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Spécial salaires Pro B – Ron Lewis en sauveur au Havre 

Note : seuls les abonnés Premium accèdent au tableau complet des salaires de chaque joueur. Abonnez-vous ici à partir de 5,99€/mois. Glorieux petit poucet de Jeep ELITE réputé pour avoir réalisé des miracles saison après saison par le passé, le STB Le Havre a du mal à jouer les premiers rôles depuis

Note :

seuls les abonnés Premium accèdent au tableau complet des salaires de chaque joueur. Abonnez-vous ici à partir de 5,99€/mois.

Glorieux petit poucet de Jeep ELITE réputé pour avoir réalisé des miracles saison après saison par le passé, le STB Le Havre a du mal à jouer les premiers rôles depuis son retour à l’échelon inférieur. Auteur d’une première saison satisfaisante en 2016-2017, la formation de Jean-Manuel Sousa, remercié en cours d’exercice au profit d’Alexandre Palfroy, a eu plus de mal à exister 2017-2018.

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Des belles stats contre un beau chèque

Pour un coût initial que l’on qualifiera de raisonnable, la formation havraise avait pourtant blindé son roster en expérience, Gauthier Denis et Calvin Hippolyte faisant office d’intrus dans un groupe où ils sont les seuls à avoir moins de 24 ans, et en taille dans la raquette avec Sade Aded Hussein et Fabien Paschal (tous les deux à 2,08m) en sortie de banc pour épaule Stacey Davis et Joaquim Valdelicio, dernier choix en 5, poste où le STB a jonglé avec Jimmy Hall, Ryan Rhoomes et Tiegbe Bamba au fil de la saison.

Le STB, également perturbé par les blessures, avait repris du poil de la bête depuis le réajustement d’effectif qui avait vu Ron Lewis débarquer en janvier. L’arrière scoreur d’expérience américain, passé par Rouen et Pau-Lacq-Orthez, prend son rôle de sauveur à cœur (12,5 tirs tentés par match pour 15,5 pts par match, meilleur scoreur de l’équipe) en plus de prendre un beau chèque (5 000 euros par mois, le plus élevé de la masse salariale) pour aider sa nouvelle équipe à se maintenir.

Une opération fructueuse malmenée récemment par une série de trois défaites contre des gros poissons du championnat qui a replongé la formation havraise dans l’embarras avant d’enchaîner à Blois et contre Nancy.

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Photo : STB Le Havre

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Des belles stats contre un beau chèque

Pour un coût initial que l’on qualifiera de raisonnable, la formation havraise avait pourtant blindé son roster en expérience, Gauthier Denis et Calvin Hippolyte faisant office d’intrus dans un groupe où ils sont les seuls à avoir moins de 24 ans, et en taille dans la raquette avec Sade Aded Hussein et Fabien Paschal (tous les deux à 2,08m) en sortie de banc pour épaule Stacey Davis et Joaquim Valdelicio, dernier choix en 5, poste où le STB a jonglé avec Jimmy Hall, Ryan Rhoomes et Tiegbe Bamba au fil de la saison.

Le STB, également perturbé par les blessures, avait repris du poil de la bête depuis le réajustement d’effectif qui avait vu Ron Lewis débarquer en janvier. L’arrière scoreur d’expérience américain, passé par Rouen et Pau-Lacq-Orthez, prend son rôle de sauveur à cœur (12,5 tirs tentés par match pour 15,5 pts par match, meilleur scoreur de l’équipe) en plus de prendre un beau chèque (5 000 euros par mois, le plus élevé de la masse salariale) pour aider sa nouvelle équipe à se maintenir.

Une opération fructueuse malmenée récemment par une série de trois défaites contre des gros poissons du championnat qui a replongé la formation havraise dans l’embarras avant d’enchaîner à Blois et contre Nancy.

Photo : STB Le Havre

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