C’est en regardant les Braqueuses à la télévision avec sa grand-mère que Janelle Salaün, 11 ans, a su. “C’est ce que je veux faire”, a-t-elle lancé à sa mère, elle-même ancienne basketteuse à l’échelon national. Vous connaissez la suite. Douze ans plus tard, la jeune femme va vivre son premier Final Four d’Euroleague avec Villeneuve d’Ascq et probablement, dans une centaine de jours, les Jeux Olympiques de Paris. Des honneurs réservés à une petite élite sur la planète. Deux objectifs d’une carrière qu’elle veut la plus longue possible et qui s’apprêtent à être cochés pour ce talent de la fameuse génération 2001, d'abord passé sous les radars.
Portrait - Janelle Salaün, l'éloge de la détermination
Perfectionniste, inflexible et déterminée, Janelle Salaün est devenue, à force de travail, une incontournable du basket français. Avant son premier Final Four d'Euroleague, où elle défiera Fenerbahçe ce dimanche (18h) en finale avec Villeneuve d’Ascq, ses proches racontent son ascension.