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En moins de dix ans, Fos Provence Basket s’est érigé comme une place forte de la Pro B en participant régulièrement aux Playoffs et en bénéficiant d’une force de frappe financière non négligeable (budget prévisionnel au-delà des 2 millions d’euros). Dans l’ADN du club fosséen, deux particularités sont notables : Rémi Giuitta n’a recruté que des meneurs français depuis l’accession de son équipe dans l’antichambre de la Jeep ELITE (fait suffisamment rare pour être souligné) et une place importante a toujours été faite aux joueurs d’expérience. Et l’expérience, ça se paye.
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Les symboles Kirksay et Choquet
Babou Cissé ou Sacha Giffa hier ont été remplacés par Raphaël Desroses, Luca Vébobe ou Derrick Obasohan ces dernières années et cette saison, c’est Tariq Kirksay (plus gros salaire de l’équipe), international français au parcours rempli de bonnes adresses et vainqueur de la première Basket-Ball Champions League avec Tenerife qui a repris le flambeau et endosse le costume de guide aux côtés de l’inamovible Mamadou Dia (40 ans, au club depuis 2005). Edouard Choquet combine ces deux aspects en tant que meneur français qui est allé chercher un titre de champion de France de Jeep ELITE avec l’Asvel il y a deux ans. Son retour permet bien sûr à Fos Provence Basket de réaliser un bon coup de côté en récupérant un joueur attaché au club, JFL et revenu de deux expériences enrichissantes à Villeurbanne puis Châlons-Reims.
Mais s’il y a une vraie bonne pioche à déceler au sein de l’effectif provençal, c’est du côté de Charles-Noé Abouo qu’il faut se pencher. L’arrière-ailier détenteur de la double nationalité ivoirienne et américaine confirme son bon exercice avec Denain la saison passée en faisant preuve d’une belle régularité (13,2pts par match, 2e meilleur marqueur de l’équipe derrière le poste 5 Jaraun Burrows), le tout ponctué par quelques cartons. S’il continue comme ça, nul doute que sa cote et ses émoluments progresseront encore l’année prochaine.
Enfin, comme pour leurs homologues de la Chorale de Roanne, le staff fosséen s’était gardé un fonds de trésorerie supplémentaire afin de pouvoir se renforcer en cours de saison, se permettant aussi le luxe de pouvoir récupérer un NJFL si besoin. Mais contrairement aux Roannais, les « Black&Yellow » ont bougé plus tôt dans la saison, devant l’opportunité de recruter un gros poisson pour un coût raisonnable avec Jordan Aboudou, petit frère de Lens Aboudou (2015-2016) et fils de Magloire Djimrangaye (2001-2006), tous deux passés au club.
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Les symboles Kirksay et Choquet
Babou Cissé ou Sacha Giffa hier ont été remplacés par Raphaël Desroses, Luca Vébobe ou Derrick Obasohan ces dernières années et cette saison, c’est Tariq Kirksay (plus gros salaire de l’équipe), international français au parcours rempli de bonnes adresses et vainqueur de la première Basket-Ball Champions League avec Tenerife qui a repris le flambeau et endosse le costume de guide aux côtés de l’inamovible Mamadou Dia (40 ans, au club depuis 2005). Edouard Choquet combine ces deux aspects en tant que meneur français qui est allé chercher un titre de champion de France de Jeep ELITE avec l’Asvel il y a deux ans. Son retour permet bien sûr à Fos Provence Basket de réaliser un bon coup de côté en récupérant un joueur attaché au club, JFL et revenu de deux expériences enrichissantes à Villeurbanne puis Châlons-Reims.
Mais s’il y a une vraie bonne pioche à déceler au sein de l’effectif provençal, c’est du côté de Charles-Noé Abouo qu’il faut se pencher. L’arrière-ailier détenteur de la double nationalité ivoirienne et américaine confirme son bon exercice avec Denain la saison passée en faisant preuve d’une belle régularité (13,2pts par match, 2e meilleur marqueur de l’équipe derrière le poste 5 Jaraun Burrows), le tout ponctué par quelques cartons. S’il continue comme ça, nul doute que sa cote et ses émoluments progresseront encore l’année prochaine.
Enfin, comme pour leurs homologues de la Chorale de Roanne, le staff fosséen s’était gardé un fonds de trésorerie supplémentaire afin de pouvoir se renforcer en cours de saison, se permettant aussi le luxe de pouvoir récupérer un NJFL si besoin. Mais contrairement aux Roannais, les « Black&Yellow » ont bougé plus tôt dans la saison, devant l’opportunité de recruter un gros poisson pour un coût raisonnable avec Jordan Aboudou, petit frère de Lens Aboudou (2015-2016) et fils de Magloire Djimrangaye (2001-2006), tous deux passés au club.
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