Comment vous êtes-vous retrouvé joueur à l’AS Monaco (2000-02), qui était alors dans l’anonymat de la Nationale 2 ?
Derrière mes deux ans à Rouen, j’étais parti vivre sur la Côte d’Azur. J’ai signé à Monaco surtout pour entraîner les sections jeunes, poussins, benjamins, école de basket et j’y ai joué aussi, tout simplement. Je connais bien la Côte d’Azur car ma famille est niçoise.
Vous vous êtes retrouvé ensuite à Tahiti à l’AS Aorail, comme joueur et comme entraîneur de l’équipe de Tahiti des moins de 20 ans. Pourquoi et comment ?
Georgy Adams (NDLR : ancien international originaire de Tahiti) a passé un an à Monaco, il est parti, et il m’a appelé lors de ma dernière année à Monaco et avec un autre joueur, il nous a proposés de venir à Tahiti. Moi pour m’occuper de la formation des cadres et du Pôle Espoirs minimes et de la sélection nationale de Tahiti des moins de 20 ans. J’étais aussi instituteur et je jouais, je partais dans les îles, à Bora-Bora, etc. Il y a eu des changements au niveau de la politique locale qui changeaient un peu la donne, et au bout d’un an j’ai préféré rentrer même si ça a été une super expérience humaine. Je n’y suis jamais retourné depuis, c’est mon grand regret, mais j’ai revu certains de mon club quand ils sont venus en France jouer des matches de Coupe de France.
Comment avez-vous déniché le poste de coach des espoirs à Rouen ? Via votre agent, par CV, par relation ?