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Spécial salaires Pro B – A Poitiers, la formation à double-tranchant

Note : seuls les abonnés Premium accèdent au tableau complet des salaires de chaque joueur. Abonnez-vous ici à partir de 5,99€/mois. La Vienne a été le théâtre du scénario catastrophe que tous les clubs de la division redoutent. Ancré dans la formation avec un modèle économique florissant et des rés

Note :

seuls les abonnés Premium accèdent au tableau complet des salaires de chaque joueur. Abonnez-vous ici à partir de 5,99€/mois.

La Vienne a été le théâtre du scénario catastrophe que tous les clubs de la division redoutent. Ancré dans la formation avec un modèle économique florissant et des résultats plus qu’intéressants ces dernières saisons en Pro B, le club poitevin se retrouve cette année en grande difficulté, à devoir jouer le maintien, sans doute jusqu’à la fin.

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La faute d’abord à une doublette américaine en début de saison (Ricky Tarrant en meneur, Devon Collier à l’intérieur) qui n’a pas convaincu et qu’il a fallu remplacer, ce qui n’a pas été simple. Si Anthony Goods a parfaitement compensé numériquement le départ de l’exemplaire Jeff Greer à l’aile, Collier a fini par être remplacé par Ron Anderson Jr (arrivé mi-janvier). A la mène, il a fallu attendre début mars pour voir débarquer Morris Sharaud Curry à la place de Tarrant.

A côté de cela, il y a le principal impondérable et le lot de blessures qui a compliqué la tâche de Ruddy Nelhomme. Son joker habituel en sortie de banc, Arnauld Thinon, a été rapidement touché au poignet et après une saison très encourageante, l’ailier Christophe Leonard n’a pas pu confirmer, touché au genou depuis cet été. Le Martiniquais a été remplacé en cours de saison par Kevin Harley, formé au club mais avec un profil bien différent de Léonard. Ce qui a aussi changé les plans du coach.

Pas de renfort pour autant

Dans ce contexte de pression grandissante au fil des semaines, les jeunes pépites du PB86, Yanik Blanc, Sekou Doumbouya et Ibrahima Fall Faye n’ont pas pu s’épanouir comme attendu, en étant davantage responsabilisés que prévu, pour un résultat souvent négatif. Les belles performances de Doumbouya sont le plus flagrant indicateur de cet aspect de la formation parfois à double-tranchant, sur ses six matchs où il a dépassé les 13 points inscrits en saison régulière, Poitiers n’a remporté la victoire qu’une seule fois.

Fidèle à sa philosophie, Poitiers n’est pas allé piocher dans sa trésorerie pour autant afin d’essayer de corriger le tir au vu d’une situation plus qu’alarmante, contrairement à d’autres concurrents englués dans une saison galère, comme Nantes l’a par exemple fait avec Lamine Kante, pourtant bien connu dans la Vienne (plus de cinq saisons passées au club). Reste à espérer que la fin de calendrier très compliquée (Nancy, Poitiers et … Nantes à venir) ne fasse regretter ce choix honorable et respectable du staff dirigeant.

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Photo : Poitiers Basket 86

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La faute d’abord à une doublette américaine en début de saison (Ricky Tarrant en meneur, Devon Collier à l’intérieur) qui n’a pas convaincu et qu’il a fallu remplacer, ce qui n’a pas été simple. Si Anthony Goods a parfaitement compensé numériquement le départ de l’exemplaire Jeff Greer à l’aile, Collier a fini par être remplacé par Ron Anderson Jr (arrivé mi-janvier). A la mène, il a fallu attendre début mars pour voir débarquer Morris Sharaud Curry à la place de Tarrant.

A côté de cela, il y a le principal impondérable et le lot de blessures qui a compliqué la tâche de Ruddy Nelhomme. Son joker habituel en sortie de banc, Arnauld Thinon, a été rapidement touché au poignet et après une saison très encourageante, l’ailier Christophe Leonard n’a pas pu confirmer, touché au genou depuis cet été. Le Martiniquais a été remplacé en cours de saison par Kevin Harley, formé au club mais avec un profil bien différent de Léonard. Ce qui a aussi changé les plans du coach.

Pas de renfort pour autant

Dans ce contexte de pression grandissante au fil des semaines, les jeunes pépites du PB86, Yanik Blanc, Sekou Doumbouya et Ibrahima Fall Faye n’ont pas pu s’épanouir comme attendu, en étant davantage responsabilisés que prévu, pour un résultat souvent négatif. Les belles performances de Doumbouya sont le plus flagrant indicateur de cet aspect de la formation parfois à double-tranchant, sur ses six matchs où il a dépassé les 13 points inscrits en saison régulière, Poitiers n’a remporté la victoire qu’une seule fois.

Fidèle à sa philosophie, Poitiers n’est pas allé piocher dans sa trésorerie pour autant afin d’essayer de corriger le tir au vu d’une situation plus qu’alarmante, contrairement à d’autres concurrents englués dans une saison galère, comme Nantes l’a par exemple fait avec Lamine Kante, pourtant bien connu dans la Vienne (plus de cinq saisons passées au club). Reste à espérer que la fin de calendrier très compliquée (Nancy, Poitiers et … Nantes à venir) ne fasse regretter ce choix honorable et respectable du staff dirigeant.

Photo : Poitiers Basket 86

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