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Club le plus fidèle de Pro B (pensionnaire depuis 1995 de façon ininterrompue), l’Hermine de Nantes avait décidé de mettre le paquet l’été dernier, enthousiasmé par des performances régulières depuis plusieurs saisons et une dernière campagne de Playoffs conclue à une victoire de la montée en Jeep® ELITE. Avec le 4e budget et la 3e masse salariale de la division, annoncés en début d’exercice, les Nantais nourrissaient de grands espoirs cet été, mais se sont rapidement retrouvés dans une saison galère, contraints de jouer le maintien. Un exercice qui fait d’autant plus mal lorsque l’on se penche sur les salaires.
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Le départ de Bigote coûte cher
Dotés d’une marge de manœuvre conséquente, les Ligériens ont réussi à garder leur paire intérieure McKnight-Ekperigin, l’une des plus dissuasives du championnat l’an dernier, mais n’ont pas pu conserver leur ailier français Valentin Bigote, auteur de sa meilleure saison en carrière en 2016-2017 (15,4pts, 3,5rbds, 2pds par match) avec à la clé des Playoffs époustouflants (17,1pts par match).L’ancien boulonnais est parti sur d’autres latitudes financières, retenter sa chance en Jeep Elite du côté de Dijon (65 000 euros la saison).
Problème, l’intérieur britannique Ekperigin, le plus lourd contrat de l’effectif, vit un exercice compliqué, handicapé par des blessures qui ont impacté son rendement. De plus, l’Hermine n’a pas vraiment réussi à compenser le départ de Bigote puisque dans les chiffres, son successeur Guy Landry Edi, à la rétribution certes moins élevée, marque en moyenne 5 points de moins. A 4 000 euros par mois, le poste 3-4 français Lamine Kanté est arrivé à la rescousse mi-février pour aider Nantes à redéployer ses ailes afin de redéfinir un équilibre sur les postes 1-3-5 qui faisait sa force la saison passée. Un effort supplémentaire nécessaire pour éviter le pire alors que rien n’est encore joué pour les deux dernières places.
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Photo : Grégory Leroy / Nantes Basket
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Le départ de Bigote coûte cher
Dotés d’une marge de manœuvre conséquente, les Ligériens ont réussi à garder leur paire intérieure McKnight-Ekperigin, l’une des plus dissuasives du championnat l’an dernier, mais n’ont pas pu conserver leur ailier français Valentin Bigote, auteur de sa meilleure saison en carrière en 2016-2017 (15,4pts, 3,5rbds, 2pds par match) avec à la clé des Playoffs époustouflants (17,1pts par match).L’ancien boulonnais est parti sur d’autres latitudes financières, retenter sa chance en Jeep Elite du côté de Dijon (65 000 euros la saison).
Problème, l’intérieur britannique Ekperigin, le plus lourd contrat de l’effectif, vit un exercice compliqué, handicapé par des blessures qui ont impacté son rendement. De plus, l’Hermine n’a pas vraiment réussi à compenser le départ de Bigote puisque dans les chiffres, son successeur Guy Landry Edi, à la rétribution certes moins élevée, marque en moyenne 5 points de moins. A 4 000 euros par mois, le poste 3-4 français Lamine Kanté est arrivé à la rescousse mi-février pour aider Nantes à redéployer ses ailes afin de redéfinir un équilibre sur les postes 1-3-5 qui faisait sa force la saison passée. Un effort supplémentaire nécessaire pour éviter le pire alors que rien n’est encore joué pour les deux dernières places.
Photo : Grégory Leroy / Nantes Basket
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