le trois contre trois."

Photo : Gianmarco Pozzecco (FIBA)

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