L'équipe villeurbannaise avait déjà déclaré forfait le 7 décembre à Monaco et ce deuxième forfait est rédhibitoire. Comme le rappelle Le Progrès, c'est une gestion financière catastrophique (dette globale estimée entre 350 000 et 400 000 euros) qui est à l'origine de ces forfaits et aussi du départ de joueuses et de membres de l'encadrement.
L'ASVEL doit passer le mardi 14 janvier devant le tribunal judiciaire. Elle sera placée en redressement avec une possibilité de repartir en N3 la saison prochaine ou le club sera liquidé.
Les Villeurbannaises furent notamment demi-finalistes de la coupe d’Europe Ronchetti (C2) en 1983.