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Spécial salaires Pro B – Orléans, la Pro A en Pro B

Note : seuls les abonnés Premium accèdent au tableau complet des salaires de chaque joueur. Abonnez-vous ici à partir de 5,99€/mois. Sans surprise, c’est dans le Loiret que l’on trouve les gros poissons puisque l’OLB affiche le plus gros budget et la plus grosse masse salariale de la division avec 3

Note :

seuls les abonnés Premium accèdent au tableau complet des salaires de chaque joueur. Abonnez-vous ici à partir de 5,99€/mois.

Sans surprise, c’est dans le Loiret que l’on trouve les gros poissons puisque l’OLB affiche le plus gros budget et la plus grosse masse salariale de la division avec 3 653 000€ et 1 059 000€. Orléans est même la seule équipe du championnat à avoir pu proposer deux contrats à plus de 100 000€ la saison à Kyle McAlarney et Marcellus Sommerville, évidemment.

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Un recrutement étranger maîtrisé

Derrière les deux têtes d’affiches américaines, on retrouve des joueurs habitués de l’étage du dessus et souhaitant se relancer comme Marc Judith, champion de France avec Nanterre en 2013 et qui sort d’une saison moyenne à Dijon, Junior Mbida, aussi à Dijon l’an dernier mais écarté en cours de saison et qui a rebondit à Lille, ou encore Jimmy Djimrabaye qui arrive de Gravelines à moindre coût (25 000€). Là où Orléans a particulièrement été performant c’est dans son recrutement étranger avec les (très) bonnes pioches que sont Miralem Halilovic et Alex Abreu. Inconnus en France, les deux hommes au salaire quasiment identiques ont montré qu’ils sont à la hauteur des ambitions orléanaises avec respectivement 17,1 et 15,4 d’évaluation. Pour compléter le tout, Loic Akono, Gaylor Curier et Kadri Moendadze, JFL et référencés dans la division, sont bien présents en seconde lame pour suppléer le quatuor de feu étranger cité plus haut.

Descendu de Pro A cette saison, Orléans ne compte pas faire de la figuration et a pour objectif très clair de remonté en Jeep® ÉLITE dès la saison prochaine. En tout cas, à la vue de ses finances, l’OLB n’a pas grand-chose à faire en Pro B…

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Un recrutement étranger maîtrisé

Derrière les deux têtes d’affiches américaines, on retrouve des joueurs habitués de l’étage du dessus et souhaitant se relancer comme Marc Judith, champion de France avec Nanterre en 2013 et qui sort d’une saison moyenne à Dijon, Junior Mbida, aussi à Dijon l’an dernier mais écarté en cours de saison et qui a rebondit à Lille, ou encore Jimmy Djimrabaye qui arrive de Gravelines à moindre coût (25 000€). Là où Orléans a particulièrement été performant c’est dans son recrutement étranger avec les (très) bonnes pioches que sont Miralem Halilovic et Alex Abreu. Inconnus en France, les deux hommes au salaire quasiment identiques ont montré qu’ils sont à la hauteur des ambitions orléanaises avec respectivement 17,1 et 15,4 d’évaluation. Pour compléter le tout, Loic Akono, Gaylor Curier et Kadri Moendadze, JFL et référencés dans la division, sont bien présents en seconde lame pour suppléer le quatuor de feu étranger cité plus haut.

Descendu de Pro A cette saison, Orléans ne compte pas faire de la figuration et a pour objectif très clair de remonté en Jeep® ÉLITE dès la saison prochaine. En tout cas, à la vue de ses finances, l’OLB n’a pas grand-chose à faire en Pro B…

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