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N2 : L’Etoile d’Or d’Angers à la peine en attendant la fusion

Même si le cœur n’y est peut-être pas toujours, la raison d’Etat l’impose : Angers BC (N1) et l’Etoile d’Or Saint-Léonard (N2) vont fusionner à la fin de cette saison ce qui ouvre de belles perspectives sportives dans le chef lieu du Maine-et-Loire.

Même si le cœur n’y est peut-être pas toujours, la raison d’Etat l’impose : Angers BC (N1) et l’Etoile d’Or Saint-Léonard (N2) vont fusionner à la fin de cette saison ce qui ouvre de belles perspectives sportives dans le chef lieu du Maine-et-Loire.

Pas mal de points sont encore à régler comme le nom du club, sa localisation dans la ville et le nombre de représentants d’Angers BC et de l’Etoile d’Or au Conseil d’Administration. Dans Ouest France, Louis Blanvillain, figure emblématique de l’Etoile d’Or et qui fut longtemps contre ce rapprochement, confirme que s’il continuera de s’occuper du célèbre tournoi d’avant saison ProStars, il ne sera pas le président de la nouvelle entité.

Sur le terrain, si Angers BC est dans la moyenne en N1 (6e ex-aequo avec six victoires et autant de défaites), l’Etoile d’Or peine très sérieusement dans la poule B de N2 : six défaites et une seule victoire.

Explications avancées : la blessure du Guadeloupéen Erwan André (2n01m, 27 ans), un ancien de Sorgues Le Pontet Vaucluse en N1, et la non productivité du Lituanien Remigijus Trakimas (2,06m, 28 ans), déjà angevin la saison passée, qui est devenu un poids mort et dont le club a cherché à se séparer jusqu’ici en vain.

La fusion n’enlève t’elle pas du stress rendant impossible une descente en N3, demande Ouest France ?

« Oui et non. C’est notre dernière saison, nous voulons qu’elle soit bonne », répond Louis Blanvillain. « Et elle peut l’être. Je suis convaincu qu’avec Erwan André, nous aurions gagné au moins 5 des 6 matches qu’on a perdus de 6 points ou moins. »

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