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Monaco Matin fait sa Une sur Michael Jordan

Pourquoi le quotidien Monaco Matin fait-il sa Une sur Michael Jordan ? C’est qu’il y a trente ans, la Dream Team était en Principauté, et celle-ci était composée des plus grandes superstars du basket, de Magic Johnson à Larry Bird, en passant par Charles Barkley et Pat Ewing, et donc Michael Jordan.

Pourquoi le quotidien Monaco Matin fait-il sa Une sur Michael Jordan ? C’est qu’il y a trente ans, la Dream Team était en Principauté, et celle-ci était composée des plus grandes superstars du basket, de Magic Johnson à Larry Bird, en passant par Charles Barkley et Pat Ewing, et donc Michael Jordan.

Avant d’aller aux Jeux Olympiques de Barcelone, les Américains étaient descendus au Loews, un hôtel cinq étoiles, s’étaient entraînés à Gaston-Médecin, avaient été reçus par le Prince Rainier, jouer le 22 juillet un scrimmage contre la France, et un match beaucoup plus acharné entre-eux, au golf, au casino, et passé du bon temps en famille.

A propos de golf, Monaco Matin avait fait témoigner il y a peu, Frédéric Ruffier-Meray, professionnel du MCGC depuis 1987.

« En fait, Michael était venu jouer pour la première fois en 1990 alors qu’il était invité par le groupe d’hôtel Loews », se souvient Ruffier-Meray. « Je le vois arriver et il me demande s’il peut jouer avec moi. On a passé un excellent moment. Évidemment, je l’avais reconnu mais je ne l’avais pas attaqué sur le sujet. Il frappait fort mais n’était pas très précis, il venait de débuter. On a joué 3 ou 4 fois ensemble après ça dans la semaine. Il était doué, il avait un bon geste puisqu’il s’appuyait sur la technique du baseball qu’il avait pratiqué petit. D’ailleurs avec ses grandes mains, le grip de ses clubs était de la taille d’un manche de pioche. C’était impressionnant. Michael était un parieur alors il avait tenu à pimenter un peu nos parties. Rien de bien méchant. Malheureusement pour lui, il ne m’a jamais battu et a dû perdre à l’époque une poignée de dollars. Mais je dois reconnaître qu’en 1992, quand il est revenu, il m’avait un peu accroché. Clairement, il ne venait pas pour perdre. C’était un athlète impressionnant, cool, à l’américaine, qui envoyait déjà la balle à 300 m. On avait joué les 18 trous en 2h30 (3h30 en moyenne) tellement il marchait vite. Il faisait un pas, j’en faisais quatre ».

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