Vous n’avez pas eu de vacances cet été après le doublé Euroleague - championnat de Grèce. Comment vous sentez-vous physiquement avant d’aborder la préparation olympique ?
C’est un peu compliqué d’enchaîner mais c’est pour la bonne cause. On a la chance de pouvoir participer à cette grande compétition, à domicile. Les Jeux Olympiques, c’est quelque chose d’exceptionnel.
Est-ce plus dur physiquement ou mentalement ?
Les deux. Surtout quand on a eu une longue saison. J’ai pu avoir une petite semaine, c’est vrai que c’était court. Mais je ne vais pas m’en plaindre. Les JO nécessitent des sacrifices exceptionnels.
Qu’avez-vous fait depuis votre arrivée à l'INSEP pour cette préparation ?
Je suis arrivé en retard. Je n’ai fait que deux entraînements ici, je n’ai pas vraiment eu le temps de voir comment ça se passait exactement. C’était un petit peu brouillon mais on a quand même commencé à jouer et à étudier des systèmes. L’intensité est très élevée, c’est de bon augure pour la suite. Nous avons une longue préparation donc on va avoir le temps de travailler ensemble et la cohésion va se faire toute seule.
"Depuis qu’il est arrivé, Mathias Lessort pète la forme. Il ne s’est pas arrêté, donc il est au sommet" - Vincent Collet