Selon le New Zealand Secondary School Sports Council, le basket-ball est devenu le troisième sport le plus pratiqué en Nouvelle-Zélande dans les écoles secondaires.
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Avec 25 649 étudiants qui s’y consacrent, le basket est passé devant le football et il n’est plus très loin du netball, le sport numéro un du pays avec 28 445 pratiquants et du rugby, qui est numéro 2.
Les chiffres de progression du basket sont spectaculaires puisqu’il a fait un bond de 11% en un an et de 27% sur cinq ans. L’autre sport qui a le plus progressé est le volley avec 13% en cinq ans pour un total de 17 693 pratiquants. A l’inverse, le netball (-2%), le rugby (-6%) et le cricket (-8%) connaissent la récession.
Les Tall Black, les membres de l’équipe nationale, ont joué un rôle fondamental dans le dynamisme du basket-ball néozélandais. On se souvient que la Nouvelle-Zélande avait créé la surprise en se hissant en demi-finale du championnat du monde 2002 à Indianapolis. Le large Pero Cameron, d’origine maori, ancien rugbyman, avait été élu dans le cinq idéal du tournoi au côté de quatre NBAers.
L’impact de Steven Adams (2,13m, 24 ans), né d’un père anglais et d’une mère des Iles Tonga a été également considérable car il est devenu un joueur de référence en Nouvelle-Zélande auprès des jeunes. Le Néo-Zélandais ne cesse de prendre du galon au Oklahoma Thunder.
Comme pour le badminton, il y a des endroits en Nouvelle-Zélande où il n’y a tout simplement pas assez de terrains de basket pour satisfaire la demande.
« Pour offrir plus de tournois, nous avons besoin de plus de terrains, nous avons besoin de plus d’arbitres, plus d’entraîneurs, plus de mamans et de papas pour mettre la main à la pâte », estime Iain Potter, directeur général de la fédération.
Quant au New Zealand Herald, il préce que plus généralement, le basket-ball est de plus en plus populaire au sein de la communauté asiatique et chez les hommes de moins de 39 ans:
« Les données de « sport NZ » montrent que le basketball est devenu particulièrement populaire en tant que sport de loisir avec seulement deux joueurs sur dix appartenant à des clubs. »
Le véritable défi du basket en Nouvelle-Zélande est d’accroître sa popularité chez les jeunes filles car s’ils sont 17 664 basketteurs à être recensé dans les classes du secondaires, elles ne sont pour l’instant que 7 985 girls.
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Avec 25 649 étudiants qui s’y consacrent, le basket est passé devant le football et il n’est plus très loin du netball, le sport numéro un du pays avec 28 445 pratiquants et du rugby, qui est numéro 2.
Les chiffres de progression du basket sont spectaculaires puisqu’il a fait un bond de 11% en un an et de 27% sur cinq ans.
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Photo: FIBA
