Sportklub lui a demandé de comparer les ambiances entre les salles du Panathinaikos et du Partizan. L'international a voulu froisser personne.
"Pour être honnête, chaque salle en Europe a son propre style et sa propre âme, on ne peut pas essayer de les comparer, mais je ne pense pas qu'aucune d'entre elles puisse être comparée à l'OAKA (NDLR : l'arèna du Panathinaikos), ni à la Belgrade Arena. Quand j'ai joué là-bas contre le Partizan et l'Étoile Rouge, ce sont deux ambiances complètement différentes, l'une c'est plutôt comme si j'étais à la maison, et l'autre comme si j'étais un invité, mais dans les deux cas c'est amusant. Tout le monde sait à quoi ressemblent les supporters serbes. Lorsqu'ils soutiennent leur équipe, bien sûr, j'ai plus d'affection pour ceux du Partizan, mais bravo aux supporters des deux équipes, ils font tous les deux un excellent travail pour leur équipe à domicile."
Lorsqu'on lui demande quelle a été son expérience de jouer pour le Partizan, Mathias Lessort répond :
"C'est une expérience unique. Comme je l'ai dit, c'est unique de jouer pour le Partizan, c'est un sentiment unique, ce qu'ils m'ont fait ressentir, la façon dont ils m'ont accueilli, ainsi que la relation que nous avions, tout est venu naturellement. Comment ils m’ont aimé et comment je les ai aimés, c’est quelque chose que je ne peux pas répéter. C'est clair que j'ai un lien avec les fans ici à Athènes, mais tout est différent, comme tu n'aimes pas ta mère et ta femme de la même manière, tu les aimes toutes les deux, mais ce n'est pas le même amour. J'éprouve un grand amour pour le Partizan et ce sera toujours comme ça. Il y aura toujours de l'amour entre moi et eux, je leur souhaite le meilleur."
