L’ASC Denain-Voltaire a voulu prendre une nouvelle envergure l’été dernier. En refermant le chapitre Jean-Christophe Prat qui se sera attelé pendant trois à respecter le budget pas extensible du club en jouant la carte de la jeunesse et de la formation. L’arrivée de Rémy Valin aux commandes de l’équipe première de l’un des clubs les plus légendaires du basket français a reboosté les ambitions de l’équipe rouge et blanche. Avec, pour légitimer ce nouvel appétit, une augmentation de budget de 250 000 euros et un passage de 675 000 à 758 000 alloués pour la masse salariale (la 5e de la division).
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Les ambitions reportées à Denain
De quoi bâtir une équipe pour le moins solide avec un effectif homogène, des cadres bien payés, des jeunes à qui on accorde une pleine confiance, le tout guidé par deux leaders référencés dans le haut du panier et aux salaires forcément plus conséquents, le meneur Jay Threatt et le poste 4 Lance Goulbourne, auquel s’ajoute un pari, sur l’arrière cubain de 25 ans Yunio Barrueta. Or si ce dernier est à ranger dans la catégorie des bons coups (12,6 pts par match), les deux Américains ont vu leurs saisons respectives perturbées par des blessures à répétition pour Threatt, et une rupture du tendon d’Achille pour Lance Goulbourne, tout juste sacré MVP de la finale de la Leader’s Cup remportée par le club denaisien sur Orléans.
Deux coups durs qui n’ont pas arrangé les affaires de Rémy Valin. Car même si Denain-Voltaire devrait être en mesure d’arracher un spot en Playoffs et d’y vendre chèrement sa peau, les moyens mis en œuvre en début de saison auraient mérité un autre parcours en championnat.
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Les ambitions reportées à Denain
De quoi bâtir une équipe pour le moins solide avec un effectif homogène, des cadres bien payés, des jeunes à qui on accorde une pleine confiance, le tout guidé par deux leaders référencés dans le haut du panier et aux salaires forcément plus conséquents, le meneur Jay Threatt et le poste 4 Lance Goulbourne, auquel s’ajoute un pari, sur l’arrière cubain de 25 ans Yunio Barrueta. Or si ce dernier est à ranger dans la catégorie des bons coups (12,6 pts par match), les deux Américains ont vu leurs saisons respectives perturbées par des blessures à répétition pour Threatt, et une rupture du tendon d’Achille pour Lance Goulbourne, tout juste sacré MVP de la finale de la Leader’s Cup remportée par le club denaisien sur Orléans.
Deux coups durs qui n’ont pas arrangé les affaires de Rémy Valin. Car même si Denain-Voltaire devrait être en mesure d’arracher un spot en Playoffs et d’y vendre chèrement sa peau, les moyens mis en œuvre en début de saison auraient mérité un autre parcours en championnat.
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