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La machine est belle (et les salaires aussi) à Lille où Jean-Marc Dupraz a mis le paquet sur le meneur de jeu de poche américain Maurice Acker pour mener son attelage à bon port. Au sein d’un effectif parmi les plus étoffés de la division (12 joueurs régulièrement inscrits sur la feuille de match et donc sous contrat), Acker, venu occuper un rôle de leader laissé vacant par le départ de Jean-Victor Traoré pour Le Portel, arrive au sommet de la pyramide des salaires. Son coach avait d’ailleurs affiché sa volonté à ce sujet avant même le début de la saison.
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« Il nous fallait une valeur sûre, avait-t-il déclaré sur le site officiel du club. Je voulais mettre les moyens sur ce poste de meneur. Il était demandé ailleurs et il vient chez nous, c’est une bonne nouvelle ».
Aussi bien payé en Pro B qu’en Pro A
Étincelant en Pro B à Denain en 2013-2014 (17 pts, 4,3pds, 16 d’éval par match) puis à Hyères-Toulon l’année de la montée (2015-2016), le meneur trentenaire sortait d’un premier exercice en Pro A mitigé (8,2pts, 2,6pds par match). Ce léger coup de mou et ce retour de la Pro A à la Pro B ne s’est pourtant pas ressenti sur le chèque de Maurice Acker à la fin du mois puisqu’il a conservé à Lille une rétribution similaire voire plus élevée par rapport à ce que lui avait offert le HTV l’année précédente. C’est l’avantage de changer de statut, en l’occurrence de passer de rôle player, majeur certes, à capitaine à bord.
Business is Business diront les Américains, ce qui n’empêche pas Maurice Acker de réaliser un exercice 2017-2018 très solide pour autant (12,7pts, 4pds par match), en plus d’être « un vrai pro, un joueur qui est discret, agréable, qui a une bonne mentalité et du talent », comme l’a récemment confié Jean-Marc Dupraz à BasketEurope.
Avec des ambitions, des moyens, des choix financiers et sportifs qui s’avèrent payants jusqu’à présent, le LMBC a été récompensé au classement en ne s’éloignant jamais du top 4 tout au long de la saison. De quoi faire des Lillois des prétendants très sérieux durant les Playoffs d’accession.
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Photo : Christophe Delrue/Lille Métropole Basket
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« Il nous fallait une valeur sûre, avait-t-il déclaré sur le site officiel du club. Je voulais mettre les moyens sur ce poste de meneur. Il était demandé ailleurs et il vient chez nous, c’est une bonne nouvelle ».
Aussi bien payé en Pro B qu’en Pro A
Étincelant en Pro B à Denain en 2013-2014 (17 pts, 4,3pds, 16 d’éval par match) puis à Hyères-Toulon l’année de la montée (2015-2016), le meneur trentenaire sortait d’un premier exercice en Pro A mitigé (8,2pts, 2,6pds par match). Ce léger coup de mou et ce retour de la Pro A à la Pro B ne s’est pourtant pas ressenti sur le chèque de Maurice Acker à la fin du mois puisqu’il a conservé à Lille une rétribution similaire voire plus élevée par rapport à ce que lui avait offert le HTV l’année précédente. C’est l’avantage de changer de statut, en l’occurrence de passer de rôle player, majeur certes, à capitaine à bord.
Business is Business diront les Américains, ce qui n’empêche pas Maurice Acker de réaliser un exercice 2017-2018 très solide pour autant (12,7pts, 4pds par match), en plus d’être « un vrai pro, un joueur qui est discret, agréable, qui a une bonne mentalité et du talent », comme l’a récemment confié Jean-Marc Dupraz à Basket Europe.
Avec des ambitions, des moyens, des choix financiers et sportifs qui s’avèrent payants jusqu’à présent, le LMBC a été récompensé au classement en ne s’éloignant jamais du top 4 tout au long de la saison. De quoi faire des Lillois des prétendants très sérieux durant les Playoffs d’accession.
Photo : Christophe Delrue/Lille Métropole Basket
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