Le programme prévoit que l’OLB disputera son premier match dans la CO’Met -une arèna de 10 000 places- au printemps ou à l’automne 2022 et la municipalité souhaite d’ici là privatiser le club qui est régit actuellement par une société d’économie mixte dont l’actionnariat est majoritairement détenu par la ville.
« On temporise un peu, il ne faut pas se précipiter. Il faut trouver les bons investisseurs. Aujourd’hui, on ne les a pas », indique l’adjoint aux sports Thomas Renault dans La République du Centre. « Mais il faut quand même qu’on s’attelle à améliorer le club (…) « L’organigramme et le mode de fonctionnement sont à revoir. Je suis pour un autre fonctionnement avec un directeur général et un président bénévole qui rendraient tous les deux des comptes au conseil de surveillance. Il faut qu’il y ait un vrai patron ».